Le plafond légal de la dette américaine atteint à la mi-octobre

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“Shutdown”: Barack Obama accuse ses adversaires républicains d’une “croisade idéologique”


Cette “croisade idéologique” serait destinée, selon Barack Obama, à priver des millions d’Américains d’une assurance santé abordable. Le Président américain a exhorté les conservateurs à mettre fin à cette paralysie, la première du genre en 17 ans.

“Si vous avez un cancer, vous avez 70% de chances de vivre cinq ans de plus avec une assurance. Pensez à cela. C’est ce que cela signifie avoir une assurance maladie. C’est une question de vie ou de mort.

Des dizaines de milliers d’Américains meurent chaque année simplement parce qu’ils n’ont pas d’assurance santé. Des millions d’autres vivent dans la crainte de tomber malades. Aujourd’hui, nous commençons à libérer de cette peur des millions de nos compatriotes”, a lancé le président lors d’un discours à la Maison Blanche.

Barack Obama a aussi fait savoir qu’il n‘était pas fermé à d‘éventuels changements concernant le texte sur la réforme de l’assurance maladie tout en précisant qu’il n’accepterait jamais que ces modifications soient accordées en contrepartie d’un vote sur le budget.

Malgré le “shutdown”, un volet important de l’“Obamacare” est entré en vigueur ce mardi. Ainsi, les non-assurés peuvent désormais s’inscrire sur internet pour bénéficier d’une couverture subventionnée à partir de janvier 2014.

http://fr.euronews.com/2013/10/01/obama-ne-compte-pas-ceder-au-chantage-des-republicains/
 
Le blocage budgétaire persiste aux Etats-Unis

Aucun terrain d'entente sur le budget n'a pu être trouvé entre républicains et démocrates au deuxième jour de la fermeture partielle des services fédéraux aux Etats-Unis, mercredi, lors d'une réunion présidée par Barack Obama à la Maison blanche.

Pendant les discussions, Barack Obama a prévenu qu'il n'entendait pas négocier tant sur un budget fédéral provisoire que sur le relèvement du plafond de la dette.

Les républicains, majoritaires à la Chambre des représentants, cherchent à obtenir le report de l'application de la réforme de l'assurance-santé, entrée en vigueur mardi, en échange de leur feu vert budgétaire, mais Barack Obama et les démocrates refusent ce qu'ils qualifient de chantage.

Après plus d'une heure de discussions, la Maison blanche a diffusé un communiqué indiquant que Barack Obama espérait toujours que "le bon sens prévaudra(it)" dans ce bras de fer.

"Le président a clairement dit aux dirigeants (du Congrès) qu'il ne négocierait pas sur la nécessité pour le Congrès d'agir afin de rouvrir les services gouvernementaux, ou de relever le plafond de la dette afin d'honorer les factures que le Congrès a déjà validées", peut-on lire dans le communiqué.
"La Chambre pourrait agir dès aujourd'hui pour rouvrir les services fédéraux et faire cesser les dommages que cette fermeture cause à l'économie et aux familles de ce pays."

Barack Obama s'est entretenu avec le président républicain de la Chambre des représentants John Boehner, le chef de la minorité républicaine au Sénat Mitch McConnell, le chef de la majorité démocrate au Congrès Harry Reid et la chef de la minorité démocrate à la Chambre, Nancy Pelosi.

Il s'agissait de la première réunion entre le président et les leaders du Congrès depuis la fermeture partielle des services fédéraux lundi à minuit (mardi 04h00 GMT).

"SUIS-JE EXASPÉRÉ ? ABSOLUMENT"

John Boehner est sorti de l'entretien en déclarant que le président refusait de négocier. "Le président a redit une nouvelle fois qu'il ne négocierait pas. Tout ce que nous demandons, c'est une discussion et l'équité pour le peuple américain face à Obamacare", a-t-il dit.

Harry Reid a expliqué que Barack Obama avait une nouvelle fois refusé de lier le financement des administrations fédérales à une renégociation de la réforme du système de santé. "Il ne tolérera pas" cette tactique des républicains, a-t-il dit.

