Voici un exemple qui montre la conséquence catastrophique du non respect de ce principe fondamental, de ne compter que sur Dieu:
Le mot en arabe, «Oummy», avait été d’abord interprété unanimement comme correspondant au mot «analphabète». Puis certains «savants» qui ont finalement compris que cette interprétation était fausse, ont opté pour le mot «gentil», alors que si les premiers comme les derniers, n’avaient compté que sur Dieu, Il leur aurait inspiré la véritable signification, qui découle du mot lui-même et aussi, par opposition au non «Oummy» que Dieu définit comme étant, le suiveur de l’écrit. Ainsi, cela leur aurait permis de déduire que le «Oummy» n’est autre, que celui qui suit sa «Oumma», c’est à dire, sa communauté, au lieu de suivre l’écrit de Dieu.
Cela paraît banal comme erreur et pourtant, le résultat de cette précipitation aux apparences innocentes, est que l'unique moyen de faire partie des rescapés, en cessant de suivre sa communauté, afin de suivre désormais l'écrit de Dieu, a été ainsi esquivé. Les conséquences, seront d’une gravité insoupçonnée.
En effet, en croyant que la maladie à soigner était l'analphabétisme, de grands efforts seront certes déployés, mais malheureusement, en faveur de l'aggravation de la véritable maladie dénoncée par Dieu, qui est celle de suivre sa communauté «Oumma» au lieu de suivre l’écrit divin. En effet, les efforts qui seront déployés contre l’analphabétisme, vont déboucher sur l’officialisation, la structuration et même la dogmatisation des différentes manières possibles de suivre la «Oumma». Ceci donnera ainsi naissance à plusieurs courants de pensée ou dogmes, chacun pouvant à son tour se subdiviser au gré des nouvelles tendances ou circonstances. Cette situation désastreuse aurait été évitée, s'ils avaient suivi l'écrit de Dieu en ne comptant que sur Dieu, pour toute explication, y compris en ce qui concerne le véritable sens d'un mot tel que « Oummy », sachant qu'Il est Le Seul à connaître le véritable sens de tout ce qu’Il écrit, voir 3:7 et 25:33.
Quel que soit le cas qu’ils te soumettent, nous te fournissons la vérité, et la meilleure explication. (25:33)
Et ceci (le Quran) est mon droit chemin. Et ne suivez pas plusieurs chemins, ce qui vous dévierait de Son chemin. Ce sont Ses recommandations que vous puissiez vous préserver. (6:153)
Et nous n’avons envoyé aucun messager avant toi sans que nous ne lui inspirions: «Il n’y a de dieu que Moi, adorez-Moi donc.» (21:25)
Et voici la sentence divine qui a prévalu dans cette affaire qui a démarré par la mauvaise interprétation du mot « Oummy » et qui a débouché sur une transgression flagrante des commandements 6:153 et 21:25, rappelés ci-dessus.
Récite-leur la nouvelle de celui à qui nous avons apporté nos révélations, et qui choisit de les esquiver. En conséquence, le satan le poursuivit, jusqu'à ce qu’il devienne un égaré. (7:175)
Avions-Nous voulu, nous pouvions l’avoir élevé avec nos révélations, mais il s’éternisa au sol, et suivit son ego. Son exemple est comme celui du chien: Que tu le charges ou que tu le décharges, il halète. Tel est l’exemple des gens qui rejettent nos révélations. Raconte ces récits, qu’ils puissent réfléchir. (7:176)
Mauvais vraiment est l’exemple des gens qui rejettent nos révélations, ce n’est que leurs propres personnes qu’ils trompent. (7:177)
Celui qu’Allah guide est vraiment le guidé, et ceux qu’Il engage à s’égarer, ce sont ceux-là les perdants. (7:178)
Le mot en arabe, «Oummy», avait été d’abord interprété unanimement comme correspondant au mot «analphabète». Puis certains «savants» qui ont finalement compris que cette interprétation était fausse, ont opté pour le mot «gentil», alors que si les premiers comme les derniers, n’avaient compté que sur Dieu, Il leur aurait inspiré la véritable signification, qui découle du mot lui-même et aussi, par opposition au non «Oummy» que Dieu définit comme étant, le suiveur de l’écrit. Ainsi, cela leur aurait permis de déduire que le «Oummy» n’est autre, que celui qui suit sa «Oumma», c’est à dire, sa communauté, au lieu de suivre l’écrit de Dieu.
Cela paraît banal comme erreur et pourtant, le résultat de cette précipitation aux apparences innocentes, est que l'unique moyen de faire partie des rescapés, en cessant de suivre sa communauté, afin de suivre désormais l'écrit de Dieu, a été ainsi esquivé. Les conséquences, seront d’une gravité insoupçonnée.
En effet, en croyant que la maladie à soigner était l'analphabétisme, de grands efforts seront certes déployés, mais malheureusement, en faveur de l'aggravation de la véritable maladie dénoncée par Dieu, qui est celle de suivre sa communauté «Oumma» au lieu de suivre l’écrit divin. En effet, les efforts qui seront déployés contre l’analphabétisme, vont déboucher sur l’officialisation, la structuration et même la dogmatisation des différentes manières possibles de suivre la «Oumma». Ceci donnera ainsi naissance à plusieurs courants de pensée ou dogmes, chacun pouvant à son tour se subdiviser au gré des nouvelles tendances ou circonstances. Cette situation désastreuse aurait été évitée, s'ils avaient suivi l'écrit de Dieu en ne comptant que sur Dieu, pour toute explication, y compris en ce qui concerne le véritable sens d'un mot tel que « Oummy », sachant qu'Il est Le Seul à connaître le véritable sens de tout ce qu’Il écrit, voir 3:7 et 25:33.
Quel que soit le cas qu’ils te soumettent, nous te fournissons la vérité, et la meilleure explication. (25:33)
Et ceci (le Quran) est mon droit chemin. Et ne suivez pas plusieurs chemins, ce qui vous dévierait de Son chemin. Ce sont Ses recommandations que vous puissiez vous préserver. (6:153)
Et nous n’avons envoyé aucun messager avant toi sans que nous ne lui inspirions: «Il n’y a de dieu que Moi, adorez-Moi donc.» (21:25)
Et voici la sentence divine qui a prévalu dans cette affaire qui a démarré par la mauvaise interprétation du mot « Oummy » et qui a débouché sur une transgression flagrante des commandements 6:153 et 21:25, rappelés ci-dessus.
Récite-leur la nouvelle de celui à qui nous avons apporté nos révélations, et qui choisit de les esquiver. En conséquence, le satan le poursuivit, jusqu'à ce qu’il devienne un égaré. (7:175)
Avions-Nous voulu, nous pouvions l’avoir élevé avec nos révélations, mais il s’éternisa au sol, et suivit son ego. Son exemple est comme celui du chien: Que tu le charges ou que tu le décharges, il halète. Tel est l’exemple des gens qui rejettent nos révélations. Raconte ces récits, qu’ils puissent réfléchir. (7:176)
Mauvais vraiment est l’exemple des gens qui rejettent nos révélations, ce n’est que leurs propres personnes qu’ils trompent. (7:177)
Celui qu’Allah guide est vraiment le guidé, et ceux qu’Il engage à s’égarer, ce sont ceux-là les perdants. (7:178)