Les Algériennes lèvent le voile au travail

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
Le hijab empêche-t-il la femme algérienne de trouver un emploi? Cette question surprenante a de quoi choquer dans un pays réputé pour son conservatisme et sa religiosité. Et pourtant, le problème est réel.

Cela ne se passe ni à Paris ni dans une autre métropole française. C’est bel et bien à Alger, et dans d’autres grandes villes algériennes, que ce phénomène commence à prendre de l’ampleur. Des filles voilées sont refoulées dans certaines entreprises.

Des recruteurs leur lancent carrément cette phrase à la figure: «vous voulez travailler? Alors enlevez votre hijab!»

Ainsi, en dépit de leur percée remarquable sur le marché du travail, certaines femmes algériennes continuent de rencontrer des difficultés pour décrocher un emploi. Non parce qu’elles ne remplissent pas les critères de sélection, mais parce qu’elles sont voilées. Leur voile les expose à toutes sortes de discriminations. Zoom sur une problématique sociétale rarement abordée.

«Avec ton hijab, tu ne pourras pas travailler chez nous»​

Hakima habite à El-Harrach, une banlieue populaire située à l’est d’Alger. Après un diplôme décroché haut la main à l’université d’Alger, Hakima boucle, à 22 ans, brillamment son cursus universitaire. Confiante, sûre d’elle-même et de ses qualités, elle se lance à la conquête du marché de travail. Des CV déposés ici et là. Un premier entretien d’embauche. Un deuxième s’ensuit. Elle croit avoir fait bonne impression. Hakima se dit que son diplôme lui épargnera le chômage contrairement à ses pauvres frères qui rasent les mûrs de leur cité.

Mais les jours passent et sa patience est mise à rude épreuve. Elle cherche dés lors à comprendre et voici qu’une gifle la réveille et coupe court à ses rêves professionnels.

«Jamais je n’aurais crû que mon hidjab allait être un obstacle pour lancer ma vie professionnelle. J’ai étudié les finances et je voulais faire carrière dans une banque. J’ai postulé dans plusieurs banques étrangères. Lors de mes entretiens, on m’a même dit que mon profil collait à leurs attentes. Mais on ne m’a jamais rappelé», s’étonne notre interlocutrice.

Son étonnement ne durera pas longtemps puisque le responsable du recrutement d’une banque étrangère installée en Algérie lui exposera, en des termes clairs, son véritable problème:

«Malheureusement, avec ton hijab, tu ne pourras pas travailler chez nous», lui-a-t-il dit.

Bouleversée, Hakima ne croit pas ce qu’elle entend. Mais une fois le choc passé, elle se résout à accepter la triste réalité.

«J’ai naturellement refusé d’enlever mon hijab. J’ai juré de ne jamais céder. Il n’est pas question de brader mes convictions religieuses et j’ai continué mes recherches», raconte Hakima qui demeure jusqu’à l’heure actuelle chômeuse.

la suite ici : http://www.slateafrique.com
 

ya3ni

3la slamtek babouches
VIB
Le hijab empêche-t-il la femme algérienne de trouver un emploi? Cette question surprenante a de quoi choquer dans un pays réputé pour son conservatisme et sa religiosité. Et pourtant, le problème est réel.

Cela ne se passe ni à Paris ni dans une autre métropole française. C’est bel et bien à Alger, et dans d’autres grandes villes algériennes, que ce phénomène commence à prendre de l’ampleur. Des filles voilées sont refoulées dans certaines entreprises.

Des recruteurs leur lancent carrément cette phrase à la figure: «vous voulez travailler? Alors enlevez votre hijab!»

Ainsi, en dépit de leur percée remarquable sur le marché du travail, certaines femmes algériennes continuent de rencontrer des difficultés pour décrocher un emploi. Non parce qu’elles ne remplissent pas les critères de sélection, mais parce qu’elles sont voilées. Leur voile les expose à toutes sortes de discriminations. Zoom sur une problématique sociétale rarement abordée.

«Avec ton hijab, tu ne pourras pas travailler chez nous»​

Hakima habite à El-Harrach, une banlieue populaire située à l’est d’Alger. Après un diplôme décroché haut la main à l’université d’Alger, Hakima boucle, à 22 ans, brillamment son cursus universitaire. Confiante, sûre d’elle-même et de ses qualités, elle se lance à la conquête du marché de travail. Des CV déposés ici et là. Un premier entretien d’embauche. Un deuxième s’ensuit. Elle croit avoir fait bonne impression. Hakima se dit que son diplôme lui épargnera le chômage contrairement à ses pauvres frères qui rasent les mûrs de leur cité.

