Les Belges en détresse dans les pays "absolument déconseillés" ne pourront plus exiger l'aide consulaire
Les Belges qui décideraient de se rendre dans un pays ou une région fortement déconseillée par le ministère des Affaires étrangères ne pourront plus compter sur l'intervention du ministère en cas de problème.
Le Yémen, le Soudan du Sud ou encore la Syrie font partie des pays dans lesquels le ministère des Affaires étrangères déconseille de se rendre.
Les raisons de ces mises en garde peuvent être multiples: la situation politique du pays, une guerre, des intempéries,...
Depuis le 1er juin dernier, le code consulaire contient un nouveau chapitre qui pose un cadre définissant clairement le principe de l'aide consulaire, rendue depuis toujours par les Affaires étrangères aux belges en détresse à l'étranger.
Et ce cadre prévoit notamment que les autorités ne sont plus tenues d'intervenir dans certains pays.
"Si un citoyen belge décide de lui-même de se rendre dans une région qui est complètement déconseillée par les Affaires étrangères, il ne peut pas prétendre à ce que les Affaires étrangères interviennent pour lui en raison des circonstances sur place de la même manière que pour un touriste qui se rend dans une zone autorisée pour le tourisme", explique Matthieu Branders, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
Cela peut concerner un Belge qui aurait pris des risques inconsidéré dans un de ces pays déconseillés.
La carte interactive des pays considérés comme dangereux
Les pays fortement déconseillés par le ministère des Affaires étrangères sont marqués d'un point rouge. Les points bleus sont inscrits sur les pays dont certaines zones sont déconseillées ou ceux dans lesquels les voyages non-essentiels* sont déconseillés. Passez votre souris sur les points pour avoir plus d'informations.
(*) Le ministère des Affaires étrangères entend par là les voyages d’agrément, à but touristique.
Il faut les différencier des voyages officiels, d’affaires ou dans la famille dans lesquels les voyageurs sont bien encadrés, connaissent l’environnement local ou sont pris en charge par des gens qui le connaissent bien.
Les Belges qui décideraient de se rendre dans un pays ou une région fortement déconseillée par le ministère des Affaires étrangères ne pourront plus compter sur l'intervention du ministère en cas de problème.
Le Yémen, le Soudan du Sud ou encore la Syrie font partie des pays dans lesquels le ministère des Affaires étrangères déconseille de se rendre.
Les raisons de ces mises en garde peuvent être multiples: la situation politique du pays, une guerre, des intempéries,...
Depuis le 1er juin dernier, le code consulaire contient un nouveau chapitre qui pose un cadre définissant clairement le principe de l'aide consulaire, rendue depuis toujours par les Affaires étrangères aux belges en détresse à l'étranger.
Et ce cadre prévoit notamment que les autorités ne sont plus tenues d'intervenir dans certains pays.
"Si un citoyen belge décide de lui-même de se rendre dans une région qui est complètement déconseillée par les Affaires étrangères, il ne peut pas prétendre à ce que les Affaires étrangères interviennent pour lui en raison des circonstances sur place de la même manière que pour un touriste qui se rend dans une zone autorisée pour le tourisme", explique Matthieu Branders, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
Cela peut concerner un Belge qui aurait pris des risques inconsidéré dans un de ces pays déconseillés.
La carte interactive des pays considérés comme dangereux
Les pays fortement déconseillés par le ministère des Affaires étrangères sont marqués d'un point rouge. Les points bleus sont inscrits sur les pays dont certaines zones sont déconseillées ou ceux dans lesquels les voyages non-essentiels* sont déconseillés. Passez votre souris sur les points pour avoir plus d'informations.
(*) Le ministère des Affaires étrangères entend par là les voyages d’agrément, à but touristique.
Il faut les différencier des voyages officiels, d’affaires ou dans la famille dans lesquels les voyageurs sont bien encadrés, connaissent l’environnement local ou sont pris en charge par des gens qui le connaissent bien.