Le post des sages

Pirouettete

杜妮娅
Kin-Fo est un jeune chinois riche, qui est indifférent à tout et ne connaît pas le bonheur. Un jour, il se retrouve ruiné. Ne voulant pas imposer à sa future épouse une vie misérable, il préfère mourir. Au moment de se donner la mort, il se rend compte qu'il ne ressent rien, et décide qu'il ne peut mourir sans connaître d'émotions au moins une fois dans sa vie. Il demande donc à son maître et ami, le philosophe Wang, de le tuer dans un délai imparti, ce qui, il l'espère, lui fera redouter la mort et éprouver quelques émotions. Wang accepte, puis disparaît. Plus tard, Kin-Fo apprend qu'il n'est pas ruiné. Il veut alors vivre et épouser Lé-Ou. Cependant, Wang reste introuvable et Kin-Fo le pourchassera dans toute la Chine pour lui dire qu'il ne veut plus mourir. Kin-Fo comprend la valeur de la vie en étant sous la menace constante d'être assassiné par Wang.

Morale de l'histoire : il faut avoir connu le malheur, la peur, les soucis pour pouvoir connaître et apprécier le bonheur.

A vous, une histoire, une moralité.
 
Il faisait très froid quand un moineau blessé s'était retrouvé par terre. Une vache passant à-côté fut prise de pitié pour ce petit oiseau. Elle le mit dans une bouse bien chaude. Le moineau, tout content de se réchauffer décida de chanter. Un renard, entendant le chant se mit à chercher, il trouva l'oiseau, le sortit de l'excrément, le nettoya et le bouffa.

Conclusion : C'est pas parce que quelqu'un te met dans la ***** que c'est ton ennemi et c'est pas parce que quelqu'un te sort de la ***** que c'est ton ami.

Moralité : Quand on est dans la *****, il faut la fermer.
 
Il faisait très froid quand un moineau blessé s'était retrouvé par terre. Une vache passant à-côté fut prise de pitié pour ce petit oiseau. Elle le mit dans une bouse bien chaude. Le moineau, tout content de se réchauffer décida de chanter. Un renard, entendant le chant se mit à chercher, il trouva l'oiseau, le sortit de l'excrément, le nettoya et le bouffa.

Conclusion : C'est pas parce que quelqu'un te met dans la ***** que c'est ton ennemi et c'est pas parce que quelqu'un te sort de la ***** que c'est ton ami.

Moralité : Quand on est dans la *****, il faut la fermer.

C'est tiré par les cheveux, ***** au sens propre repris au sens figuré, peut mieux faire justunillusion :langue:

Allez une autre!
 
Le soleil et le vent se prirent de querelle, chacun d’eux se prétendant le plus fort.

La discussion fut longue, car ni l’un ni l’autre ne voulut céder.


Ils virent un cavalier sur la route et décidèrent d’essayer, sur lui, leurs forces.

— Regarde, disait le vent, je n’ai qu’à me jeter sur lui, pour déchirer ses vêtements.

Et il commença à souffler de toutes ses forces.

Plus le vent faisait d’effort, plus le cavalier serrait son kaftan ; il grognait contre le vent ; mais il allait plus loin, toujours plus loin.

Le vent se fâcha, déchaîna sur le voyageur pluie et neige ; mais celui-ci s’entoura de sa ceinture et ne s’arrêta pas.

Le vent comprit qut il n’arriverait pas à lui arracher son kaftan et le soleil sourit, se montra entre deux nuages, sécha et réchauffa la terre, et le pauvre cavalier, qui se réjouissait de cette douce chaleur, ôta son kaftan et le mit sous lui.

— Vois-tu, dit alors le soleil au vent malveillant, avec le bien on obtient plus qu’avec le mal.