Mais les jours passent et sa patience est mise à rude épreuve. Elle cherche dés lors à comprendre et voici qu’une gifle la réveille et coupe court à ses rêves professionnels.

«Jamais je n’aurais crû que mon hidjab allait être un obstacle pour lancer ma vie professionnelle. J’ai étudié les finances et je voulais faire carrière dans une banque. J’ai postulé dans plusieurs banques étrangères. Lors de mes entretiens, on m’a même dit que mon profil collait à leurs attentes. Mais on ne m’a jamais rappelé», s’étonne notre interlocutrice.

Son étonnement ne durera pas longtemps puisque le responsable du recrutement d’une banque étrangère installée en Algérie lui exposera, en des termes clairs, son véritable problème:

«Malheureusement, avec ton hijab, tu ne pourras pas travailler chez nous», lui-a-t-il dit.

Bouleversée, Hakima ne croit pas ce qu’elle entend. Mais une fois le choc passé, elle se résout à accepter la triste réalité.

«J’ai naturellement refusé d’enlever mon hijab. J’ai juré de ne jamais céder. Il n’est pas question de brader mes convictions religieuses et j’ai continué mes recherches», raconte Hakima qui demeure jusqu’à l’heure actuelle chômeuse.

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pourquoi il l'a tutoie, c'est un peu irrespecteux non :bizarre:
























je rigole :D

c'est sur c'est en Algerie ? car j'ai envie dire c'est bizarre :-/ .... c'est bien triste meme
 

etre2en1

intersex people are cool
VIB
Dans certains emplois je comprends, n'importe qui peut se trouver dessous,
si on demande à quelqu'un d'avoir confiance on doit aussi avoir assez
confiance pour montrer qui on est.

Client d'une banque je donnerais pas mon argent à un inconnu masqué,
" à qui vous avez déposé l'argent ? ", " heu à un type masqué ".

http://www.bladi.info/346761-braquage-voile-integral/
 
Le hijab empêche-t-il la femme algérienne de trouver un emploi? Cette question surprenante a de quoi choquer dans un pays réputé pour son conservatisme et sa religiosité. Et pourtant, le problème est réel.

Cela ne se passe ni à Paris ni dans une autre métropole française. C’est bel et bien à Alger, et dans d’autres grandes villes algériennes, que ce phénomène commence à prendre de l’ampleur. Des filles voilées sont refoulées dans certaines entreprises.

Des recruteurs leur lancent carrément cette phrase à la figure: «vous voulez travailler? Alors enlevez votre hijab!»

Ainsi, en dépit de leur percée remarquable sur le marché du travail, certaines femmes algériennes continuent de rencontrer des difficultés pour décrocher un emploi. Non parce qu’elles ne remplissent pas les critères de sélection, mais parce qu’elles sont voilées. Leur voile les expose à toutes sortes de discriminations. Zoom sur une problématique sociétale rarement abordée.

«Avec ton hijab, tu ne pourras pas travailler chez nous»​

Hakima habite à El-Harrach, une banlieue populaire située à l’est d’Alger. Après un diplôme décroché haut la main à l’université d’Alger, Hakima boucle, à 22 ans, brillamment son cursus universitaire. Confiante, sûre d’elle-même et de ses qualités, elle se lance à la conquête du marché de travail. Des CV déposés ici et là. Un premier entretien d’embauche. Un deuxième s’ensuit. Elle croit avoir fait bonne impression. Hakima se dit que son diplôme lui épargnera le chômage contrairement à ses pauvres frères qui rasent les mûrs de leur cité.

Mais les jours passent et sa patience est mise à rude épreuve. Elle cherche dés lors à comprendre et voici qu’une gifle la réveille et coupe court à ses rêves professionnels.

«Jamais je n’aurais crû que mon hidjab allait être un obstacle pour lancer ma vie professionnelle. J’ai étudié les finances et je voulais faire carrière dans une banque. J’ai postulé dans plusieurs banques étrangères. Lors de mes entretiens, on m’a même dit que mon profil collait à leurs attentes. Mais on ne m’a jamais rappelé», s’étonne notre interlocutrice.

Son étonnement ne durera pas longtemps puisque le responsable du recrutement d’une banque étrangère installée en Algérie lui exposera, en des termes clairs, son véritable problème:

«Malheureusement, avec ton hijab, tu ne pourras pas travailler chez nous», lui-a-t-il dit.

Bouleversée, Hakima ne croit pas ce qu’elle entend. Mais une fois le choc passé, elle se résout à accepter la triste réalité.