Egalement présente à la réunion, Nancy Pelosi, chef de la minorité démocrate à la Chambre, a déclaré que Barack Obama ne comptait pas invoquer une clause du 14e amendement de la Constitution des Etats-Unis pour relever de sa propre autorité le plafond de la dette américaine.

Selon le département du Trésor, le pays sera à court de liquidités le 17 octobre si ce plafond, actuellement fixé à 16.700 milliards de dollars, n'est pas relevé par le Congrès.
La fermeture partielle des services fédéraux est entrée en vigueur faute de budget provisoire (résolution de continuité) adopté avant le début de l'exercice fiscal le 1er octobre.
Elle a provoqué la mise au chômage technique de centaines de milliers de fonctionnaires et le président lui-même a dû réduire le programme de sa prochaine tournée dans le Sud-Est asiatique.

"Suis-je exaspéré? Absolument, je suis exaspéré. Parce que c'est totalement inutile", a déclaré Barack Obama sur l'antenne de CNBC avant de rencontrer les dirigeants du Congrès.
"Je suis exaspéré par l'idée qu'à moins de dire à 20 millions de personnes, 'vous ne pouvez pas avoir d'assurance maladie', ces types ne rouvriront pas le gouvernement. C'est irresponsable."

boursorama
 
En Iran, l’offensive discrète des entreprises américaines

6 octobre, 2013

Petit article sur ces américains qui commencent à « courtiser » l’Iran après leur avoir fait vivre la misère durant des années! Embargo, coupure du réseau swift, accusations diverses et variées… Le pire, c’est que au nom de l’embargo, les USA ont interdit à Peugeot PSA ainsi qu’à Renault de vendre en Iran, avec pour conséquence une très grosse baisse du chiffre d’affaire, des licenciements à la pelle (souvenez-vous des 8000 virés de chez PSA…), un affaiblissement des entreprises (avec rumeurs de rachats de PSA par les USA entre autres…).

General Motors noue des contacts à Téhéran. Au détriment de Peugeot et Renault, paralysés par les sanctions.

Anticipant un dégel entre Washington et Téhéran, les entreprises américaines ont discrètement repris pied en Iran, vaste marché de 80 millions de consommateurs, riche en gaz et en pétrole. «La plupart des secteurs de l’économie américaine, y compris des sociétés cotées au Nasdaq, ont envoyé ces derniers mois des émissaires en Iran», affirme un industriel français, familier de la République islamique. Ces missi dominici utilisent souvent un passeport suisse, Berne représentant les intérêts américains depuis la rupture des relations diplomatiques en 1980 entre les deux pays.

La filière automobile iranienne est particulièrement courtisée par General Motors. Le géant américain est entré en contact avec Iran Khodro, qui travaillait jusqu’en 2012 avec Peugeot pour fabriquer des modèles 206 et 405 que le groupe français a cessé de livrer à l’Iran à cause des sanctions occidentales imposées à Téhéran pour ses ambitions nucléaires. «Depuis au moins six mois que les émissaires de General Motors se rendent en Iran, ils n’en sont plus au simple repérage du marché», avertit l’industriel, «mais plutôt à l’ébauche du contrat de reprise des activités de GM», qui était solidement implanté du temps du chah.

Pour sensibiliser les Iraniens à son retour, la multinationale de Detroit s’est même offert une campagne de publicité l’an dernier dans plusieurs journaux iraniens, via un grand cabinet d’avocats internationaux. Depuis, GM est même allé jusqu’à exporter cet été en Iran des modèles Camaro, via l’Azerbaïdjan. «Un premier lot pour tester la réaction du marché», note le concurrent français.