J'aime bien, celle là, j'avais déjà posté :)
 
Il faisait très froid quand un moineau blessé s'était retrouvé par terre. Une vache passant à-côté fut prise de pitié pour ce petit oiseau. Elle le mit dans une bouse bien chaude. Le moineau, tout content de se réchauffer décida de chanter. Un renard, entendant le chant se mit à chercher, il trouva l'oiseau, le sortit de l'excrément, le nettoya et le bouffa.

Conclusion : C'est pas parce que quelqu'un te met dans la ***** que c'est ton ennemi et c'est pas parce que quelqu'un te sort de la ***** que c'est ton ami.

Moralité : Quand on est dans la *****, il faut la fermer.

2eme moralité: "celui qui te met dans la m. c est pas forcement pour ton malheur, et celui qui t en sort c est pas forcement pour ton bonheur" :D
BANG!!! "mon nom est personne"
 
Le soleil et le vent se prirent de querelle, chacun d’eux se prétendant le plus fort.

La discussion fut longue, car ni l’un ni l’autre ne voulut céder.


Ils virent un cavalier sur la route et décidèrent d’essayer, sur lui, leurs forces.

— Regarde, disait le vent, je n’ai qu’à me jeter sur lui, pour déchirer ses vêtements.

Et il commença à souffler de toutes ses forces.

Plus le vent faisait d’effort, plus le cavalier serrait son kaftan ; il grognait contre le vent ; mais il allait plus loin, toujours plus loin.

Le vent se fâcha, déchaîna sur le voyageur pluie et neige ; mais celui-ci s’entoura de sa ceinture et ne s’arrêta pas.

Le vent comprit qut il n’arriverait pas à lui arracher son kaftan et le soleil sourit, se montra entre deux nuages, sécha et réchauffa la terre, et le pauvre cavalier, qui se réjouissait de cette douce chaleur, ôta son kaftan et le mit sous lui.

— Vois-tu, dit alors le soleil au vent malveillant, avec le bien on obtient plus qu’avec le mal.

J'aime bien, celle là, j'avais déjà posté : )

2eme moralité: Ne jamais sous estimer l'importance des préliminaires! non? :oh: :D
 
Il faisait très froid quand un moineau blessé s'était retrouvé par terre. Une vache passant à-côté fut prise de pitié pour ce petit oiseau. Elle le mit dans une bouse bien chaude. Le moineau, tout content de se réchauffer décida de chanter. Un renard, entendant le chant se mit à chercher, il trouva l'oiseau, le sortit de l'excrément, le nettoya et le bouffa.

Conclusion : C'est pas parce que quelqu'un te met dans la ***** que c'est ton ennemi et c'est pas parce que quelqu'un te sort de la ***** que c'est ton ami.

Moralité : Quand on est dans la *****, il faut la fermer.


Assasin.

Antonio Banderas et Sylvester stallone.

:intello:
 
Là je vois pas...

J'éspère que c'est pas "Snatch" ou "Arnaque, crimes et botanique" parce que je déteste ces films !

Si c'est "The Big Lebowski" je l'ai pas vu...: rouge:


C'est arrivé près de chez vous avec Benoît Poelvoorde :D mais ct dur ^^

The Dude me fait trop rire, à voir (enfin pour moi, chacun ses goûts :o) )
 
C'est arrivé près de chez vous avec Benoît Poelvoorde :D mais ct dur ^^

The Dude me fait trop rire, à voir (enfin pour moi, chacun ses goûts :o) )

Ah j'étais parti dans les films américains moi.

J'aime bien Benoît Poelvoorde, donc à l'occasion je pourrais voir ça.



Et celle-ci tu la connais:

" Le coup le plus rusé que le diable ait jamais réussi, ça a été de faire croire à tout le monde qu'il n'existait pas."
 
Ah j'étais parti dans les films américains moi.

J'aime bien Benoît Poelvoorde, donc à l'occasion je pourrais voir ça.



Et celle-ci tu la connais:

" Le coup le plus rusé que le diable ait jamais réussi, ça a été de faire croire à tout le monde qu'il n'existait pas."

