Le Québec ordonne une enquête sur 11 enseignants a majorité maghrebine d’une école primaire de Montréal

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion hajjesus
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C’est une série de reportages diffusés en 2023 sur les ondes du 98,5 FM et du groupe Cogeco rapportant la présence d’un climat de peur et d’intimidation à l'école Bedford qui avait incité le ministère de l’Éducation à se pencher sur ces allégations.

On accuse notamment ce groupe d’enseignants d’avoir eu recours à des techniques d’intimidation et d’humiliation et de violence physique et psychologique envers les élèves et le personnel. On leur reproche aussi des gestes d’insubordination et d’incivilité.

Certains enseignants ne reconnaissaient pas l’existence des troubles d’apprentissage et exerçaient une pression indue sur les élèves en difficulté, qui recevaient des punitions pour leur incapacité à suivre le rythme des autres élèves.

Selon les enquêteurs, le « clan dominant, qui était majoritairement composé d’enseignants d’origine maghrébine, n’enseignait pas ou très peu les matières relatives à la communication orale, aux sciences et technologies, à l’éthique et à la culture religieuse ainsi qu'à l’éducation à la sexualité.

On reproche également à certains de ces enseignants de s’être ingérés dans le processus de gouvernance de l’école, notamment dans des responsabilités qui relèvent de la direction de l’établissement et du conseil d’établissement.

Les enquêteurs précisent cependant qu’un autre groupe d’enseignants, qui s’opposait à ce clan, comprenait également des professeurs d’origine maghrébine. «il serait fautif de conclure qu’un individu d’origine maghrébine, enseignant à l’école Bedford, soit nécessairement associé au clan dominant, préviennent les auteurs du rapport.

Devant un tel constat, le ministère de l’Éducation annonce quatre mesures, dont l’envoi de deux «accompagnateur du ministère à l’école Bedford. Leur mandat consistera à rétablir un climat sain et sécuritaire au sein de l’institution, à s’assurer de la compétence des enseignants et à régler les problèmes d’ingérence du personnel enseignant dans la gestion de l’école.

Des comités d'enquête devront déterminer si les 11 enseignants visés par une enquête ont « commis une faute grave ou un acte dérogatoire à l’honneur ou à la dignité de la profession enseignante dans l’exercice de leurs fonctions. Ces derniers sont passibles de perdre leur brevet d’enseignement.


 
C'est drôle, je m'apprêtais justement à poster quelque chose sur ce scandale. :(

Des enfants d'âge scolaire!

Un quartier ghettoïsé!

Une clique de professeurs maghrébins qui professent un islam radical!

Un climat de terreur dans une école!

Des directeurs et gestionnaires qui faisaient l'autruche!

Recette parfaite pour aigrir encore plus l'humeur des Québécois et attiser la haine face « aux » Maghrébins et « aux » musulmans.

Il y a tout un segment de la population qui a pas de jugement nuancé sur ces minorités.

Il y en a qui connaissent « les » musulmans uniquement par ce que des journalistes et des idéologues écrivent ou diffusent à leur sujet. Ils vont connaître une version rigide de l'islam, appuyée sur des citations piochées ici et là du Coran, des hadiths, de juristes médiévaux et de quelques muftis et prédicateurs qui n'ont plus toute leur tête.

Ils connaissent pas les musulmans ordinaires, qui respectent les lois, qui font pas une maladie de leur religion et qui sont pas dans le délire d'une « islamisation ».
 

Ceux qui comme toi et moi font la distinction entre musulmans et islamistes sont d'office qualifiés d'islamophobes.
Et les musulmans, nombreux, qui s'opposent aux dérives de l'Islam radical, sont qualifiés par certains de "collabos" (alors que je les vois plutôt comme des résistants).

Je fais le parallèle avec ce qui s'est déroulé dans ma ville, où une école juive (sous contrat et donc subventionnée) a été épinglée, car elle ne respectait pas le programme d'histoire.
En effet, l'enseignement de l'histoire occultait la Préhistoire, et commençait le programme à partir de l'Antiquité. Ceci bien sûr, afin de coller avec la Torah, selon laquelle Dieu a créé la Terre il y a quelques milliers d'années.

L'enseignant (juif) qui a dénoncé ces pratiques a été sanctionné par l'établissement, et même menacé.

Dans tous les cas, nos sociétés doivent être intransigeantes face aux fondamentalistes religieux, et aux extrémistes, quels qu'ils soient.
 
C’est une série de reportages diffusés en 2023 sur les ondes du 98,5 FM et du groupe Cogeco rapportant la présence d’un climat de peur et d’intimidation à l'école Bedford qui avait incité le ministère de l’Éducation à se pencher sur ces allégations.

On accuse notamment ce groupe d’enseignants d’avoir eu recours à des techniques d’intimidation et d’humiliation et de violence physique et psychologique envers les élèves et le personnel. On leur reproche aussi des gestes d’insubordination et d’incivilité.

Certains enseignants ne reconnaissaient pas l’existence des troubles d’apprentissage et exerçaient une pression indue sur les élèves en difficulté, qui recevaient des punitions pour leur incapacité à suivre le rythme des autres élèves.

Selon les enquêteurs, le « clan dominant, qui était majoritairement composé d’enseignants d’origine maghrébine, n’enseignait pas ou très peu les matières relatives à la communication orale, aux sciences et technologies, à l’éthique et à la culture religieuse ainsi qu'à l’éducation à la sexualité.

On reproche également à certains de ces enseignants de s’être ingérés dans le processus de gouvernance de l’école, notamment dans des responsabilités qui relèvent de la direction de l’établissement et du conseil d’établissement.

Les enquêteurs précisent cependant qu’un autre groupe d’enseignants, qui s’opposait à ce clan, comprenait également des professeurs d’origine maghrébine. «il serait fautif de conclure qu’un individu d’origine maghrébine, enseignant à l’école Bedford, soit nécessairement associé au clan dominant, préviennent les auteurs du rapport.

Devant un tel constat, le ministère de l’Éducation annonce quatre mesures, dont l’envoi de deux «accompagnateur du ministère à l’école Bedford. Leur mandat consistera à rétablir un climat sain et sécuritaire au sein de l’institution, à s’assurer de la compétence des enseignants et à régler les problèmes d’ingérence du personnel enseignant dans la gestion de l’école.

Des comités d'enquête devront déterminer si les 11 enseignants visés par une enquête ont « commis une faute grave ou un acte dérogatoire à l’honneur ou à la dignité de la profession enseignante dans l’exercice de leurs fonctions. Ces derniers sont passibles de perdre leur brevet d’enseignement.



LFI en a sûrement du en parler dans ses réunions :rolleyes:
 
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