Cette initiative ne viole pas l’Executive Order Act 13645 signé le 3 juin dernier par Barack Obama. Ce décret présidentiel sanctionne toute entité étrangère qui vend ou fournit des pièces ou des services au secteur automobile iranien mais ne proscrit pas la fourniture de véhicules.....................


http://www.lefigaro.fr/conjoncture/...sive-discrete-des-entreprises-americaines.php
 
Le Pentagone a dépensé 5.5 milliards de dollars quelques heures avant le shutdown

Le moins que l'on puisse dire c'est que le DOD s'est fait plaisir quelques heures avant le shutdown:

Quelques heures avant que le Congrès ne ferme le gouvernement fédéral et mette des centaines de milliers de travailleurs fédéraux au chômage technique, le Pentagone a fait tranquillement une virée shopping et a dépensé plusieurs milliards (ndt: rien que ça...et quand vous allez voir la liste des achats, vous allez voir à quoi ils préfèrent utiliser leur argent).
Le ministère de la Défense a attribué 94 contrats totalisant plus de 5,5 milliards de dollars en tout, des camions Mercedes-Benz, des robots sous-marins en passant par un nouveau gymnase à l'Air Force Academy , complété par un studio de télévision (ndt: sans doute une priorité nationale?) , rapporta Foreign Policy.

Puis quelques heures plus tard, le gouvernement a fermé et 400.000 employés civils du DOD ont été mis hors jeu jusqu'à nouvel ordre .

Le Pentagone utilisent des centaines de millions de dollars de contrats pré-approuvés avec des entreprises tous les jours , mais il en consacre généralement plus le dernier jour de l'exercice fiscal.

Cette fois, cependant , c'est une autre histoire , puisque le Congrès n'a toujours pas approuvé un budget pour financer le gouvernement pour la nouvelle année, laissant tous les ministères et travailleurs fédéraux dans les limbes jusqu'à ce que le moratoire sur au Capitole s'achève.

Voici un échantillon de ce qui était dans le panier des achats du DOD lundi soir..............


http://fawkes-news.blogspot.be/2013/10/le-pentagone-depense-55-milliards-de.html


http://www.thefiscaltimes.com/Artic...n-s-55-Billion-Dollar-Shutdown-Spending-Spree
 
Obama : "la réputation des États-Unis souffre du 'shutdown'"

Le président américain a de nouveau appelé ses adversaires républicains à voter un budget ainsi qu'un relèvement du plafond de la dette, et écarter ainsi la "menace" que l'actuel impasse budgétaire fait peser sur l'économie du pays.

Au huitème jour de l’impasse budgétaire américaine, Barack Obama a convoqué la presse à la Maison Blanche afin de mettre une pression supplémentaire aux républicains. Le président américain a prévenu que l'image et la réputation des États-Unis souffraient du blocage entre parlementaires républicains et démocrates sur le budget 2014 à l'origine du "shutdown" affectant l'administration fédérale. "À chaque fois que nous faisons ces choses, notre réputation dans le monde en pâtit. Nous avons l'air de ne pas savoir où nous allons", a estimé le dirigeant, précisant que cette situation l’avait contraint à renoncer à une tournée en Asie cette semaine.................


http://www.france24.com/fr/20131008...hutdown-dette-republicains-democrates-blocage
 
Obama ne négociera pas le budget sous la contrainte
08/10 | 22:52



  • Obama demande à Boehner un vote simple sur le budgetIl se dit prêt à négocier dès la levée du blocageObama tente de rassurer les investisseurs internationaux (Actualisé avec détails, citations)
    Barack Obama a tenté de reprendre la main mardi dans le blocage politique à l'origine du "shutdown" de l'administration américaine, affirmant qu'il ne négocierait pas sous la contrainte avec les républicains déçus de cette mise en demeure.

    Le chef de l'Etat américain s'est dit prêt à discuter des questions liées à l'adoption du budget 2014 mais une fois seulement les services fédéraux rouverts et le plafond de la dette relevé sans condition.

    Dans une conférence de presse, Barack Obama a expliqué qu'il ne discuterait pas sous la menace "des franges les plus extrêmes du parti républicain", pointant du doigt sans les nommer les élus du Tea Party.