C'est le film qui l'a révélé, un film avec peu de moyens ^^

Je donne ma langue aux chats!
On fait du HS là :rouge:

Trouve nous une histoire, le Sage ^^
 
Morale de l'histoire : il faut avoir connu le malheur, la peur, les soucis pour pouvoir connaître et apprécier le bonheur.

A vous, une histoire, une moralité .

Un fermier trouve son cheval malade. Il fait venir le vétérinaire.
Ce dernier lui dit que le cheval est infecté par un virus et qu'il va
prescrire un remède. Si le remède n'a pas agi dans les trois jours, il
faudra abattre le cheval pour éviter d'infecter les autres animaux.

Le mouton de la ferme, qui a tout entendu, va trouver le cheval et lui
dit :« Fais un effort, lève-toi » Mais le cheval est trop malade. Le
deuxième jour, même chose, le mouton dit au cheval :
« Fais un effort, lève-toi ». Mais le cheval est encore trop malade.
Le troisième jour, le mouton dit :« Fais un effort a sahbi, lève-toi, sinon
ils vont t'abattre aujourd'hui. »

Le remède n'a toujours pas fait d'effet, mais dans un dernier sursaut,
grâce aux conseils du mouton, le cheval arrive à se lever devant le fermier et le vétérinaire.
Le fermier, tout content, dit : « Pour fêter l'événement, on va
égorger le Mouton ».

Moralité : Madir khir maytra bass
 
"Le petit Thomas demande à sa maîtresse s’il peut lui parler après le cours. Elle accepte.
- Alors, que veux tu me dire Thomas ?
- Je pense être trop intelligent pour rester dans cette classe, je m’embête! Je voudrais passer directement au Lycée.
Sur ce, le directeur informé, demande à Thomas s’il veut bien passer des tests Thomas accepte sans hésiter et le directeur commence le test.
- Voyons voir Thomas: 3 X 4
- Douze !
- Et 6 X 6 ?
- Trente six, M.le directeur
- Capitale du Japon
- Tokyo!
Le test continue pendant une demi-heure, Thomas ne fait aucune erreur! A la fin du test, le directeur est satisfait mais la prof demande si elle peut à son tour lui poser des questions. Tous les deux acceptent, la prof commence.
- Bon, Thomas, la vache elle en a 4 et moi j’en ai 2, qu’est ce que c’est?
- Les jambes, madame.
- Correct, qu’est-ce qu’on trouve dans tes pantalons et pas dans les miens ? Le directeur s’étonne de la question…
- Des poches, madame.
- Bien Thomas, qu’est-ce que les hommes et les femmes ont en plein milieu et qui est en double ? Le directeur se prépare à intervenir lorsque Thomas répond :
- Les deux M, madame.
- Où est-ce que les femmes ont les poils les plus frisés ?
- En Afrique, Madame ! Répond le gamin sans hésiter.
- Qu’est-ce qui est mou mais qui, avec les mains d’une femme, devient dur ? Le directeur ouvre grands les yeux mais avant de parler, Thomas répond :
- Le vernis à ongles, madame
- Qu’est-ce que les hommes et nous avons au milieu des jambes ?
- Les genoux !
- Bien, et qu’est-ce qu’une femme mariée a de plus large qu’une femme célibataire ? Le directeur n’en croit pas ses yeux !
- Le lit, madame.
- Qu’elle est la partie de mon corps qui est souvent la plus humide?
- Votre langue, madame.
- Quel mot commençant par la lettre C… désigne quelque chose qui peut-être humide ou sec et que les hommes aiment regarder ?
- Le ciel ! Affirme Thomas.
Le directeur soufflant, transpirant comme un sauvage décide d’arrêter le test et s’exclame :
- Ce n’est pas au lycée que je vais t’envoyer mais directement à l’Université ! Même moi je l’aurais tout raté ce test…"

Morale de l’histoire : c’est avec l’âge que l’on devient pervers !
 
