C'est pas trop tôt!!!!
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L’amendement centriste présenté par Nathalie Goulet, autorisant la mise en place d’une collecte sécurisée des denrées alimentaires invendues, et consommables à destination d’associations, a été adoptée à l’unanimité par le Sénat. Ce vote s’est déroulé, lors de l’examen sur le projet de loi Macron. L’entrée en vigueur de ce texte requiert le vote de l’Assemblée Nationale.
La sénatrice de l’Orne s’est offusquée, en constatant qu’une quarantaine de kg d’aliments étaient jetés, quotidiennement par les supermarchés, d’une superficie supérieure à 1 000 mètres carrés. Arash Derambarsh, un député de Courbevoie, dans les Hauts de Seine, qui en constatant, qu’il pouvait diffuser pour 500 euros de nourriture par jour, a plaidé pour cet amendement.
Il a initié une pétition qui a recueilli 17 000 signatures, et ce travail de terrain sur Courbevoie a permis d’élaborer un texte de loi au Sénat. Il a renchéri en spécifiant que cet amendement responsabilisera davantage les magasins de commerce de détail, quand à la lutte anti-gaspillage.
Michel Magras, de l’UMP, a tenu à souligner que le député Fréderic Lefebvre avait déjà déposé cet amendement à l’Assemblée, mais que son adoption a été freiné par l’actuel gouvernement.
Quand à Emmanuel Macron, le ministre de l’Economie, il a précisé qu’un rapport a été soumis à Guillaume Garot (PS), et que ce texte sera remis le 15 avril. Les sénateurs ne l’ont pas attendu pour statuer.
Pour éviter le gaspillage, le Sénat adopte à l’unanimité la distribution des invendus de supermarchés.
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L’amendement centriste présenté par Nathalie Goulet, autorisant la mise en place d’une collecte sécurisée des denrées alimentaires invendues, et consommables à destination d’associations, a été adoptée à l’unanimité par le Sénat. Ce vote s’est déroulé, lors de l’examen sur le projet de loi Macron. L’entrée en vigueur de ce texte requiert le vote de l’Assemblée Nationale.
La sénatrice de l’Orne s’est offusquée, en constatant qu’une quarantaine de kg d’aliments étaient jetés, quotidiennement par les supermarchés, d’une superficie supérieure à 1 000 mètres carrés. Arash Derambarsh, un député de Courbevoie, dans les Hauts de Seine, qui en constatant, qu’il pouvait diffuser pour 500 euros de nourriture par jour, a plaidé pour cet amendement.
Il a initié une pétition qui a recueilli 17 000 signatures, et ce travail de terrain sur Courbevoie a permis d’élaborer un texte de loi au Sénat. Il a renchéri en spécifiant que cet amendement responsabilisera davantage les magasins de commerce de détail, quand à la lutte anti-gaspillage.
Michel Magras, de l’UMP, a tenu à souligner que le député Fréderic Lefebvre avait déjà déposé cet amendement à l’Assemblée, mais que son adoption a été freiné par l’actuel gouvernement.
Quand à Emmanuel Macron, le ministre de l’Economie, il a précisé qu’un rapport a été soumis à Guillaume Garot (PS), et que ce texte sera remis le 15 avril. Les sénateurs ne l’ont pas attendu pour statuer.
Pour éviter le gaspillage, le Sénat adopte à l’unanimité la distribution des invendus de supermarchés.