pour tous les marocains , c'est une bonne nouvelle , l9or3a mazal had l3am m3a Obama
Les Elections USA 2012 : Obama ou Romney
- Initiateur de la discussion petitbijou
- Date de début
salam
ça veut dire?
ca veut dire ya toujours la loterie des cartes vertes pour les USA
ahmed II
Sweet & Sour
Il n'y a que ceux qui aiment les grosses compagnies à fric, les juifs et la race blanche qui ne sont pas contents. Romney était un millionnaire qui s'en foutait des gens du peuple (47%), qui détestait les Arabes et pour qui les immigrés étaient des enfoirés qui risquaient de copuler avec les Américains de souches: tous ces partisans sont des blancs.
Pourtant, je connais des tonnes de maghrébins qui détestent Obama.
ahmed II
Sweet & Sour
Let's go Obama ! .....
To be honest ..It doesnt matter
Ça, c'est de l'honnêteté. Les gens, la plupart du temps, ont en rien à foutre, sauf si leur emploi est directement concerné.
À ce moment-là, ils votent pour celui qui assurera leur salaire, même si cela fera mal à la moitié de la population...
C'est ça qu,est devenu la politique.
parle pas pour tous les marocains y en qui s'en secouent les steaks
Obamar favori des latinos
Les sondages effectués à la sortie des urnes indiquent que la victoire de Barack Obama est due au soutien important des minorités afro-américaines et hispaniques. Les chiffres le démontrent : les minorités préfèrent Obama. Le président réélu a remporté 93 % des voix des Afro-américains, 71% des Hispaniques et 73 % des Asiatiques. Uchechi Kalu est étudiante en troisième année à luniversité de Princeton. Pour cette Américaine de parents nigérians, voter pour Obama est une évidence. « Sachant que je suis afro-américaine, je ne pense pas que cela puisse étonner. Traditionnellement, les Afro-américains votent démocrate dans ce pays. Et lors de ces élections, certains sondages montraient Romney sans aucun soutien des populations afro-américaines, littéralement 0 % », affirme-t-elle. « Certains Afro-américains auraient souhaité quObama insiste davantage sur un dialogue autour de la question de la race et du racisme dans ce pays. Et ces personnes sont très frustrées quil ne lait pas fait », explique Uchechi Kalu. Le mandat Obama nest pas forcément satisfaisant pour ces populations mais la symbolique du personnage semble jouer un rôle majeur. « Je pense que, quoi quil en soit, Obama reste un modèle pour les Afro-américains. Parfois on a limpression quil y a très peu dafro-américains auxquels on peut se référer comme modèles. Mais Obama est un modèle, un héros. Rien quen devenant président, il a marqué lHistoire », ajoute Uchechi. Pour ce qui est du bilan du mandat de Barack Obama, bien que loin dêtre satisfaisant, il est tout de même perçu comme un moindre mal comparé à une éventuelle administration Romney. Uchechi Kalu explique son choix de ne pas voter pour le candidat républicain : « Je nai pas voté pour Mitt Romney tout simplement parce que je ne pense pas que lon devrait sacrifier une politique sociale en faveur dune politique économique. Je comprends que de nombreuses personnes soient déçues de létat de léconomie pendant le mandat dObama. Ces gens-là veulent du changement, mais Romney est également contre lavortement et le mariage homosexuel. Je ne veux pas dun président qui retire aux femmes leurs droits et qui traitent les homosexuels comme des citoyens de seconde zone. Léconomie évolue, cest dans sa nature. Et son état a moins à faire avec le président directement, contrairement à ce quepensent les Américains. Mais pour ce qui est droits, une fois quils sont retirés, il est très difficile de les reprendre. Pour les Afro-américains cela a pris près de 200 ans ».
