Les journaux israéliens Haaretz et Yediot Aharonot ont révélé que de nombreux civils de la “rave party” ont été tués par des hélicoptères de l'armée israélienne lors des attaques du 7 octobre.
Plusieurs témoignages, dont celui de Yasmin Porat, survivante des attaques du 7 octobre, affirmaient que beaucoup de civils israéliens avaient été tués par les tirs provenant de l'armée israélienne.
“Le Hamas nous a traités très humainement”
Dans un entretien accordé le 15 octobre à la Radio d’Etat israélienne, Yasmin Porat affirmait sans ambiguïté que les commandos du Hamas s'était comporté “très humainement” avec les otages, et que les participants à la rave party avaient été tués par des “tirs venant de l'armée israélienne”.
Depuis, l'émission de radio a été supprimée du site officiel de la Radio d’Etat israélienne.
Des nouvelles révélations du journal israélien Haaretz, se basant sur des rapports des services de sécurité israéliens, corroborent la version des témoins.
Haaretz affirme que l'enquête a également révélé qu'un hélicoptère de combat israélien avait touché des civils alors qu’il tirait sur des membres du Hamas.
"Selon une source policière, l'enquête montre également qu'un hélicoptère de l'armée israélienne, qui est arrivé sur les lieux et a apparemment ouvert le feu sur les membres du Hamas qui s'y trouvaient, a également abattu des participants au festival” rapporte le journal.
Le journal israélien Yediot Aharonot a également publié un article sur les hélicoptères de l'armée de l'air israélienne qui intervenaient lors de l'attaque menée par le Hamas depuis Gaza.
Le journal rapporte que les forces israéliennes “ont eu du mal à distinguer les militants du Hamas et les İsraéliens”, ajoutant que les pilotes d'hélicoptères “ont utilisé des obus d'artillerie, de manière indépendante, sans obtenir l'autorisation de leurs supérieurs” contre les civils lors du festival.
La police a estimé que le nombre de personnes tuées lors du festival était de 364, mais n'a pas communiqué leur identité.
Ces nouvelles révélations contredisent la version officielle israélienne sur l’attaque du 7 octobre, qui affirmait que les participants au festival avaient tous été massacrés par les commandos du Hamas.
Otages et Hamas dans l'hôpital
Mais le gouvernement et les médias israéliens n’en sont pas à leurs premières désinformations.
Depuis plusieurs semaines, l'armée israélienne justifiait ses raids et ses assauts dans l'hôpital Al-Shifa, arguant qu’il servait non seulement de base arrière pour les militants du Hamas, mais abritait également des otages israéliens.
Après les offensives sur l'hôpital au cours de la semaine dernière l'armée israélienne a dû se résoudre à déclarer qu’il n’y avait “aucune indication sur la présence de prisonniers” dans l’enceinte de l'hôpital, pas plus qu’elle n’a été en mesure de prouver l’utilisation de l’institution médicale par les membres du Hamas comme base arrière.
À mesure que les nombreuses désinformations israéliennes sont déconstruites par de nouvelles révélations, le récit israélien s’effondre et l'État hébreu semble de plus en plus perdre la bataille médiatique, malgré les énormes moyens mis en œuvre par ce dernier.
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Plusieurs témoignages, dont celui de Yasmin Porat, survivante des attaques du 7 octobre, affirmaient que beaucoup de civils israéliens avaient été tués par les tirs provenant de l'armée israélienne.
“Le Hamas nous a traités très humainement”
Dans un entretien accordé le 15 octobre à la Radio d’Etat israélienne, Yasmin Porat affirmait sans ambiguïté que les commandos du Hamas s'était comporté “très humainement” avec les otages, et que les participants à la rave party avaient été tués par des “tirs venant de l'armée israélienne”.
Depuis, l'émission de radio a été supprimée du site officiel de la Radio d’Etat israélienne.
Des nouvelles révélations du journal israélien Haaretz, se basant sur des rapports des services de sécurité israéliens, corroborent la version des témoins.
Haaretz affirme que l'enquête a également révélé qu'un hélicoptère de combat israélien avait touché des civils alors qu’il tirait sur des membres du Hamas.
"Selon une source policière, l'enquête montre également qu'un hélicoptère de l'armée israélienne, qui est arrivé sur les lieux et a apparemment ouvert le feu sur les membres du Hamas qui s'y trouvaient, a également abattu des participants au festival” rapporte le journal.
Le journal israélien Yediot Aharonot a également publié un article sur les hélicoptères de l'armée de l'air israélienne qui intervenaient lors de l'attaque menée par le Hamas depuis Gaza.
Le journal rapporte que les forces israéliennes “ont eu du mal à distinguer les militants du Hamas et les İsraéliens”, ajoutant que les pilotes d'hélicoptères “ont utilisé des obus d'artillerie, de manière indépendante, sans obtenir l'autorisation de leurs supérieurs” contre les civils lors du festival.
La police a estimé que le nombre de personnes tuées lors du festival était de 364, mais n'a pas communiqué leur identité.
Ces nouvelles révélations contredisent la version officielle israélienne sur l’attaque du 7 octobre, qui affirmait que les participants au festival avaient tous été massacrés par les commandos du Hamas.
Otages et Hamas dans l'hôpital
Mais le gouvernement et les médias israéliens n’en sont pas à leurs premières désinformations.
Depuis plusieurs semaines, l'armée israélienne justifiait ses raids et ses assauts dans l'hôpital Al-Shifa, arguant qu’il servait non seulement de base arrière pour les militants du Hamas, mais abritait également des otages israéliens.
Après les offensives sur l'hôpital au cours de la semaine dernière l'armée israélienne a dû se résoudre à déclarer qu’il n’y avait “aucune indication sur la présence de prisonniers” dans l’enceinte de l'hôpital, pas plus qu’elle n’a été en mesure de prouver l’utilisation de l’institution médicale par les membres du Hamas comme base arrière.
À mesure que les nombreuses désinformations israéliennes sont déconstruites par de nouvelles révélations, le récit israélien s’effondre et l'État hébreu semble de plus en plus perdre la bataille médiatique, malgré les énormes moyens mis en œuvre par ce dernier.
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