INFO NICE-MATIN. Nabil Ibelati, condamné par défaut pour le braquage d'une horlogerie de luxe à Cannes le 31 juillet 2013, ne sera pas extradé en France, apprend-on ce mercredi de source judiciaire.
Nabil Ibelati, 30 ans, natif des Hauts-de-Vallaris (ex-Zaïne), avait été condamné par défaut à dix ans de prison, le 7 août dernier, par le tribunal correctionnel de Grasse, dans l'affaire du casse de Kronometry (1,7 million d'euros de préjudice).
Son complice avait été condamné à cinq ans de prison, et son frère aîné, à trois ans ferme pour recel, dans cette affaire très médiatisée, survenue quelques jours après le "casse du siècle" au Carlton.
En cavale au Maroc, dont il est originaire, Nabil Ibelati menait une vie de nabab et étalait ses frasques sur Facebook, narguant à distance les magistrats français.
Les autorités marocaines ont mis fin à la mascarade le 15 août dernier, en interpellant le fugitif au Maroc. Il y était incarcéré depuis.
Nabil Ibelati avait fait savoir par la voix de son avocat qu'il souhaitait être rejugé en France. Le Maroc, lié avec la France par une convention d'extradition, en a semble-t-il décidé autrement.
www.nicematin.com/cannes/le-maroc-refuse-lextradition-du-braqueur-de-kronometry.2387395.html
Nabil Ibelati, 30 ans, natif des Hauts-de-Vallaris (ex-Zaïne), avait été condamné par défaut à dix ans de prison, le 7 août dernier, par le tribunal correctionnel de Grasse, dans l'affaire du casse de Kronometry (1,7 million d'euros de préjudice).
Son complice avait été condamné à cinq ans de prison, et son frère aîné, à trois ans ferme pour recel, dans cette affaire très médiatisée, survenue quelques jours après le "casse du siècle" au Carlton.
En cavale au Maroc, dont il est originaire, Nabil Ibelati menait une vie de nabab et étalait ses frasques sur Facebook, narguant à distance les magistrats français.
Les autorités marocaines ont mis fin à la mascarade le 15 août dernier, en interpellant le fugitif au Maroc. Il y était incarcéré depuis.
Nabil Ibelati avait fait savoir par la voix de son avocat qu'il souhaitait être rejugé en France. Le Maroc, lié avec la France par une convention d'extradition, en a semble-t-il décidé autrement.
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