le monotheisme ne vient pas des juifs/ le monotheisme vient d' ethiopie

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Les blancs ont la vie plus facile, c'est un préjugé raciste.
Des tas de blancs se lèvent chaque matin pour bosser, cultiver la terre, enrichir ton pays, s'ils n'étaient pas la, ton pays n'existerait pas.

Oué, et? C'est pas sur ce plan que se situe l'injustice du racisme!
 
c'est soit Adam soit sa femme qui étais noir(te) et l'autre blanc c'est comme cela que sont née les basaner :sournois:
rappelle tpo que le mot eden vient du sumerien et que l' eden se reouve en irak , en palestine , en egypte et en ethiopie
et les premieres populations de l' irak etaient des noirs , des veddoides premiers habitants de l' iraj et donc ancetres des ubaidiens et donc des sumeriens, ils sont d' ailleurs trs proches des dravidiens et tout comme eux viennent d' afrique comme le dit Bernard Sergent
http://humanphenotypes.net/basic/Veddid.html
presence de genes veddoides dans le monde arabe indiquant que les veddas noits furent les premiers hanitants

shutterstock-541106305.jpg

figure d' un australoide / veddoide
 
Oué, et? C'est pas sur ce plan que se situe l'injustice du racisme!
Nous vivons en Occident, nos pays sont les plus égalitaires au monde.
Certes ce n'est pas parfait, mais comparé au reste du monde, nous sommes des modèles de société. Ce n'est pas pour rien que l'Afrique entière rêve d'y émigrer.
 
Nous vivons en Occident, nos pays sont les plus égalitaires au monde.
Certes ce n'est pas parfait, mais comparé au reste du monde, nous sommes des modèles de société. Ce n'est pas pour rien que l'Afrique entière rêve d'y émigrer.
les valeurs egalitaires ne sont pas que l' apanage des europeens , la Chine aussi est egalitaire , le Vietnam, la Thailande, la Malaisie, Singapour , l' Indonesie
aux phillippines il ya de la pauvrete mais dans les campagnes il y a un grand respect des droits humains et le droit regne dans les villes et la lutte contre l' autoritarisme de Duterte est tres forte
Au Bhoutan etat socialiste boudhiste prime par l' ONU , les drouts des citoyens sont respectes et le bonheur des citoyens est pris en compte
Au Japon il y a aussi de l' egalitarisme, en Coree egalement
A taiwan aussi
En inde il y a aussi de l' egalitarisme chez les Tamouls , les noirs australoides Mundas, les ethnies mongoloides d' inde
le Pendjab ou l' instruction des femmes est tres forte
Au Pakistan malgre la poussee des islamistes l' egalite regne , meme les transexuels sont bien consideres alors que le Pakistan fourmille de salafistes
En iran les femmes peuvent etudier , se marier, travailler, conduire une voiture librement alors que c' etait interdit aux femmes en Arabie saoudite avant Ben Salmane
Au Mozambique les homosexuels ont des droits alors aue le pays est divise entre communistes du pouvoir et insurrection de la REnamo soutenue AVANT pat l' afrique du sud de l' apartheid et la CIA
Les gens ilmmigrent pour l' argent pas seulement pour l' egalite sociale et l' europe est tres raciste
https://www.insee.fr/fr/statistiques/1378025?sommaire=1378033
en Hongrie les Roms sont persecutes , sans oublier que l' avortement est interdit en Pologne
et la pologne et la hongrie s' opposent aux doirs des homosexuels
N' oublions pas que les europeens tolerent l' Ouganda ou les homosexuels sont persecuteset critiquent l' iran et ne critique pas YOXEI MUSEVENI qui a perdu les elections face a Bobby Wine populaire dans la jeunesse et soutien des homosexuels et critiquent Loukatchenko en Bielorussie
 
dIODORE DE sICILE DISAIT CECI
« On soutient que les Éthiopiens sont les premiers de tous les hommes, et que les preuves en sont évidentes. D'abord, tout le monde étant à peu près d'accord qu'ils ne sont pas venus de l'étranger, et qu'ils sont nés dans le pays même, on peut, à juste titre, les appeler Autochtones ; ensuite il paraît manifeste pour tous que les hommes qui habitent le Midi sont probablement sortis les premiers du sein de la terre. Car la chaleur du soleil séchant la terre humide et la rendant propre à la génération des animaux, il est vraisemblable que la région la plus voisine du soleil a été la première peuplée d'êtres vivants. On prétend aussi que les Éthiopiens ont les premiers enseigné aux hommes à vénérer les dieux, à leur offrir des sacrifices, à faire des pompes, des solennités sacrées et d'autres cérémonies » http://www.mediterranees.net/g [...] ivre3.html