«J’ai naturellement refusé d’enlever mon hijab. J’ai juré de ne jamais céder. Il n’est pas question de brader mes convictions religieuses et j’ai continué mes recherches», raconte Hakima qui demeure jusqu’à l’heure actuelle chômeuse.

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ça peut se passer partout mais pas en Algérie c'est un pur et simple mensonge dalleurs il faut s'attendre au but de ce scénario.
 
Le hijab empêche-t-il la femme algérienne de trouver un emploi? Cette question surprenante a de quoi choquer dans un pays réputé pour son conservatisme et sa religiosité. Et pourtant, le problème est réel.

Cela ne se passe ni à Paris ni dans une autre métropole française. C’est bel et bien à Alger, et dans d’autres grandes villes algériennes, que ce phénomène commence à prendre de l’ampleur. Des filles voilées sont refoulées dans certaines entreprises.

Des recruteurs leur lancent carrément cette phrase à la figure: «vous voulez travailler? Alors enlevez votre hijab!»

Ainsi, en dépit de leur percée remarquable sur le marché du travail, certaines femmes algériennes continuent de rencontrer des difficultés pour décrocher un emploi. Non parce qu’elles ne remplissent pas les critères de sélection, mais parce qu’elles sont voilées. Leur voile les expose à toutes sortes de discriminations. Zoom sur une problématique sociétale rarement abordée.

«Avec ton hijab, tu ne pourras pas travailler chez nous»​

Hakima habite à El-Harrach, une banlieue populaire située à l’est d’Alger. Après un diplôme décroché haut la main à l’université d’Alger, Hakima boucle, à 22 ans, brillamment son cursus universitaire. Confiante, sûre d’elle-même et de ses qualités, elle se lance à la conquête du marché de travail. Des CV déposés ici et là. Un premier entretien d’embauche. Un deuxième s’ensuit. Elle croit avoir fait bonne impression. Hakima se dit que son diplôme lui épargnera le chômage contrairement à ses pauvres frères qui rasent les mûrs de leur cité.

Mais les jours passent et sa patience est mise à rude épreuve. Elle cherche dés lors à comprendre et voici qu’une gifle la réveille et coupe court à ses rêves professionnels.

«Jamais je n’aurais crû que mon hidjab allait être un obstacle pour lancer ma vie professionnelle. J’ai étudié les finances et je voulais faire carrière dans une banque. J’ai postulé dans plusieurs banques étrangères. Lors de mes entretiens, on m’a même dit que mon profil collait à leurs attentes. Mais on ne m’a jamais rappelé», s’étonne notre interlocutrice.

Son étonnement ne durera pas longtemps puisque le responsable du recrutement d’une banque étrangère installée en Algérie lui exposera, en des termes clairs, son véritable problème:

«Malheureusement, avec ton hijab, tu ne pourras pas travailler chez nous», lui-a-t-il dit.

Bouleversée, Hakima ne croit pas ce qu’elle entend. Mais une fois le choc passé, elle se résout à accepter la triste réalité.

«J’ai naturellement refusé d’enlever mon hijab. J’ai juré de ne jamais céder. Il n’est pas question de brader mes convictions religieuses et j’ai continué mes recherches», raconte Hakima qui demeure jusqu’à l’heure actuelle chômeuse.

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ben elle n'a plus qu'a se nourrir de hijab et d'eau chloré...
 
Ce serait une manipulation , un mensonge ???

Qu'est ce qui vous gêne dans le fond ??? qu'ils soient plus ouvert d'esprit au bled qu'en France, le "pays de la liberté" ???


Ce qui gêne le plus,c'est des société étrangère qui pratique de la discrimination,pour un pays qui rabâche a toute les sauces qu'il et souverain patati et patata,mais qui ne réagi même pas c'est minable.

Et en plus il n'y a rien de nouveau,il y avait déjà les centres d'appels au Maghreb qui demande au personnel de changer de prénom quand ils appellent un client en France ou en Europe.

Même chez nous on veux nous désintégrer,ressembler a tout prix a l'occident.o_O

Il ne manque plus qu'une Fadela Amara et sa bande de vendue..:npq:
 

vsqpsp

vsqpsp
Dans certains emplois je comprends, n'importe qui peut se trouver dessous,
si on demande à quelqu'un d'avoir confiance on doit aussi avoir assez
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Client d'une banque je donnerais pas mon argent à un inconnu masqué,
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Salamelekoum il me sembler qu'il parle dans l'article du hijab pas du niqab.
Tu a besoin de voir les cheveux et les formes de quelqu'un pour lui faire confiance ^^ ?
 
Ce serait une manipulation , un mensonge ???

