Le suicide a pris récemment une proportion alarmante. Il y a à peine quelques jours, un policier s'est volontairement donné la mort à Casablanca suite à des problèmes familiaux.
Il y a quelques mois, une scène atroce a eu lieu à la gare de Rabat-Agdal, lorsqu'un homme d'une quarantaine d'années s'est, selon le PV de la police judiciaire, jeté devant le train. Des témoins oculaires ont affirmé que le suicidaire était assis tranquillement pendant des heures.
Au même jour, dans un petit village enclavé du Gharb, un garçon de 11 ans s'est pendu à un arbre. Sa mère n'a pas pris au sérieux les phrases qu'il n'a arrêté de répéter depuis quelques jours. «Je vais me faire pendre».
Encore une fois, au mois de mars dernier, un jeune garçon de 13 ans s'est donné la mort dans un lycée connu de Casablanca. Le pauvre môme a laissé un mot d'explications à ses parents expliquant que son acte a été commis suite aux agressions verbales et physiques affligés quotidiennement par ses camarades de classes.
En effet, des jeunes et des moins jeunes manifestent une volonté de mourir pour échapper à une vie malheureuse et dans l'espoir de mettre un terme à une existence qui les fait souffrir.
Les cas précités ne sont pas isolés. Il suffit de rappeler, entre autres, le triste destin du coordinateur régional de Tadla-Azilal des victimes d'Annajat qui a mis tragiquement fin à sa vie en se pendant à un olivier dans la région de Béni Mellal. Généralement, les suicidés évoquent tous les mêmes problèmes affectifs et les difficultés financières insurmontables.
Tel a été le cas de cette jeune femme qui décide d'aller au-devant de la locomotive du TNR reliant Rabat à Casablanca. Accompagnée de ses petites filles, elle a longuement hésité avant de commettre l'acte déplorable. Assise sur les rails, elle a serrée fort ses fillettes, en attendant la collision mortelle. D'après l'enquête de la police judiciaire, le père de la famille a précisé qu'il vient de demander, auprès de sa femme, une autorisation de mariage. La pauvre a donné son consentement, en cachant sa profonde déception. Elle se sentait violemment rejeté hors de son milieu social duquel elle ne peut plus vivre.
lematin
Il y a quelques mois, une scène atroce a eu lieu à la gare de Rabat-Agdal, lorsqu'un homme d'une quarantaine d'années s'est, selon le PV de la police judiciaire, jeté devant le train. Des témoins oculaires ont affirmé que le suicidaire était assis tranquillement pendant des heures.
Au même jour, dans un petit village enclavé du Gharb, un garçon de 11 ans s'est pendu à un arbre. Sa mère n'a pas pris au sérieux les phrases qu'il n'a arrêté de répéter depuis quelques jours. «Je vais me faire pendre».
Encore une fois, au mois de mars dernier, un jeune garçon de 13 ans s'est donné la mort dans un lycée connu de Casablanca. Le pauvre môme a laissé un mot d'explications à ses parents expliquant que son acte a été commis suite aux agressions verbales et physiques affligés quotidiennement par ses camarades de classes.
En effet, des jeunes et des moins jeunes manifestent une volonté de mourir pour échapper à une vie malheureuse et dans l'espoir de mettre un terme à une existence qui les fait souffrir.
Les cas précités ne sont pas isolés. Il suffit de rappeler, entre autres, le triste destin du coordinateur régional de Tadla-Azilal des victimes d'Annajat qui a mis tragiquement fin à sa vie en se pendant à un olivier dans la région de Béni Mellal. Généralement, les suicidés évoquent tous les mêmes problèmes affectifs et les difficultés financières insurmontables.
Tel a été le cas de cette jeune femme qui décide d'aller au-devant de la locomotive du TNR reliant Rabat à Casablanca. Accompagnée de ses petites filles, elle a longuement hésité avant de commettre l'acte déplorable. Assise sur les rails, elle a serrée fort ses fillettes, en attendant la collision mortelle. D'après l'enquête de la police judiciaire, le père de la famille a précisé qu'il vient de demander, auprès de sa femme, une autorisation de mariage. La pauvre a donné son consentement, en cachant sa profonde déception. Elle se sentait violemment rejeté hors de son milieu social duquel elle ne peut plus vivre.
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