    "Si des républicains raisonnables veulent à nouveau dialoguer de ces questions, je suis prêt à me rendre à Capitole Hill et à essayer", a-t-il poursuivi.................

    http://www.lesechos.fr/entreprises-...a-pas-le-budget-sous-la-contrainte-615190.php
 
Obama ne négociera pas le budget sous la contrainte
08/10 | 22:52



  • Obama demande à Boehner un vote simple sur le budgetIl se dit prêt à négocier dès la levée du blocageObama tente de rassurer les investisseurs internationaux (Actualisé avec détails, citations)
    Barack Obama a tenté de reprendre la main mardi dans le blocage politique à l'origine du "shutdown" de l'administration américaine, affirmant qu'il ne négocierait pas sous la contrainte avec les républicains déçus de cette mise en demeure.

    Le chef de l'Etat américain s'est dit prêt à discuter des questions liées à l'adoption du budget 2014 mais une fois seulement les services fédéraux rouverts et le plafond de la dette relevé sans condition.

    Dans une conférence de presse, Barack Obama a expliqué qu'il ne discuterait pas sous la menace "des franges les plus extrêmes du parti républicain", pointant du doigt sans les nommer les élus du Tea Party.

    "Si des républicains raisonnables veulent à nouveau dialoguer de ces questions, je suis prêt à me rendre à Capitole Hill et à essayer", a-t-il poursuivi.................

    http://www.lesechos.fr/entreprises-...a-pas-le-budget-sous-la-contrainte-615190.php
John Boehner: Just vote.
https://my.barackobama.com/page/s/b...0131008_bo_boehner-just-vote-video_justvote_2


https://my.barackobama.com/page/s/b...0131008_bo_boehner-just-vote-video_justvote_2
 

Pièces jointes

  • John Boehner JUST VOTE.JPG
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L’État fédéral des États-Unis est partiellement bloqué depuis une semaine maintenant. Combien de temps cela peut-il durer ? Comment mettre fin à cette paralysie politique ? Explications.

Vous êtes en vacances aux Etats-Unis ? Pas de bol : parc, zoos et musées nationaux ont temporairement mis la clé sous la porte. Vous ne pourrez ni visiter le Capitole à Washington ni la statue de la Liberté à New York, ni le Yosemite Park en Californie. En cause : le “shutdown”, soit la paralysie partielle de l’Etat fédéral américain qui sévit depuis maintenant une semaine. Si les écoles publiques restent ouvertes, le ministère de l’Éducation tourne, lui, au ralenti, tout comme les autres administrations américaines. Bilan : environ 800 000 fonctionnaires sont au chômage technique, sans savoir quand ils pourront reprendre le travail. Autre conséquence : cinq familles de soldats morts en Afghanistan depuis le début du shutdown ne recevront pas les allocations gouvernementales prévues pour financer les funérailles.

Une situation rocambolesque qui trouve son origine dans un désaccord politique : démocrates (majoritaires au Sénat) et républicains (majoritaires à la Chambre des représentants) ne sont pas parvenus à se mettre d’accord sur le budget à voter avant le 30 septembre, date à laquelle l’année fiscale prend fin aux États-Unis. Résultat : faute de financement, l’exécutif a dû mettre au chômage technique les fonctionnaires les moins indispensables.

Derrière cette paralysie partielle se cache, surtout, le Tea Party. Fervents opposants à l’Obamacare, la réforme de l’assurance maladie portée par Barack Obama, les représentants du Tea Party au Congrès, suivis par l’ensemble du Parti républicain, ont décidé de bloquer le vote du budget consacré à l’Obamacare, bloquant du même coup le vote de l’ensemble du budget fédéral. Objectif : mettre à mal les démocrates avant les élections de mi-mandat de 2014 lors desquelles seront renouvelés les 435 représentants de la Chambre, ainsi qu’un tiers des sénateurs et un tiers des gouverneurs.................

http://www.lesinrocks.com/2013/10/09/actualite/ou-en-est-shutdown-etats-unis-11434656/
 
Paralysie du budget fédéral étasunien. Quelles conséquences pour l’Occident ? avec Jacques Sapir


 
Paralysie du budget fédéral étasunien. Quelles conséquences pour l’Occident ? avec Jacques Sapir



Drianke, tout ce brouhaha n'est que positionnement politique et preparation aux elections a venir...comme d'habitude tout reviendra en ordre sous peu. On est habitué a ce cirque politique et bientot le calme reviendra apres 90mn de dialogue autour d'un verre de whisky. Seulement cette fois ils ont poussé le bouchon un peu trop.