Qu'est ce qui vous gêne dans le fond ??? qu'ils soient plus ouvert d'esprit au bled qu'en France, le "pays de la liberté" ???
voir des passeports cartes d'identité et permis de conduire avec le port de longue barbe
pour les hommes et le port du voile pour les femmes.
des médecins des enseignante toute fonctions (femmes) dans des services publique
sauf dans les rangs de l'armée et de la police je ne pas rien avancé .
cessant un peu la guerre des fausses infos derrières des profits pétroliers.
 

Tharbat

💙💚💛
Contributeur
Le hijab empêche-t-il la femme algérienne de trouver un emploi? Cette question surprenante a de quoi choquer dans un pays réputé pour son conservatisme et sa religiosité. Et pourtant, le problème est réel.

Cela ne se passe ni à Paris ni dans une autre métropole française. C’est bel et bien à Alger, et dans d’autres grandes villes algériennes, que ce phénomène commence à prendre de l’ampleur. Des filles voilées sont refoulées dans certaines entreprises.

Des recruteurs leur lancent carrément cette phrase à la figure: «vous voulez travailler? Alors enlevez votre hijab!»
y
Ainsi, en dépit de leur percée remarquable sur le marché du travail, certaines femmes algériennes continuent de rencontrer des difficultés pour décrocher un emploi. Non parce qu’elles ne remplissent pas les critères de sélection, mais parce qu’elles sont voilées. Leur voile les expose à toutes sortes de discriminations. Zoom sur une problématique sociétale rarement abordée.

«Avec ton hijab, tu ne pourras pas travailler chez nous»​

Hakima habite à El-Harrach, une banlieue populaire située à l’est d’Alger. Après un diplôme décroché haut la main à l’université d’Alger, Hakima boucle, à 22 ans, brillamment son cursus universitaire. Confiante, sûre d’elle-même et de ses qualités, elle se lance à la conquête du marché de travail. Des CV déposés ici et là. Un premier entretien d’embauche. Un deuxième s’ensuit. Elle croit avoir fait bonne impression. Hakima se dit que son diplôme lui épargnera le chômage contrairement à ses pauvres frères qui rasent les mûrs de leur cité.

Mais les jours passent et sa patience est mise à rude épreuve. Elle cherche dés lors à comprendre et voici qu’une gifle la réveille et coupe court à ses rêves professionnels.

«Jamais je n’aurais crû que mon hidjab allait être un obstacle pour lancer ma vie professionnelle. J’ai étudié les finances et je voulais faire carrière dans une banque. J’ai postulé dans plusieurs banques étrangères. Lors de mes entretiens, on m’a même dit que mon profil collait à leurs attentes. Mais on ne m’a jamais rappelé», s’étonne notre interlocutrice.

Son étonnement ne durera pas longtemps puisque le responsable du recrutement d’une banque étrangère installée en Algérie lui exposera, en des termes clairs, son véritable problème:

«Malheureusement, avec ton hijab, tu ne pourras pas travailler chez nous», lui-a-t-il dit.

Bouleversée, Hakima ne croit pas ce qu’elle entend. Mais une fois le choc passé, elle se résout à accepter la triste réalité.

«J’ai naturellement refusé d’enlever mon hijab. J’ai juré de ne jamais céder. Il n’est pas question de brader mes convictions religieuses et j’ai continué mes recherches», raconte Hakima qui demeure jusqu’à l’heure actuelle chômeuse.

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soub7anallah....l.affaire du 7ijab. perciste toujours là où on a commencé à encercler l'islam trop tôt:(
 

Dinor

VIB
Le hijab empêche-t-il la femme algérienne de trouver un emploi? Cette question surprenante a de quoi choquer dans un pays réputé pour son conservatisme et sa religiosité. Et pourtant, le problème est réel.

Cela ne se passe ni à Paris ni dans une autre métropole française. C’est bel et bien à Alger, et dans d’autres grandes villes algériennes, que ce phénomène commence à prendre de l’ampleur. Des filles voilées sont refoulées dans certaines entreprises.

Des recruteurs leur lancent carrément cette phrase à la figure: «vous voulez travailler? Alors enlevez votre hijab!»

Ainsi, en dépit de leur percée remarquable sur le marché du travail, certaines femmes algériennes continuent de rencontrer des difficultés pour décrocher un emploi. Non parce qu’elles ne remplissent pas les critères de sélection, mais parce qu’elles sont voilées. Leur voile les expose à toutes sortes de discriminations. Zoom sur une problématique sociétale rarement abordée.

