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Catégorie Principale
Philosophie, spiritualité et autres religions
Le paradoxe d'un dieu fini
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[QUOTE="NASIRANOUAR, post: 16902177, member: 329495"] Bonsoir Ebion :) Pourquoi la notion d'infini ne pourrait-elle pas s'appliquer à des être immatériels ? Il n'est pas possible de se représenter l'immatérialité sans la teinter de quelque matérialité. C'est la raison pour laquelle en métaphysique, il est plus judicieux de dresser les "contours?" (le mot est sûrement mal choisi) de l'immatérialité ( Dieu, l'âme, la res cogitans...) plutôt que d'étudier le concept de l'intérieur. Je peux me tromper, mais il est possible qu'au final, vous vous représentiez ces deux catégories - matérialité/immatérialité - de la même façon. Ensuite, si on considère qu'il y a potentiellement meilleur que Dieu au sujet d'un aspect en particulier, ça voudra dire qu'il y a une part non actualisée en ce Dieu. C'est le sens même de la potentialité. Où se trouve cette potentialité ? elle doit nécessairement résider dans un être actuel autre que ce Dieu, sinon il n'y aurait aucun sens à parler de meilleur. Elle réside donc en un Dieu d'une actualité supérieure, comme vous le suggérez, et ainsi de suite, jusqu'à atteindre un Dieu qui est pure actualité, sans aucune potentialité en lui. C'est vulgairement l'argument par le mouvement d'Aristote, sauf que lui part de la nature en tant que chaîne de potentialités et d'actualités. Sohrawardi et Chirazi, en partant d'une approche presque opposée, parlent de lumière qui ne souffre d'aucune ombre pour le premier et de degré parfait de l'existence pour le deuxième, désignant à leur manière (et de façon, à mon avis, bien plus élaborée que l'aristotélisme) Dieu comme Pur acte. La raison recommande davantage ce Dieu "ultime" plutôt que les autres. Je crois en l'existence de ces autres êtres, mais je ne les appelle pas Dieu, tout simplement, mais plutôt anges, démons, esprits incorporels... [/QUOTE]
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