Claude Brasseur
Mathématicien, chercheur en énergies renouvelables
Les pays qui ont le plus investi dans l’éolien, énergie « verte », constatent depuis peu que cette énergie intermittente, qu’à ce jour on ne stocke pas, non seulement les ruine mais crée aussi une pollution jamais connue auparavant :
l’énergie fossile consommée quand il n’y a pas de vent nourrit des centrales nécessairement souples… de mauvais rendement.
Le Danemark et l’Allemagne par exemple, constatent que polluer, se ruiner pour pouvoir se dire « vert » aux yeux du GIEC, de Greenpeace et des COP, est pour le moins absurde et la réaction contre l’éolien s’y précise.
Le lobby éolien mondial, lui, voudrait continuer à engranger les milliards de subsides, Certificats Verts et autres. Avec une petite partie de ses milliards, il attaque vigoureusement les énergies vertes du futur, ne s’embarrasse pas d’objectivité ou de vérité.
Ses attaques contre le thorium en sont une illustration. Ainsi dans divers textes en ligne, on explique que le thorium serait rare, devra être acheté contrairement au vent qui est gratuit.
On « oublie » de préciser que ce vent gratuit ne donne son énergie que quand il le veut bien et uniquement grâce à une infrastructure ultra coûteuse.
Ils « ignorent » qu’il y a du thorium peu coûteux partout sur la planète et pour toujours. La France en a même « sous hangar » pour des milliers d’années… et des réserves minières en Bretagne !
Dans ce même texte, on prétend que les centrales au thorium ne seront opérationnelles que dans 50 ans, qu’il faut « préserver la planète pendant ce temps d’attente ».
On « oublie » de dire que des centrales au thorium sont déjà opérationnelles en Inde et le seront en Chine en 2020.
On cite AREVA qui n’arrive pas à terminer ses centrales… lesquelles n’ont rien à voir avec la 4e génération et avec le thorium !
.../...
Mathématicien, chercheur en énergies renouvelables
Les pays qui ont le plus investi dans l’éolien, énergie « verte », constatent depuis peu que cette énergie intermittente, qu’à ce jour on ne stocke pas, non seulement les ruine mais crée aussi une pollution jamais connue auparavant :
l’énergie fossile consommée quand il n’y a pas de vent nourrit des centrales nécessairement souples… de mauvais rendement.
Le Danemark et l’Allemagne par exemple, constatent que polluer, se ruiner pour pouvoir se dire « vert » aux yeux du GIEC, de Greenpeace et des COP, est pour le moins absurde et la réaction contre l’éolien s’y précise.
Le lobby éolien mondial, lui, voudrait continuer à engranger les milliards de subsides, Certificats Verts et autres. Avec une petite partie de ses milliards, il attaque vigoureusement les énergies vertes du futur, ne s’embarrasse pas d’objectivité ou de vérité.
Ses attaques contre le thorium en sont une illustration. Ainsi dans divers textes en ligne, on explique que le thorium serait rare, devra être acheté contrairement au vent qui est gratuit.
On « oublie » de préciser que ce vent gratuit ne donne son énergie que quand il le veut bien et uniquement grâce à une infrastructure ultra coûteuse.
Ils « ignorent » qu’il y a du thorium peu coûteux partout sur la planète et pour toujours. La France en a même « sous hangar » pour des milliers d’années… et des réserves minières en Bretagne !
Dans ce même texte, on prétend que les centrales au thorium ne seront opérationnelles que dans 50 ans, qu’il faut « préserver la planète pendant ce temps d’attente ».
On « oublie » de dire que des centrales au thorium sont déjà opérationnelles en Inde et le seront en Chine en 2020.
On cite AREVA qui n’arrive pas à terminer ses centrales… lesquelles n’ont rien à voir avec la 4e génération et avec le thorium !
.../...