http://www.lesoir-echos.com/obama-favori-des-minorites/monde/60703/
Les sondages effectués à la sortie des urnes indiquent que la victoire de Barack Obama est due au soutien important des minorités afro-américaines et hispaniques. Les chiffres le démontrent : les minorités préfèrent Obama. Le président réélu a remporté 93 % des voix des Afro-américains, 71% des Hispaniques et 73 % des Asiatiques. Uchechi Kalu est étudiante en troisième année à luniversité de Princeton. Pour cette Américaine de parents nigérians, voter pour Obama est une évidence. « Sachant que je suis afro-américaine, je ne pense pas que cela puisse étonner. Traditionnellement, les Afro-américains votent démocrate dans ce pays. Et lors de ces élections, certains sondages montraient Romney sans aucun soutien des populations afro-américaines, littéralement 0 % », affirme-t-elle. « Certains Afro-américains auraient souhaité quObama insiste davantage sur un dialogue autour de la question de la race et du racisme dans ce pays. Et ces personnes sont très frustrées quil ne lait pas fait », explique Uchechi Kalu. Le mandat Obama nest pas forcément satisfaisant pour ces populations mais la symbolique du personnage semble jouer un rôle majeur. « Je pense que, quoi quil en soit, Obama reste un modèle pour les Afro-américains. Parfois on a limpression quil y a très peu dafro-américains auxquels on peut se référer comme modèles. Mais Obama est un modèle, un héros. Rien quen devenant président, il a marqué lHistoire », ajoute Uchechi. Pour ce qui est du bilan du mandat de Barack Obama, bien que loin dêtre satisfaisant, il est tout de même perçu comme un moindre mal comparé à une éventuelle administration Romney. Uchechi Kalu explique son choix de ne pas voter pour le candidat républicain : « Je nai pas voté pour Mitt Romney tout simplement parce que je ne pense pas que lon devrait sacrifier une politique sociale en faveur dune politique économique. Je comprends que de nombreuses personnes soient déçues de létat de léconomie pendant le mandat dObama. Ces gens-là veulent du changement, mais Romney est également contre lavortement et le mariage homosexuel. Je ne veux pas dun président qui retire aux femmes leurs droits et qui traitent les homosexuels comme des citoyens de seconde zone. Léconomie évolue, cest dans sa nature. Et son état a moins à faire avec le président directement, contrairement à ce quepensent les Américains. Mais pour ce qui est droits, une fois quils sont retirés, il est très difficile de les reprendre. Pour les Afro-américains cela a pris près de 200 ans ».
http://www.lesoir-echos.com/obama-favori-des-minorites/monde/60703/
l9or3a ou l9ro3a et l'9roda 7ta homa mazal m3a Obama?
lmirikane mcha fi8a, 3azzi wella 7akem 3lihoum.
fin 3oumer chi 3azzi tafrou, tsayftou yjib lek yetrou dial l7lib, jib lek kilo dial lfakher
Romeney Vs Obama : Perspectives pour le monde arabe
Étant donné le manque de clarté concernant le nom du vainqueur des présidentielles américaines (à l’heure où ce texte a été écrit, le résultat des élections n’était pas encore connu, ndlr), il serait sage d’examiner les possibilités auxquelles le Maroc et le monde arabe doivent s’attendre. Dans l’ensemble, le Maroc et le monde arabe devraient s’attendre à une continuité dans les deux scénarios, avec quelques différences mineures entre les candidats sur certaines questions, la principale étant l’approche des États-Unis sur la question palestinienne. Le Maroc a obtenu un accord de libre-échange ainsi que le titre d’« allié majeur non-membre de l’OTAN » sous l’administration républicaine précédente, et il participe à un processus de dialogue stratégique avec les États-Unis sous l’administration Obama. Ces liens ont aidé le pays à se détourner d’un conflit ouvert avec l’Espagne concernant la souveraineté de l’îlot Leila, et ont éventuellement posé les bases pour un lent processus de normalisation actuellement en cours avec le gouvernement Rajoy. Les relations avec les États-Unis ont également contribué à assurer une inclinaison des États-Unis vers le Maroc en ce qui concerne le plan d’autonomie proposé pour résoudre la question du Sahara. En général, les administrations républicaines et démocrates ont été largement amicales envers le Maroc, bien qu’il y ait eu et qu’il y a encore, des divergences sur certaines questions telles que la guerre en Irak et la question palestinienne. L’opposition à des relations positives avec le Maroc existe dans les commissions parlementaires des deux