C’est une série de reportages diffusés en 2023 sur les ondes du 98,5 FM et du groupe Cogeco rapportant la présence d’un climat de peur et d’intimidation à l'école Bedford qui avait incité le ministère de l’Éducation à se pencher sur ces allégations.
On accuse notamment ce groupe d’enseignants d’avoir eu recours à des techniques d’intimidation et d’humiliation et de violence physique et psychologique envers les élèves et le personnel. On leur reproche aussi des gestes d’insubordination et d’incivilité.
Certains enseignants ne reconnaissaient pas l’existence des troubles d’apprentissage et exerçaient une pression indue sur les élèves en difficulté, qui recevaient des punitions pour leur incapacité à suivre le rythme des autres élèves.
Selon les enquêteurs, le « clan dominant, qui était majoritairement composé d’enseignants d’origine maghrébine, n’enseignait pas ou très peu les matières relatives à la communication orale, aux sciences et technologies, à l’éthique et à la culture religieuse ainsi qu'à l’éducation à la sexualité.
On reproche également à certains de ces enseignants de s’être ingérés dans le processus de gouvernance de l’école, notamment dans des responsabilités qui relèvent de la direction de l’établissement et du conseil d’établissement.
Les enquêteurs précisent cependant qu’un autre groupe d’enseignants, qui s’opposait à ce clan, comprenait également des professeurs d’origine maghrébine. «il serait fautif de conclure qu’un individu d’origine maghrébine, enseignant à l’école Bedford, soit nécessairement associé au clan dominant, préviennent les auteurs du rapport.
Devant un tel constat, le ministère de l’Éducation annonce quatre mesures, dont l’envoi de deux «accompagnateur du ministère à l’école Bedford. Leur mandat consistera à rétablir un climat sain et sécuritaire au sein de l’institution, à s’assurer de la compétence des enseignants et à régler les problèmes d’ingérence du personnel enseignant dans la gestion de l’école.
Des comités d'enquête devront déterminer si les 11 enseignants visés par une enquête ont « commis une faute grave ou un acte dérogatoire à l’honneur ou à la dignité de la profession enseignante dans l’exercice de leurs fonctions. Ces derniers sont passibles de perdre leur brevet d’enseignement.
On accuse notamment ce groupe d’enseignants d’avoir eu recours à des techniques d’intimidation et d’humiliation et de violence physique et psychologique envers les élèves et le personnel. On leur reproche aussi des gestes d’insubordination et d’incivilité.
Certains enseignants ne reconnaissaient pas l’existence des troubles d’apprentissage et exerçaient une pression indue sur les élèves en difficulté, qui recevaient des punitions pour leur incapacité à suivre le rythme des autres élèves.
Selon les enquêteurs, le « clan dominant, qui était majoritairement composé d’enseignants d’origine maghrébine, n’enseignait pas ou très peu les matières relatives à la communication orale, aux sciences et technologies, à l’éthique et à la culture religieuse ainsi qu'à l’éducation à la sexualité.
On reproche également à certains de ces enseignants de s’être ingérés dans le processus de gouvernance de l’école, notamment dans des responsabilités qui relèvent de la direction de l’établissement et du conseil d’établissement.
Les enquêteurs précisent cependant qu’un autre groupe d’enseignants, qui s’opposait à ce clan, comprenait également des professeurs d’origine maghrébine. «il serait fautif de conclure qu’un individu d’origine maghrébine, enseignant à l’école Bedford, soit nécessairement associé au clan dominant, préviennent les auteurs du rapport.
Devant un tel constat, le ministère de l’Éducation annonce quatre mesures, dont l’envoi de deux «accompagnateur du ministère à l’école Bedford. Leur mandat consistera à rétablir un climat sain et sécuritaire au sein de l’institution, à s’assurer de la compétence des enseignants et à régler les problèmes d’ingérence du personnel enseignant dans la gestion de l’école.
Des comités d'enquête devront déterminer si les 11 enseignants visés par une enquête ont « commis une faute grave ou un acte dérogatoire à l’honneur ou à la dignité de la profession enseignante dans l’exercice de leurs fonctions. Ces derniers sont passibles de perdre leur brevet d’enseignement.