Un investisseur américain se promène au bord de l’eau dans un petit village côtier mexicain. Un bateau rentre au port, contenant plusieurs thons. L’Américain complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses poissons et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer.
« Pas très longtemps », répond le Mexicain.
« Mais alors, pourquoi n’êtes vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus ? » demande le banquier.

Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffiront à subvenir aux besoins de sa famille. L’Américain demande alors : « Mais que faites-vous le reste du temps ? »
« Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir je vais au village voir mes amis. Nous buvons du vin et jouons de la guitare. J’ai une vie bien remplie.»

L’Américain l’interrompt : « J’ai un MBA de l’université de Harvard et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau. Avec l’argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu’à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers. Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l’usine, et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City, Los Angeles, puis peut être New York, d’où vous dirigeriez toutes vos affaires. »

Le Mexicain demande alors : « Combien de temps cela prendrait-il ? »
— 15 à 20 ans, répond le banquier.
— Et après ?
— Après, c’est là que ça devient intéressant, répond l’Américain en riant. Quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions.
— Des millions ? Mais après ?
— Après, vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme, et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis…


Moralité: les consultants de harvard ne sont pas meilleurs que les autres :prudent:
 
Il y avait, dans un village, un homme très pauvre qui avait un très beau cheval. Le cheval était si beau que les seigneurs du chateau voulaient le lui acheter, mais il refusait toujours.

« Pour moi ce cheval n’est pas un animal, c’est un ami. Comment voulez-vous vendre un ami ? » demandait-il.

Un matin, il se rend à l’étable et le cheval n’est plus là.
Tous les villageois lui disent : « On te l’avait bien dit ! Tu aurais mieux de le vendre. Maintenant, on te l’a volé… quel malchance ! »
Le vieil homme répond « Chance, malchance, qui peut le dire ? »

Tout le monde se moque de lui. Mais 15 jours plus tard, le cheval revient, avec tout une horde de chevaux sauvages. Il s’était échappé, avait séduit une belle jument et rentrait avec le reste de la horde.
« Quelle chance ! » disent les villageois.

Le vieil homme et son fils se mettent au dressage des chevaux sauvages. Mais une semaine plus tard, son fils se casse une jambe à l’entraînement.
« Quelle malchance ! » disent ses amis. « Comment vas-tu faire, toi qui est déjà si pauvre, si ton fils, ton seul support, ne peut plus t’aider ! »
Le vieil homme répond « Chance, malchance, qui peut le dire ? »

Quelques temps plus tard, l’armée du seigneur du pays arrive dans le village, et enrôle de force tous les jeunes gens disponibles. Tous… sauf le fils du vieil homme, qui a sa jambe cassée.
« Quelle chance tu as, tous nos enfants sont partis à la guerre, et toi tu es le seul à garder avec toi ton fils. Les nôtres vont peut-être se faire tuer… »
Le vieil homme répond « Chance, malchance, qui peut le dire ? »

Moralité: w chkoun 3ref?
 
Il y avait, dans un village, un homme très pauvre qui avait un très beau cheval. Le cheval était si beau que les seigneurs du chateau voulaient le lui acheter, mais il refusait toujours.

« Pour moi ce cheval n’est pas un animal, c’est un ami. Comment voulez-vous vendre un ami ? » demandait-il.


C'est un récit qui illustre ma philosophie de vie...On sait ce qui nous arrive mais on ne sait pas à quoi l'on échappe...