« Ils disent, en outre, que la plupart des coutumes égyptiennes sont d'origine éthiopienne, en tant que les colonies conservent les traditions de la métropole ; que le respect pour les rois, considérés comme des dieux, le rite des funérailles et beaucoup d'autres usages, sont des institutions éthiopiennes ; enfin, que les types de la sculpture et les caractères de l'écriture sont également empruntés aux Éthiopiens. Les Égyptiens ont en effet deux sortes d'écritures particulières, l'une, appelée vulgaire, qui est apprise par tout le monde ; l'autre, appelée sacrée, connue des prêtres seuls, et qui leur est enseignée de père en fils, parmi les choses secrètes. Or, les Éthiopiens font indifféremment usage de l'une et de l'autre écriture. »http://www.mediterranees.net/geographie/diodore/livre3.html

IL EST JUSTIFIE PAR CECI
WAAQ LA RELIGION DES SOMALI ET DES OROMOS
DES MONOTHEISTES NOIRS AVANT LES JUIFS
Waaqeffanna est une religion ethnique indigène du peuple Oromo et somali dans la Corne de l'Afrique . [1] Le mot Waaqeffanna dérive du mot Waaqa , est l'ancien nom du Créateur dans les langues couchitiques du peuple Oromo et du peuple somalien dans la Corne de l'Afrique . [2] [3] [4]
 
Les adeptes de la religion Waaqeffanna sont appelés Waaqeffataa et ils croient en l' être suprême Waaqa Tokkicha (le Dieu unique).[5] On estime qu'environ 3% de la population Oromo, soit 1 095 000 Oromos, dans l' Éthiopie actuelle pratiquent activement cette religion.
La principale croyance religieuse de Waaqeffanna est que Waaqa (le créateur) est le père et le créateur de l'univers et a de nombreuses manifestations connues sous le nom d' Ayyaana. [8] Les Ayyaana servent d'esprits intermédiaires entre Waaqa et ses créations. [9] Les Ayyaana (esprits) sont connus pour posséder des hommes et des femmes choisis, qui reçoivent alors respectivement le titre Qallu et Qallitti . [5] On pense que tous les Uuma (créatures) se voient attribuer un Ayyaana par Waaqa pour l'orientation et la protection. [9]
Les Waaqeffataas vivent selon le Safuu , les principes moraux et juridiques qui guident les interactions des humains avec les Waaqa . [10] La violation de Safuu est considérée comme un péché et est condamnée par Waaqa . [dix]
Waaqa est l' être suprême et est omniscient , omni-bienveillant et omnipotent . [11] Il est aussi juste et aimant. [9] Cet être suprême s'adresse à travers une variété de noms dans les différentes régions et beaucoup pensent que le terme Waaqa signifie «le Dieu aux nombreux noms». Le peuple Oromo utilise également le terme Waaqa Gurr'acha pour s'adresser au créateur, qui se traduit par « le Dieu noir ». On pense que le terme indique que Waaqa est à l'origine de tout, est mystérieux et qu'il est celui avec lequel on ne peut pas interférer. [dix]
 
En Waaqefannaa On pense que les Ayyaana sont des divinités qui servent de messagers entre Waaqa et ses créations. [8] Les Ayyaana ne sont pas capables de création mais assurent la communication . [11] Ils possèdent des hommes et des femmes et parlent ainsi avec le peuple. [9] Différentes régions d'Oromo ont des croyances et des compréhensions différentes de ce dont les Ayyanaa sont capables. Alors que certains soutiennent qu'Ayyanna ne peut pas agir seule sans un ordre de Waaqa , d'autres affirment que les Ayyaana sont capables d'affecter directement tous les aspects de la vie. [4] Waaqeffataascroient que toutes les créations de Waaqa ont leur propre Ayyaana assigné . [11] Les Ambo Oromo ont identifié plusieurs Ayyaanas par lignage et clan. Il existe des hiérarchies de pouvoir au sein de différents Ayyaana. Par exemple , l' Ayyanna d'un clan est plus forte que l'Ayyana d'une lignée qui à son tour est plus forte que l'Ayyanaa d'un individu. Il est très courant que les gens peignent leur peau avec l'espèce de brousse africaine locale "aaasqaama". Les adeptes carboniseront ce buisson et couvriront leur peau de peinture carbonisée, pour se consacrer à Iinqqaama [11]
 