partis en tant qu’opinion minoritaire. Côté démocrate, il y a ceux qui acceptent le discours du polisario et essaient de réduire le niveau de la relation avec le Maroc. Du côté des républicains, il y a ceux qui pensent que l’amitié avec le Maroc coûte aux États-Unis en terme de contrats avec des entreprises dans le secteur du pétrole et du gaz algérien. Enfin, il y a des personnes dans les deux partis qui estiment que la relation devrait être plus distante en raison des préoccupations au sujet des questions relatives aux droits de l’Homme. De manière générale, ces trois groupes n’ont pas réussi à influencer la politique ou à réduire le niveau des relations maroco-américaines. La colle qui a cimenté
http://www.lesoir-echos.com/romney-...s-pour-le-monde-arabe-et-le-maroc/zoom/60653/
Étant donné le manque de clarté concernant le nom du vainqueur des présidentielles américaines (à l’heure où ce texte a été écrit, le résultat des élections n’était pas encore connu, ndlr), il serait sage d’examiner les possibilités auxquelles le Maroc et le monde arabe doivent s’attendre. Dans l’ensemble, le Maroc et le monde arabe devraient s’attendre à une continuité dans les deux scénarios, avec quelques différences mineures entre les candidats sur certaines questions, la principale étant l’approche des États-Unis sur la question palestinienne. Le Maroc a obtenu un accord de libre-échange ainsi que le titre d’« allié majeur non-membre de l’OTAN » sous l’administration républicaine précédente, et il participe à un processus de dialogue stratégique avec les États-Unis sous l’administration Obama. Ces liens ont aidé le pays à se détourner d’un conflit ouvert avec l’Espagne concernant la souveraineté de l’îlot Leila, et ont éventuellement posé les bases pour un lent processus de normalisation actuellement en cours avec le gouvernement Rajoy. Les relations avec les États-Unis ont également contribué à assurer une inclinaison des États-Unis vers le Maroc en ce qui concerne le plan d’autonomie proposé pour résoudre la question du Sahara. En général, les administrations républicaines et démocrates ont été largement amicales envers le Maroc, bien qu’il y ait eu et qu’il y a encore, des divergences sur certaines questions telles que la guerre en Irak et la question palestinienne. L’opposition à des relations positives avec le Maroc existe dans les commissions parlementaires des deux partis en tant qu’opinion minoritaire. Côté démocrate, il y a ceux qui acceptent le discours du polisario et essaient de réduire le niveau de la relation avec le Maroc. Du côté des républicains, il y a ceux qui pensent que l’amitié avec le Maroc coûte aux États-Unis en terme de contrats avec des entreprises dans le secteur du pétrole et du gaz algérien. Enfin, il y a des personnes dans les deux partis qui estiment que la relation devrait être plus distante en raison des préoccupations au sujet des questions relatives aux droits de l’Homme. De manière générale, ces trois groupes n’ont pas réussi à influencer la politique ou à réduire le niveau des relations maroco-américaines. La colle qui a cimenté
http://www.lesoir-echos.com/romney-...s-pour-le-monde-arabe-et-le-maroc/zoom/60653/
En réalité, le Maroc se soucie de l'avis qu'ont les Etats Unis d'Amérique de lui mais les EUA s'en fichent un peu; tout comme ils s'en fichent pas mal de l'Afrique. Pour preuve, Obama n'a même pas fait de halte au Kenya, pays d'origine de son père et n'en a fait qu'une de quelques heures seulement sous fond d'une instabilité grandissante de l'Afrique du Sud. D'autres chats à fouetter et notamment la crise des subprimes puis des dettes souveraines.
Dans les trois débats qui ont eu lieu entre les deux candidats, l'Afrique n'a été que peu évoquée si ce n'est par Romney qui critiquait l'activisme d'AQMI et la situation au Mali. Romney qui se voyait bien augmenter le budget de la Défense alors qu'Obama compte le stabiliser avec un retrait prévu d'Afghanistan dans les 2-3 ans. Ce même Obama qui a multiplié les raids illégaux de drones au Yémen (AQPA) au Pakistan et dans la frange de la frontière avec l'Afghanistan dans les zones tribales pour erradiquer les talibans les plus virulents. En réalité, la grosse erreur que font les EUA c'est de croire qu'en ayant coupé la tête d'Al Qaida, OBL, ils ont tué le mouvement. Un mvt qui en réalité est protéiforme sans réel commandement central. Il rassemble tous les mécontents, parfois plein de frustration, du djihadisme anti-impérialisme américain.
