Agadir. Tout le monde en parle maintenant avec beaucoup de désarroi et de timouride, non seulement dans les quartiers «populaires», mais également en plein centre ville. Les agressions, délits et autres sont tellement à répétition chronique que les citoyens se sentent de moins en moins sécurisés. A ce propos, on relèvera en l’espace de quelques jours, une multitude de cambriolages dans le même rayon du côté de l’avenue des FAR, au cœur du lieu appelé communément «ville nouvelle».
D’abord, on dévalise délibérément un restaurant jusqu’au dernier sou, sous les yeux assoupis des policiers en véhicule au bas de l’escalier sur le parking du marché municipal. Déplorable et révoltant ! Pas moins de quatre délinquants, lestés par le butin confisqué, n’ont pu attirer la curiosité de la police, pas même l’alerte précipitée du gardien des lieux fort angoissé.
Aux alentours, les tentatives de vol abondent à des cadences accélérées au point de susciter la terreur dans les parages, à l’exemple de cette boutique de montres, appareils et autres objets de valeur sauvé de justesse. Les vagabonds et les malfaiteurs rôdent constamment en quête d’aubaines précieuses sans être inquiétés ni contrecarrés. Une situation exaspérante qui devient de plus en plus monnaie courante dans l’un des endroits les plus prisés de la cité. Non loin de là, il y a un peu plus d’une semaine, la population fut scandalisée par «un crime crapuleux» dont la victime n’est autre qu’un enseignant enlevé et sauvagement battu à mort par des clochards à proximité du camping international. Quoique les versions diffèrent au sujet de la nature de cet odieux et horrible assassinat, il va sans dire que l’insécurité est de mise partout où on va, dans ces coins pourtant réputés être traditionnellement un havre de paix. Si l’on énumère ces méfaits qui se passent au grand jour dans la quasi-impunité dans ce quartier classé parmi les plus «protégés», qu’en est-il dans les recoins les plus reculés de la ville où la densité et la promiscuité incitent à des immondices les plus perverses ?
D’abord, on dévalise délibérément un restaurant jusqu’au dernier sou, sous les yeux assoupis des policiers en véhicule au bas de l’escalier sur le parking du marché municipal. Déplorable et révoltant ! Pas moins de quatre délinquants, lestés par le butin confisqué, n’ont pu attirer la curiosité de la police, pas même l’alerte précipitée du gardien des lieux fort angoissé.
Aux alentours, les tentatives de vol abondent à des cadences accélérées au point de susciter la terreur dans les parages, à l’exemple de cette boutique de montres, appareils et autres objets de valeur sauvé de justesse. Les vagabonds et les malfaiteurs rôdent constamment en quête d’aubaines précieuses sans être inquiétés ni contrecarrés. Une situation exaspérante qui devient de plus en plus monnaie courante dans l’un des endroits les plus prisés de la cité. Non loin de là, il y a un peu plus d’une semaine, la population fut scandalisée par «un crime crapuleux» dont la victime n’est autre qu’un enseignant enlevé et sauvagement battu à mort par des clochards à proximité du camping international. Quoique les versions diffèrent au sujet de la nature de cet odieux et horrible assassinat, il va sans dire que l’insécurité est de mise partout où on va, dans ces coins pourtant réputés être traditionnellement un havre de paix. Si l’on énumère ces méfaits qui se passent au grand jour dans la quasi-impunité dans ce quartier classé parmi les plus «protégés», qu’en est-il dans les recoins les plus reculés de la ville où la densité et la promiscuité incitent à des immondices les plus perverses ?