«Avec ton hijab, tu ne pourras pas travailler chez nous»​

Hakima habite à El-Harrach, une banlieue populaire située à l’est d’Alger. Après un diplôme décroché haut la main à l’université d’Alger, Hakima boucle, à 22 ans, brillamment son cursus universitaire. Confiante, sûre d’elle-même et de ses qualités, elle se lance à la conquête du marché de travail. Des CV déposés ici et là. Un premier entretien d’embauche. Un deuxième s’ensuit. Elle croit avoir fait bonne impression. Hakima se dit que son diplôme lui épargnera le chômage contrairement à ses pauvres frères qui rasent les mûrs de leur cité.

Mais les jours passent et sa patience est mise à rude épreuve. Elle cherche dés lors à comprendre et voici qu’une gifle la réveille et coupe court à ses rêves professionnels.

«Jamais je n’aurais crû que mon hidjab allait être un obstacle pour lancer ma vie professionnelle. J’ai étudié les finances et je voulais faire carrière dans une banque. J’ai postulé dans plusieurs banques étrangères. Lors de mes entretiens, on m’a même dit que mon profil collait à leurs attentes. Mais on ne m’a jamais rappelé», s’étonne notre interlocutrice.

Son étonnement ne durera pas longtemps puisque le responsable du recrutement d’une banque étrangère installée en Algérie lui exposera, en des termes clairs, son véritable problème:

«Malheureusement, avec ton hijab, tu ne pourras pas travailler chez nous», lui-a-t-il dit.

Bouleversée, Hakima ne croit pas ce qu’elle entend. Mais une fois le choc passé, elle se résout à accepter la triste réalité.

«J’ai naturellement refusé d’enlever mon hijab. J’ai juré de ne jamais céder. Il n’est pas question de brader mes convictions religieuses et j’ai continué mes recherches», raconte Hakima qui demeure jusqu’à l’heure actuelle chômeuse.

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On dirai que la France à envoyer un virus dans la tête des algerien... ils sont plus franciser maintenant avec cette histoire... bravo les algériens :)
 

SoumaSoum078

Je stresse comme un lutin !
VIB
en islam ..il y a toujours des priorités...
mieux de travailler dans une banque ribawia que d'aller voler pour vivre....puis elle cherchera de meilleurs au fure et à mesure

Pas d'accord rriba c'est une declaration de guerre contre Allah elle aurait pu choisir un autre domaine à croire qu il n y a que la finance
 
A

AncienMembre

Non connecté
C'est honteux. ... je n'ai jamais compris en quoi un foulard puisse gêner.

Je suis pa contre pour qu'on établisse des règles claores contre le prosélytisme communautaire et pour une ambiance minimale de camaraderie donc ceux qui n'aiment pas ka mixité ou ne veulent pzd saluer en serrant la main n'ont aucune place dans une entreprise.
 
C'est honteux. ... je n'ai jamais compris en quoi u nouveau foulard puisse gêner.

Je suis pa contre pour qu'on établisse des règles claores contre le prosélytisme communautaire et pour une ambiance minimale de camaraderie donc ceux qui n'aiment pas ka mixité ou ne veulent pzd saluer en serrant la main n'ont aucune place dans une entreprise.

Je comprend pas c'est cas de figure cité dans l'article surtout qu'en Algérie les femmes voilés qui travaillent c'est normal enfin bref ridicule
 

etre2en1

intersex people are cool
VIB
Salamelekoum il me sembler qu'il parle dans l'article du hijab pas du niqab.
Tu a besoin de voir les cheveux et les formes de quelqu'un pour lui faire confiance ^^ ?

De pouvoir identifier clairement la personne, sinon autant prendre une
banque en ligne par le net sans agence physique ni personnel à voir.
 

Tharbat

💙💚💛
Contributeur
non, je vois pas
c'est ce que toi tu préfères ou c'est Allah (swt) qui le dit ?

c'est Allah qui dit:
ma youridou Allah iyaj3ala aalaykoum fi ddin mine haraj...

ça me rappelle une histoire d'une chinoise convertie qui etait venue vivre au Maroc et elle ne sait rien faire que apprendre la danse aux autres fillettes... elle etait prof de danse dans son pays...
 
Dans certains emplois je comprends, n'importe qui peut se trouver dessous,
si on demande à quelqu'un d'avoir confiance on doit aussi avoir assez
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Client d'une banque je donnerais pas mon argent à un inconnu masqué,
" à qui vous avez déposé l'argent ? ", " heu à un type masqué ".

http://www.bladi.info/346761-braquage-voile-integral/

Avec le hijab tu vois le visage, c'est les cheveux qui son caché.
 
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