Wakh bu bare rekk.
 
s'il se plante et alors ? il y aura un nouvel ordre mondial qui se mettra en place la suprematie des USA n'est pas sans limite , ce n'est qu 'un rapport economique .
Tu ne dois pas avoir beaucoup d'économie pour parler comme ça.
Le temps que ton nouvelle ordre mondial, se mette en place. On aura bien morflé. Je te rappels que les crises touchent les pauvres et la classe moyenne. Les riches s'en sortent toujours.
 
Ils ont la planche à billets et ils vivent à crédit depuis 1945... Et tout le monde continue à acheter leur papiers en bons du trésor!...

Pas moi. J'ai vendu mes derniers US-bonds l'annee derniere, et je suis content de ne plus en avoir aujourd'hui dans le depot. Je compatis avec ceux qui en ont encore... Serieusement.
 
Iran: Washington menace les entreprises françaises
9 février, 2014


Le voyage inédit d’une centaine de patrons français en Iran qui s’est achevé mercredi a provoqué les critiques de John Kerry, le chef de la diplomatie américaine. Mais Washington a aussi des arrière-pensées commerciales.

La visite historique à Téhéran d’une délégation de plus de cent représentants d’entreprises françaises, entre lundi et mercredi, n’a pas été appréciée à Washington. John Kerry, le chef de la diplomatie américaine, a menacé les sociétés françaises. «Si les Français peuvent envoyer des hommes d’affaires là-bas (en Iran), a-t-il déclaré mercredi soir sur CNN, ils ne peuvent pas violer les sanctions. Ils seront punis s’ils le font et ils le savent».
Quelques heures plus tôt, le Kerry s’était entretenu au téléphone avec son homologue français Laurent Fabius. Le voyage des patrons français organisé par le Medef n’est «pas utile», a déclaré John Kerry, selon l’un de ses subordonnés. «Téhéran n’est pas ouvert au commerce et aux affaires parce que la levée des sanctions est assez provisoire, assez limitée et assez ciblée», a commenté Wendy Sherman, sous-secrétaire d’État chargée des affaires politiques.

En réponse, Pierre Moscovici, le ministre de l’Économie, avait indiqué mercredi soir que la visite du Medef n’était pas un signe de «laxisme» de la France vis à vis des sanctions contre l’Iran mais «un pari sur l’avenir». À la suite de l’accord intérimaire conclu en novembre dernier entre l’Iran et le groupe «5+1» (États-Unis, Chine, Russie, France, Royaume-Uni et Allemagne) sur le programme nucléaire iranien, une petite partie des sanctions internationales a été levée à partir du 20 janvier. Le commerce de pétrole brut, de gaz et de produits raffinés iraniens reste sous embargo des États-Unis et de l’Europe, mais certains avoirs gelés ont été débloqués et certains échanges autorisés. L’accord de Genève prévoit que cette levée des sanctions est réversible si les négociations n’aboutissent pas à un accord définitif d’ici six mois.

Boeing et GM en embuscade
Dans ce contexte sensible, le Quai d’Orsay avait dûment chapitré les patrons voyageurs, comme le raconté
la semaine dernière. Même un diplomate américain, Peter Harrel, avait convié une partie de la délégation à l’ambassade, à Paris pour leur rappeler les sanctions en vigueur. Le Medef avait d’ailleurs entouré le voyage d’une certaine discrétion et les représentants de Renault, PSA, GDF Suez, Total, Alstom, l’Oréal ou encore Lafarge avaient pris soin de souligner que le voyage était «exploratoire», et qu’aucun contrat ne serait signé.

À Téhéran, malgré la neige qui a recouvert la ville, l’accueil du conseiller du président Rohani, Mohammad Nahavandian, et de responsables de la Chambre de commerce, a été chaleureux. Le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif, qui avait rencontré John Kerry le week-end dernier à Munich, a fustigé les commentaires du Département d’État sur la visite des Français. «Ce genre de déclarations n’aide pas et pourrait même avoir un impact négatif» sur les négociations sur le nucléaire, a-t-il déclaré.

