Au cœur des convulsions géopolitiques actuelles, le régime israélien révèle sa nature profonde d’un projet colonial anachronique, imposé au Moyen-Orient par les puissances impérialistes du siècle dernier et maintenu depuis par la brutalité, l’impunité et la manipulation. Tandis que le monde arabo-musulman peine encore à articuler une réponse unifiée, les masques tombent. L’État d’Israël, loin d’être un îlot de démocratie dans un désert d’autoritarisme, incarne aux yeux de tous, une entreprise de domination sanglante, étrangère à la région qu’il fracture depuis plus d’un siècle. À mesure que s’intensifie la résistance populaire et diplomatique, que les peuples s’éveillent et que les alliances se reconfigurent, une certitude s’impose visant à démontrer que ce régime, fondé sur l’exclusion et la terreur, approche inexorablement de sa fin.
Ainsi, le temps du mensonge touche à sa fin. Le sionisme, tel un golem aux pieds d’argile, vacille, croule sous le poids de ses propres crimes, de son arrogance décomplexée, et de l’effondrement du récit fallacieux et mensonger qui le soutenait depuis des décennies. Le régime israélien, qui se croyait éternel, invincible, indéboulonnable, s’avance inexorablement vers sa dislocation, non par la force d’une armée ennemie mais sous l’effet combiné de la lassitude des peuples, de la convergence des humiliés, de l’écroulement des masques, et d’une vérité devenue trop puissante pour être contenue.
Israël n’est rien d’autre qu’une hérésie géopolitique, une anomalie tragique imposée au cœur du Moyen-Orient par la force, sous couvert d’un récit archaïque et fallacieux de Droit Divin. En se prétendant «peuple élu» et héritier exclusif d’une terre prétendument promise, ce projet colonial instrumentalise une théologie dépassée pour justifier l’expulsion, le massacre et l’occupation. Aucune preuve historique sérieuse, aucun fondement juridique rationnel ne vient soutenir cette usurpation qui ne tient que par la violence, l’impunité et la complicité d’un Occident impérialiste, ou plus précisément, d’un réseau de puissances cyniques et de profiteurs de guerre, d’élites autoproclamées, dont la prospérité dépend depuis des décennies de l’entretien des conflits, du chaos et de la mort des innocents.
Mais le monde arabo-musulman se réveille enfin, trop longtemps plongé dans un coma stratégique et une paralysie volontaire, et regarde d’un œil moins voilé, la nature de l’entité qui l’humilie, l’agresse, le piétine. Le régime israélien, jadis acteur furtif des coulisses diplomatiques, est aujourd’hui clairement un monstre mis en lumière, exhibé dans sa nudité barbare, un État voyou qui n’a ni loi, ni éthique, ni limite. Gaza en est la preuve vivante et mourante après deux ans d’un génocide en direct, minutieusement documenté, planifié avec un cynisme chirurgical, justifié avec des éléments de langage colonial que même les pires empires avaient depuis longtemps remisés au grenier.
Ainsi, l’arrogance démente et la folie génocidaire des sionistes à Gaza auront, malgré l’horreur, précipité ce que l’Histoire retiendra comme le début de la fin pour ce régime colonial et sanguinaire. À force de croire qu’on peut écraser un peuple sous les bombes sans conséquence, Israël a creusé sa propre tombe. Gaza, martyrisée mais debout, deviendra le tombeau vivant du sionisme, non par vengeance aveugle, mais par nécessité historique. Car cette entité artificielle -bâtie sur le mensonge et entretenue par le feu – n’est plus seulement un danger pour les Palestiniens, elle met aussi en péril l’équilibre du monde entier. En tentant d’embraser la région et de provoquer une conflagration mondiale, possiblement nucléaire, cette verrue géopolitique expose jusqu’aux juifs eux-mêmes à un isolement et à un rejet grandissants, confondus avec les crimes de ceux qui ont détourné leur nom pour en faire une arme. Gaza n’a pas dit son dernier mot puisqu’elle est devenue le cœur battant d’une vérité que ni la propagande ni la puissance de feu ne pourront réduire au silence.