Pire, pour le Maroc, aux Etats Unis comme en France, l'on craint une recrudescence de l'Islamisme radical et les récents événements, manipulation ou pas, qui auraient pu toucher le Parlement marocain en sont une preuve. Laisser le PJD arriver au pouvoir plutôt que le marginaliser est une erreur stratégique car cela tend à les normaliser.
Au final, le Maroc aurait davantage gagné à avoir un Républicain au pouvoir. Leur inculture et pragmatisme tend à favoriser les régimes despotiques modernistes comme le Maroc. C'est sous l'ère G. W. Bush qu'a été signé un accord de libre échange (critiqué par le Congrès US) entre le Royaume chérifien et les Etats Unis. C'est aussi grâce aux Républicains que le Maroc a accédé à un statut avantageux vis à vis de l'OTAN tout en restant en dehors.
Quoi qu'il en soit, la priorité géostratégique américaine a été recentrée sur le Pacifique désormais et les tensions entre Chine et Japon, Taïwan et Chine, Japon et Russie intéressent bien plus le géant américain aux pieds d'argile que le Nord de l'Afrique ou l'Afrique toute entière car ils ne servent que de point d'observation pour le positionnement chinois sur les matières premières et éventuellement l'exploitation des ressources fossiles et autres terres arables.
++
Dans les trois débats qui ont eu lieu entre les deux candidats, l'Afrique n'a été que peu évoquée si ce n'est par Romney qui critiquait l'activisme d'AQMI et la situation au Mali. Romney qui se voyait bien augmenter le budget de la Défense alors qu'Obama compte le stabiliser avec un retrait prévu d'Afghanistan dans les 2-3 ans. Ce même Obama qui a multiplié les raids illégaux de drones au Yémen (AQPA) au Pakistan et dans la frange de la frontière avec l'Afghanistan dans les zones tribales pour erradiquer les talibans les plus virulents. En réalité, la grosse erreur que font les EUA c'est de croire qu'en ayant coupé la tête d'Al Qaida, OBL, ils ont tué le mouvement. Un mvt qui en réalité est protéiforme sans réel commandement central. Il rassemble tous les mécontents, parfois plein de frustration, du djihadisme anti-impérialisme américain.
Pire, pour le Maroc, aux Etats Unis comme en France, l'on craint une recrudescence de l'Islamisme radical et les récents événements, manipulation ou pas, qui auraient pu toucher le Parlement marocain en sont une preuve. Laisser le PJD arriver au pouvoir plutôt que le marginaliser est une erreur stratégique car cela tend à les normaliser.
Au final, le Maroc aurait davantage gagné à avoir un Républicain au pouvoir. Leur inculture et pragmatisme tend à favoriser les régimes despotiques modernistes comme le Maroc. C'est sous l'ère G. W. Bush qu'a été signé un accord de libre échange (critiqué par le Congrès US) entre le Royaume chérifien et les Etats Unis. C'est aussi grâce aux Républicains que le Maroc a accédé à un statut avantageux vis à vis de l'OTAN tout en restant en dehors.
Quoi qu'il en soit, la priorité géostratégique américaine a été recentrée sur le Pacifique désormais et les tensions entre Chine et Japon, Taïwan et Chine, Japon et Russie intéressent bien plus le géant américain aux pieds d'argile que le Nord de l'Afrique ou l'Afrique toute entière car ils ne servent que de point d'observation pour le positionnement chinois sur les matières premières et éventuellement l'exploitation des ressources fossiles et autres terres arables.
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ahmed II
Sweet & Sour
C'est ce que je disais, et ce n'est pas seulement les marocains qui raisonnent ainsi, mais beaucoup d' "arabes".
+1 déjà pour Obama qui réussira finalement à faire passer sa réforme de la santé