Dans le même genre j'ai toujours été troublé par cette histoire bien connue:

Il y avait une fois, dans Bagdad, un Calife et son Vizir. Un jour, le Vizir arriva devant le Calife, pâle et tremblant :

“Pardonne mon épouvante, Lumière des Croyants, mais devant le Palais une femme m’a heurté dans la foule. Je me suis retourné : et cette femme au teint pâle, aux cheveux sombres, à la gorge voilée par une écharpe rouge était la Mort. En me voyant, elle a fait un geste vers moi. Puisque la mort me cherche ici, Seigneur, permets-moi de fuir me cacher loin d’ici, à Samarcande. En me hâtant, j’y serai avant ce soir”

Sur quoi il s’éloigna au grand galop de son cheval et disparu dans un nuage de poussière vers Samarcande. Le Calife sortit alors de son Palais et lui aussi rencontra la Mort. Il lui demanda :

“Pourquoi avoir effrayé mon Vizir qui est jeune et bien-portant ?”

- Et la Mort répondit :

“Je n’ai pas voulu l’effrayer, mais en le voyant dans Bagdad, j’ai eu un geste de surprise, car je l’attends ce soir à Samarcande”
 
Pour les gens qui ne sont jamais contents de leur vie:

"Il était une fois un tailleur de pierres qui en avait assez de s'épuiser à creuser la montagne sous les rayons du soleil brûlant.

"J'en ai assez de cette vie. Tailler, tailler la pierre, c'est éreintant... et ce soleil, toujours ce soleil! Ah ! Comme j'aimerais être à sa place, je serais là-haut tout puissant, tout chaud en train d'inonder le monde de mes rayons" se dit le tailleur de pierres.

Or, par miracle, son appel fut entendu. Et aussitôt le tailleur se transforma en soleil. Il était heureux de voir son désir réalisé. Mais comme il se régalait à envoyer partout ses rayons, il s'aperçut que ceux-ci étaient arrêtés par les nuages.

"A quoi ça me sert d'être soleil si de simples nuages peuvent stopper mes rayons ! s'exclama-t-il Si les nuages sont plus forts que le soleil, je préfère être nuage"

Alors, il devient nuage. Il survole le monde, court, répand la pluie, mais soudain le vent se lève et disperse ce nuage.

"Ah, le vent arrive à disperser les nuages, c'est donc lui le plus fort, je veux être le vent" décide-t-il.

Alors il devient le vent et il souffle de par le monde. Il fait des tempêtes, des bourrasques, des typhons. Mais tout d'un coup, il s'aperçoit qu'il y a un mur qui lui barre le passage. Un mur très haut et très dur. Une montagne.

"A quoi ça me sert d'être le vent si une simple montagne peut m'arrêter ? C'est elle qui est la plus forte " dit-il. Alors, il devient la montagne.

Et à ce moment, il sent quelque chose qui le tape. Quelque chose de plus fort que lui, qui le creuse de l'intérieur...

C'est un petit tailleur de pierre... "
 
Kin-Fo est un jeune chinois riche, qui est indifférent à tout et ne connaît pas le bonheur. Un jour, il se retrouve ruiné. Ne voulant pas imposer à sa future épouse une vie misérable, il préfère mourir. Au moment de se donner la mort, il se rend compte qu'il ne ressent rien, et décide qu'il ne peut mourir sans connaître d'émotions au moins une fois dans sa vie. Il demande donc à son maître et ami, le philosophe Wang, de le tuer dans un délai imparti, ce qui, il l'espère, lui fera redouter la mort et éprouver quelques émotions. Wang accepte, puis disparaît. Plus tard, Kin-Fo apprend qu'il n'est pas ruiné. Il veut alors vivre et épouser Lé-Ou. Cependant, Wang reste introuvable et Kin-Fo le pourchassera dans toute la Chine pour lui dire qu'il ne veut plus mourir. Kin-Fo comprend la valeur de la vie en étant sous la menace constante d'être assassiné par Wang.

Morale de l'histoire : il faut avoir connu le malheur, la peur, les soucis pour pouvoir connaître et apprécier le bonheur.

A vous, une histoire, une moralité.


j'écris juste pour suivre ce post :rouge:
 
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