En ce début septembre 2025, les bombardements sur Doha, capitale d’un État membre de toutes les institutions internationales respectables, et surtout médiateur dans le processus de paix, marquent un seuil. Israël ne bombarde plus seulement les «ennemis traditionnels», il frappe ses partenaires, ses clients, ses collaborateurs. Il n’y a plus de ligne rouge, plus de pacte tacite, plus de règle. L’agression est totale, anarchique, brutale, sans justification militaire ni stratégique – si ce n’est celle, primitive, d’un régime acculé, enragé, qui cherche à faire exploser l’échiquier pour éviter d’avoir à jouer.
Ainsi, le temps du mensonge touche à sa fin. Le sionisme, tel un golem aux pieds d’argile, vacille, croule sous le poids de ses propres crimes, de son arrogance décomplexée, et de l’effondrement du récit fallacieux et mensonger qui le soutenait depuis des décennies. Le régime israélien, qui se croyait éternel, invincible, indéboulonnable, s’avance inexorablement vers sa dislocation, non par la force d’une armée ennemie mais sous l’effet combiné de la lassitude des peuples, de la convergence des humiliés, de l’écroulement des masques, et d’une vérité devenue trop puissante pour être contenue.
Israël n’est rien d’autre qu’une hérésie géopolitique, une anomalie tragique imposée au cœur du Moyen-Orient par la force, sous couvert d’un récit archaïque et fallacieux de Droit Divin. En se prétendant «peuple élu» et héritier exclusif d’une terre prétendument promise, ce projet colonial instrumentalise une théologie dépassée pour justifier l’expulsion, le massacre et l’occupation. Aucune preuve historique sérieuse, aucun fondement juridique rationnel ne vient soutenir cette usurpation qui ne tient que par la violence, l’impunité et la complicité d’un Occident impérialiste, ou plus précisément, d’un réseau de puissances cyniques et de profiteurs de guerre, d’élites autoproclamées, dont la prospérité dépend depuis des décennies de l’entretien des conflits, du chaos et de la mort des innocents.
Mais le monde arabo-musulman se réveille enfin, trop longtemps plongé dans un coma stratégique et une paralysie volontaire, et regarde d’un œil moins voilé, la nature de l’entité qui l’humilie, l’agresse, le piétine. Le régime israélien, jadis acteur furtif des coulisses diplomatiques, est aujourd’hui clairement un monstre mis en lumière, exhibé dans sa nudité barbare, un État voyou qui n’a ni loi, ni éthique, ni limite. Gaza en est la preuve vivante et mourante après deux ans d’un génocide en direct, minutieusement documenté, planifié avec un cynisme chirurgical, justifié avec des éléments de langage colonial que même les pires empires avaient depuis longtemps remisés au grenier.
Ainsi, l’arrogance démente et la folie génocidaire des sionistes à Gaza auront, malgré l’horreur, précipité ce que l’Histoire retiendra comme le début de la fin pour ce régime colonial et sanguinaire. À force de croire qu’on peut écraser un peuple sous les bombes sans conséquence, Israël a creusé sa propre tombe. Gaza, martyrisée mais debout, deviendra le tombeau vivant du sionisme, non par vengeance aveugle, mais par nécessité historique. Car cette entité artificielle -bâtie sur le mensonge et entretenue par le feu – n’est plus seulement un danger pour les Palestiniens, elle met aussi en péril l’équilibre du monde entier. En tentant d’embraser la région et de provoquer une conflagration mondiale, possiblement nucléaire, cette verrue géopolitique expose jusqu’aux juifs eux-mêmes à un isolement et à un rejet grandissants, confondus avec les crimes de ceux qui ont détourné leur nom pour en faire une arme. Gaza n’a pas dit son dernier mot puisqu’elle est devenue le cœur battant d’une vérité que ni la propagande ni la puissance de feu ne pourront réduire au silence.
En ce début septembre 2025, les bombardements sur Doha, capitale d’un État membre de toutes les institutions internationales respectables, et surtout médiateur dans le processus de paix, marquent un seuil. Israël ne bombarde plus seulement les «ennemis traditionnels», il frappe ses partenaires, ses clients, ses collaborateurs. Il n’y a plus de ligne rouge, plus de pacte tacite, plus de règle. L’agression est totale, anarchique, brutale, sans justification militaire ni stratégique – si ce n’est celle, primitive, d’un régime acculé, enragé, qui cherche à faire exploser l’échiquier pour éviter d’avoir à jouer.