Freud (1856 à 1939) voyait du sexe partout. « Pour lui le corps sarrête à la bouche, au sexe et à lanus » (2) Il croit les enfants pervers, les pères incestueux et les mères stupides
LENFANT
Pour Freud, il y a la sexualité infantile au stade oral (le sein maternel étant lobjet érotique) (3), au stade anal (avec lexcrément comme pénis en érection) (4) et au stade phallique ou ldipe (désir d'inceste avec le parent de sexe opposé). Selon Mélanie Klein, lorsque les enfants commencent leur dipe : «La frustration du sein maternel amène les garçons comme les filles à sen détourner, et stimule en eux le désir dune satisfaction orale assurée par le pénis du père » (5). Le père intervenant afin d'interdire linceste avec la mère fera vivre à l'enfant la névrose du complexe ddipe avec son désir de tuer le parent du même sexe. (6) Freud prétendait que personne n'y échappe et les psychanalystes répètent aveuglément ce credo. Lenfant étant considéré pervers, la célèbre psychanalyste Françoise Dolto maintient quil ny a jamais de viol père/fille car la fille non seulement est consentante, mais aussi elle « est très contente de pouvoir narguer sa mère » (7) Toutefois un grand nombre d'hommes, y compris des psychanalystes, affirment n'avoir jamais été conscients de sentiments dipiens. (6) Cette absence ddipe a aussi été constatée dans plusieurs autres cultures. (8) Philippe Laporte décrit en détail les incohérences du complexe ddipe (9) En fait, le complexe ddipe est une névrose générée par un type inadéquat de relation établi par la mère depuis la naissance. Notons que Freud n'a jamais traité d'enfant; il n'a vu que le petit Hans et seulement quelques minutes, et il a fait erreur sur le diagnostic. (10)
Suite http://robindesgars.blogspot.com/2011/07/freud-limposteur.html
LENFANT
Pour Freud, il y a la sexualité infantile au stade oral (le sein maternel étant lobjet érotique) (3), au stade anal (avec lexcrément comme pénis en érection) (4) et au stade phallique ou ldipe (désir d'inceste avec le parent de sexe opposé). Selon Mélanie Klein, lorsque les enfants commencent leur dipe : «La frustration du sein maternel amène les garçons comme les filles à sen détourner, et stimule en eux le désir dune satisfaction orale assurée par le pénis du père » (5). Le père intervenant afin d'interdire linceste avec la mère fera vivre à l'enfant la névrose du complexe ddipe avec son désir de tuer le parent du même sexe. (6) Freud prétendait que personne n'y échappe et les psychanalystes répètent aveuglément ce credo. Lenfant étant considéré pervers, la célèbre psychanalyste Françoise Dolto maintient quil ny a jamais de viol père/fille car la fille non seulement est consentante, mais aussi elle « est très contente de pouvoir narguer sa mère » (7) Toutefois un grand nombre d'hommes, y compris des psychanalystes, affirment n'avoir jamais été conscients de sentiments dipiens. (6) Cette absence ddipe a aussi été constatée dans plusieurs autres cultures. (8) Philippe Laporte décrit en détail les incohérences du complexe ddipe (9) En fait, le complexe ddipe est une névrose générée par un type inadéquat de relation établi par la mère depuis la naissance. Notons que Freud n'a jamais traité d'enfant; il n'a vu que le petit Hans et seulement quelques minutes, et il a fait erreur sur le diagnostic. (10)
Suite http://robindesgars.blogspot.com/2011/07/freud-limposteur.html