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«Le pouvoir algérien essaie de bloquer le processus démocratique en cours dans la région du Maghreb», a déclaré samedi le premier secrétaire national du Front des forces socialistes (FFS), Karim Tabbou, lors dun meeting tenu à la salle omnisports de la ville de Tizi-Gheniff, une commune située au sud de la wilaya de Tizi Ouzou.
Pour parvenir à ses fins, le pouvoir algérien, selon M. Tabbou, «a financé la guerre en Libye, maintient les frontières terrestres avec le Maroc toujours fermées et fait du chantage à la Tunisie». Le conférencier estime ainsi que depuis la chute de Ben Ali, la question de la possibilité de rouvrir les frontières terrestres avec le Maroc a été évoquée par plusieurs responsables algériens juste pour «menacer la Tunisie disolement sur le plan régional, en guise de représailles contre le peuple tunisien qui veut accéder à la démocratie». En faisant le parallèle entre la Libye et lAlgérie, M. Tabbou dira que chez nos voisins de lEst, «il ny a quun seul Gueddafi, qui représente la tribu des Guedadfa doù il est originaire, tandis que chez nous, il y en a plusieurs, et chacun dentre eux représente sa tribu». Selon le numéro deux du FFS, face à «un régime qui mène une guerre contre les réformes», les Algériens, qui «ont plus de colère, mais moins de force», ne feront leur «révolution» quaprès le rétablissement de la confiance entre les politiques et le peuple. «Si lon narrive pas à rétablir la confiance entre le citoyen et le politique, la crise persistera encore dans notre pays», estime M. Tabbou.
Kaci Moussa
Le Soir
Pour parvenir à ses fins, le pouvoir algérien, selon M. Tabbou, «a financé la guerre en Libye, maintient les frontières terrestres avec le Maroc toujours fermées et fait du chantage à la Tunisie». Le conférencier estime ainsi que depuis la chute de Ben Ali, la question de la possibilité de rouvrir les frontières terrestres avec le Maroc a été évoquée par plusieurs responsables algériens juste pour «menacer la Tunisie disolement sur le plan régional, en guise de représailles contre le peuple tunisien qui veut accéder à la démocratie». En faisant le parallèle entre la Libye et lAlgérie, M. Tabbou dira que chez nos voisins de lEst, «il ny a quun seul Gueddafi, qui représente la tribu des Guedadfa doù il est originaire, tandis que chez nous, il y en a plusieurs, et chacun dentre eux représente sa tribu». Selon le numéro deux du FFS, face à «un régime qui mène une guerre contre les réformes», les Algériens, qui «ont plus de colère, mais moins de force», ne feront leur «révolution» quaprès le rétablissement de la confiance entre les politiques et le peuple. «Si lon narrive pas à rétablir la confiance entre le citoyen et le politique, la crise persistera encore dans notre pays», estime M. Tabbou.
Kaci Moussa
Le Soir