Le Qaalluu est une institution importante du système religieux et social oromo. [12] Il sert à protéger la culture et la tradition Oromo. Qaalluu vient du mot oromiffa qull , qui se traduit par « pur, saint, sacré, irréprochable, noir ». [5] Dans l'institution Qaalluu, les Qaallu (hommes) ou Qaallitti/Ayyaantu (femmes) sont considérés comme des messagers de Waaqa parce qu'ils sont attachés à l' Ayyaana. [10] Les Qaalluu/Qaallitti servent de prêtres de haut rang et de chefs rituels qui peuvent officier pour Waqeffanna parmi les Oromo. Il existe une variété de mythes sur la façon dont le premier Qaalluu(grand prêtre) est né. Alors que certains pensent qu'il est tombé du ciel et que d'autres prétendent qu'il a été retrouvé avec la première vache noire, il n'y a pas de consensus sur son origine divine. [13] On pense que les Qaalluu et Qaallitti sont les gardiens des lois de Waaqa. Ils vivent et pratiquent des activités rituelles ( dalalga ) dans la salle rituelle traditionnelle oromo connue sous le nom de Galma . [14] Une myriade de facteurs, dont l'ancienneté, l'acceptation dans la communauté, la qualification morale, le statut social et d'autres qualités de leadership, sont pris en considération lorsqu'un Qaalluu/Qaalliti est choisi. [4]


En tant que messagers de la Waaqa , les Qaalluu et les Qaallitti ont la responsabilité morale et sociale de respecter les normes éthiques les plus élevées et de les pratiquer. [13] On s'attend à ce que l'institution Qaalluu reste politiquement neutre et serve de lieu de délibération équitable. De même, les prêtres sont obligés de condamner la tyrannie et de soutenir le système démocratique Gadaa des Oromo. Les Qaalluu/Qaalliti ont le pouvoir de donner ou de refuser des bénédictions aux dirigeants de Gadaa comme ils l'entendent. [13]
Qalluu semble proche du mot kallouche ,berbere , de l' hindou Kali , du turc kara , du tamoul kara, karu , karuppu,kariyar ( proche du tamoul kar qui signifie bruler , etre dore , briller et du sumerien kar qui signifie briller ) et du tcherkesse kariyar tous relatifs a la couleur noire !!!!!!!!!!!!! qu' en penses tu @tajali ?
 
Le Maaram dans Waaqeffana fait référence à la divinité des femmes. Maaram est une autre création de Waaqa et est la mère de l'océan. On croyait que le marram aidait les femmes stériles à concevoir un enfant et aidait les femmes enceintes à accoucher sans complications. [15] Les Qaalluu prient pour Maaram toutes les deux semaines pour la fertilité et les enfants.
L' aquivalent de Marie, Myriam ?
 

Pèlerinage d'Abbaa Muudaa​


L'expression Abbaa Muudaa se traduit par «le père de la pommade ». A Waaqeffanna , l' Abbaa Muudaa est considéré comme le plus haut Qaalluu et un prophète. Les Waaqeffataas de toute la région parcourent de longues distances en pèlerinage pour voir Abbaa Muudaa. Ce voyage implique d'honorer l' Abbaa Muuda mais aussi de recevoir une bénédiction et une onction. Les Waaqeffataas qui entreprennent le pèlerinage sont choisis par leurs clans et sont autorisés à accomplir des rituels religieux à leur retour dans leurs foyers. Les personnes qui font le voyage doivent respecter les normes morales les plus élevées de lasociété . Ils doivent être mariés et également circoncis après quarante ans dans le système Gadaa. [12]


Les pèlerins apportent un taureau et un mouton en cadeau à Abbaa Muudaa. Après l' onction , les pèlerins reçoivent le titre de Jila, qui signifie « peuple saint ». Les Jila sont qualifiés pour effectuer des rituels et des sermons dans leurs clans et villages et ils servent de lien entre l'Abbaa Muudaa et le peuple. L'Abbaa Muuda était généralement situé sur les hautes terres éthiopiennes du moyen sud. [12] Avant les années 1900, les Abba Muudaa étaient situés à Mormor à Bali, Wallaga, Wallal, Harro Walabu, Ballo Baruk et Debanu. [12] Aujourd'hui, l'institution Qaalluu existe toujours dans certaines parties de la région, y compris les régions de Guji et de Borana. [13
 
Irreechaa est une cérémonie d' action de grâce DE LA wAAQEFANNAA célébrée deux fois par an, au printemps (Irreecha Birraa) et à l'automne (Irreecha Arfaasaa). [ citation nécessaire ] C'est la cérémonie où les Oromo rendent grâce à Waaqa et admirent et apprécient ses créations et leur interconnexion. [16] L'Irrecha Birraa, également connue sous le nom d'Irrecha Melka, est détenue par le lac Arsedi. Le lac Harsedi (Hora Harsedi) est un lac sacré trouvé à Bishoftu . Des millions de personnes se rendent chaque année au lac pour célébrer la fête. [17]