Inédite par son effectif, la délégation du Medef n’était pas la première à venir tâter le terrain commercial à Téhéran. Des Autrichiens, des Britanniques et des Italiens avaient précédé les Français. Des Américains aussi. General Motors et Boeing œuvrent déjà en coulisse et entendent bien rafler d’importants contrats, le jour où les affaires reprendront vraiment.

Source: Le Figaro
 
d'ailleurs, Hollande va officiellement chez Obama
on se demande bien pourquoi :eek:
à part la monnaie et la Syrie.....................

mam
 
Les états-unis à nouveau en récession

C’est La nouvelle économique de la semaine, reprise comme il se doit par Charles Sannat dans son éditorial ce matin. Les états-unis, qui étaient soi-disant sortis de la récession et dont toute la presstitute et les élites nous affirmaient qu’ils étaient repartis sur la voix de la croissance la plus audacieuse et patati et patata, sont entrés à nouveau en récession sur le premier trimestre 2014 avec une contraction du PIB de 1%. Cela alors que le FMI annonçait 2.8% de croissance sur l’année, croissance qu’il faudra de toute évidence aller chercher avec les dents au rythme actuel, et ce malgré les maquillages statistiques dans le calcul du PIB qui intègre désormais la recherche et développement… C’est d’autant plus ballot que les USA sont sensés tirer la croissance mondiale et tous nous sauver de l’infâme dépression grâce à leur consommation « patriotique ». Mais voilà, de toute évidence ce sont les « super bears » comme Olivier Delamarche qui ont raison depuis le début en affirmant que les USA ne sont en réalité jamais sortis de la récession de 2008, et que seul l’argent déversé par la FED par tombereaux grâce aux QE a fait illusion un temps. Ce temps semble avoir pris fin, retour aux fondamentaux, à la crise économique et à la pauvreté de masse…






« Les États-Unis en récession, et Poutine va vendre son gaz aux Japonais !
 
Les états-unis à nouveau en récession

C’est La nouvelle économique de la semaine, reprise comme il se doit par Charles Sannat dans son éditorial ce matin. Les états-unis, qui étaient soi-disant sortis de la récession et dont toute la presstitute et les élites nous affirmaient qu’ils étaient repartis sur la voix de la croissance la plus audacieuse et patati et patata, sont entrés à nouveau en récession sur le premier trimestre 2014 avec une contraction du PIB de 1%. Cela alors que le FMI annonçait 2.8% de croissance sur l’année, croissance qu’il faudra de toute évidence aller chercher avec les dents au rythme actuel, et ce malgré les maquillages statistiques dans le calcul du PIB qui intègre désormais la recherche et développement… C’est d’autant plus ballot que les USA sont sensés tirer la croissance mondiale et tous nous sauver de l’infâme dépression grâce à leur consommation « patriotique ». Mais voilà, de toute évidence ce sont les « super bears » comme Olivier Delamarche qui ont raison depuis le début en affirmant que les USA ne sont en réalité jamais sortis de la récession de 2008, et que seul l’argent déversé par la FED par tombereaux grâce aux QE a fait illusion un temps. Ce temps semble avoir pris fin, retour aux fondamentaux, à la crise économique et à la pauvreté de masse…






« Les États-Unis en récession, et Poutine va vendre son gaz aux Japonais !

et aux chinois


mam
 
La séparation des bons du Trésor américain et de la Réserve fédérale a commencé. HR24

«Audit de la Fed : projet de loi Passe à la Chambre

Avec tous les autres événements économiques et géopolitiques qui se déroulent cette semaine, nous pouvons maintenant ajouter le passage de la vérification du projet de loi de la Fed au Congrès. Le projet de loi a été adopté massivement avec une marge de 333 à 92.

Le congrès Ron Broun a publié la déclaration suivante:

« Le passage d’aujourd’hui de la vérification du projet de loi HR24 nous rapproche un peu plus vers davantage de transparence nécessaire à la politique monétaire de notre pays. Pour les 100 dernières années, la Réserve fédérale, un organisme quasi-gouvernemental, a agit sous le voile du secret - le contrôle de notre politique monétaire et donc, de notre économie. Bien que ces dernières années, la Fed a été accordé d’un plus grand rôle dans la supervision de la réglementation du système financier, la loi actuelle interdit expressément la vérification des délibérations, les décisions ou les actions de la Réserve fédérale sur la politique monétaire. Ce manque de responsabilité et de transparence a conduit à des conséquences graves - et elle doit se terminer.

«Je félicite mes collègues, républicains et démocrates de même, pour leur soutien à ce projet de loi essentiel, et je félicite mon bon ami et ancien collègue, le Dr Ron Paul pour son leadership sur cette question importante. J’encourage fortement la majorité au Sénat, Harry Reid, de rappeler son soutien passé pour ce projet de loi - qui il a déclaré récemment, en 2010 - et de mettre ce projet de loi devant le Sénat pour un vote, afin que nous puissions offrir la transparence et la responsabilité du gouvernement du peuple américain a besoin et qu’ils méritent. «

Le projet de loi complète peut être lue ici.

Maintenant que nous sommes sur le point d’une transition économique au système multilatéral, il est prudent pour le gouvernement américain et du Trésor de commencer à se distancier de la Réserve fédérale et commencent à exécuter le jeu du blâme.

Ceux qui ont suivi mon site depuis Janvier reconnaîtront la tendance évidente à la lecture ici. Le Congrès a acces à la législation nécessaire pour adopter le Code 2010 du FMI des réformes qui visent à la restructuration du Conseil d’administration du Fonds monétaire international. Ce qui permet pour le dollar USfed à éliminer comme le principal monnaie de réserve du monde et le remplacer par le DTS .Monnaie souverraine à mettre en œuvre.


Un autre aspect des réformes 2010 sera de permettre l’ajout du renminbi chinois à la valeur du panier du DTS. Le renminbi s’internationalise rapidement et le Shanghai Gold Exchange est une composante importante de ce processus.

Nous assistons à des changements dramatiques qui se déroulent cette année et les résultats continuent d’affluer. Nous ne pouvons guère aller de l’avant sans une autre grande rupture de l’histoire économique ou géopolitique.

http://kitdemonter.wordpress.com/20...in-et-de-la-reserve-federale-a-commence-hr24/


http://www.campaignforliberty.org/national-blog/rep-paul-broun-speaks-audit-fed/
 
“Shutdown”: Barack Obama accuse ses adversaires républicains d’une “croisade idéologique”


Cette “croisade idéologique” serait destinée, selon Barack Obama, à priver des millions d’Américains d’une assurance santé abordable. Le Président américain a exhorté les conservateurs à mettre fin à cette paralysie, la première du genre en 17 ans.

“Si vous avez un cancer, vous avez 70% de chances de vivre cinq ans de plus avec une assurance. Pensez à cela. C’est ce que cela signifie avoir une assurance maladie. C’est une question de vie ou de mort.

Des dizaines de milliers d’Américains meurent chaque année simplement parce qu’ils n’ont pas d’assurance santé. Des millions d’autres vivent dans la crainte de tomber malades. Aujourd’hui, nous commençons à libérer de cette peur des millions de nos compatriotes”, a lancé le président lors d’un discours à la Maison Blanche.

Barack Obama a aussi fait savoir qu’il n‘était pas fermé à d‘éventuels changements concernant le texte sur la réforme de l’assurance maladie tout en précisant qu’il n’accepterait jamais que ces modifications soient accordées en contrepartie d’un vote sur le budget.

Malgré le “shutdown”, un volet important de l’“Obamacare” est entré en vigueur ce mardi. Ainsi, les non-assurés peuvent désormais s’inscrire sur internet pour bénéficier d’une couverture subventionnée à partir de janvier 2014.

http://fr.euronews.com/2013/10/01/obama-ne-compte-pas-ceder-au-chantage-des-republicains/

http://www.rtbf.be/info/article/detail_l-obamacare-dans-une-mauvaise-passe-paul-krugman?id=9383880
 
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