Les Waaqeffataas croient que lorsqu'une personne meurt, elle retrouvera ses anciens proches à Iddoo Dhugaa , qui se traduit par «lieu de vérité». [18] Les Waaqeffataas honorent [croient en] les esprits de ceux qui sont morts et ils observent [prient] ekeraa (l'esprit de la personne décédée). Chaque année en décembre, ils célèbrent l' Ekeraa avec du pain, du fromage avec du beurre, de la bière et du miel. [8]
 
La religion Waaqeffanna n'a pas d'écritures ou de livres saints qui existent aujourd'hui. [1] Les Waaqeffataas croient que Waaqa a donné aux Oromo un livre sacré, mais il a été avalé par une vache. Parce que Waaqa était en colère, il n'a pas fourni de deuxième livre. Les fidèles qui pratiquent cette religion cherchent donc le livre perdu dans les intestins des vaches. Là où la religion est pratiquée, des experts sont appelés après les cérémonies d'abattage des vaches pour examiner la signification de la muqueuse des intestins. [1] [19]
 
MYTHOLOGIE SOMALIE
Waaq est l'ancien dieu du ciel couchitique plus spécifique à de nombreuses tribus Waaq . [3] [4] [5] Ce n'est pas un nom somalien spécifique en soi et selon la légende somalienne, Eebbe vivait dans les cieux et chaque fois que les nomades priaient avec succès pour la pluie, ils recherchaient son indulgence.
On pense que le peuple somalien à l'époque pré- islamique a adhéré à un système de croyances complexe, avec un ensemble de divinités remplacées par une seule figure toute-puissante appelée Waaq ( Dieu , également connu en Oromo sous le nom de Waaq ). Les temples religieux datant de l' antiquité connus sous le nom de Taallo étaient les centres où se déroulaient d'importantes cérémonies dirigées par un prêtre Wadaad . Waaq était un dieu du ciel préislamique associé à l'eau/la pluie, la fertilité, les arbres sacrés, les animaux, la nature, la paix et l'harmonie. Il est interprété en somali avec des mots commeBar waaqo ("abondant"), Ceel Waaq (nom d'une ville) et Cabu Waaq (une ville du centre de la Somalie principalement peuplée par le clan Marehan). [1] [2]
 
Ayaanle ( Anges )Les Ayaanle de l'ancienne Somalie étaient connus comme les bons esprits et agissaient comme médiateurs entre Dieu et les humains. On disait qu'ils étaient porteurs de chance et de bénédictions .
Huur ( Moissonneur )Huur était le messager de la mort et avait la forme d'un grand oiseau. La divinité s'apparentait à Horus de l'Égypte ancienne et jouait un rôle similaire dans la société somalienne.
Nidar ( le punisseur )Nidar était le justicier du mal. Il était considéré comme le champion de ceux qui étaient exploités par leurs semblables. La divinité a survécu dans la Somalie moderne en tant que dicton populaire; Nidar Ba Ku Heli ("Nidar trouvera et punira ceux qui sont méchants").
Wagar STELE PHALLIQUE SYMBOLE DE FERTILITE. [8]
 
Amel Ali ( reine )Amel Ali était une reine légendaire de l'ancienne Somalie qui serait la femme la plus rapide de son temps.
Wiilwaal ( Roi )Wiil Waal était un roi légendaire de l'ancienne Somalie connu pour sa bravoure et ses compétences au combat.
Arraweelo (reine) La reine Arraweelo était une reine légendaire, qui a renforcé les droits des femmes. De nombreuses épopées soutiennent la légende d'Araweello en tant que leader féminine déterminante à son époque.
 
Dernière édition:
La facon de parler dans la religion Wakh est tres similaire a celle de l' islam :
Ô merveille ! Ô merveille ! . . . Les prodiges sont au nombre de six : Le calao se plaint sans
être malade ; la plante fleurit sans nourriture ; l'eau coule sans être
poussée ; la terre est fixée sans piquets ; les cieux se tiennent debout sans
appuis ; au firmament, il (Dieu) a semé les pois chiches du ciel. Ces
choses me remplissent d'émerveillement. Prions tous Dieu ! Ô Dieu, qui m'as fait
passer la journée, fais-moi bien passer la nuit !

-  La chanson Waaqeffannaa, dans "La littérature populaire des Oromo". [sept]
 
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