Seloua Ejjennane offre à voir, jusqu’au 8 novembre à la Villa des arts de Rabat, ses «Figures du double». Des figurines uniques et spéciales que l’artiste confectionne avec beaucoup d’amour et de ferveur.
L’histoire de Seloua avec ces figurines a commencé comme un jeu d’imagination de personnages drôles, bizarres et sympathiques, montés avec toute sorte d’objets qu’elle a chinés dans la nature, les souks ou les greniers de famille. Ses découvertes ont d’abord porté sur le verre. Puis elle associe d’autres matériaux comme la porcelaine, l’argenterie, la ferronnerie. «À la base de ce travail, il y a ma passion pour le chinage et ma fascination pour le verre. Ces objets chinés tout au long de ma vie dans mon pays ou lors de mes voyages ont pris un sens le jour où un changement d’angle de vue m’a permis de créer ma première figurine». Ce fut le déclic permettant à l’artiste de créer un concept propre à elle, qui consiste à transformer tout objet qui tombe entre ses mains. «Mon atelier est inondé d’objets que je sélectionne, combine jusqu’à trouver enfin tous les éléments qui vont me permettre d’aboutir au résultat souhaité», explique-t-elle.
Diplômée en économétrie, puis en coaching, et maîtrisant le dessin, la décoration d’intérieur et pratiquant la danse, Seloua n’a pas trouvé de difficultés pour réaliser des personnages recto verso inspirés de sa vie et de ses émotions. Ses personnages ne plaisent pas toujours aux gens. Mais ce n’est pas son souci. Car pour elle, le résultat souhaité n’est pas forcément une œuvre qui doit être belle. «Ce qui est important, c’est que l’œuvre soit équilibrée, stable, harmonieuse et surtout qu’elle puisse provoquer mon fou rire, et ce n’est qu’à ce moment-là que je considère qu’elle est finie. Le problème c’est qu’une fois l’œuvre réalisée, je constate qu’elle ne fait rire que moi».........
L’histoire de Seloua avec ces figurines a commencé comme un jeu d’imagination de personnages drôles, bizarres et sympathiques, montés avec toute sorte d’objets qu’elle a chinés dans la nature, les souks ou les greniers de famille. Ses découvertes ont d’abord porté sur le verre. Puis elle associe d’autres matériaux comme la porcelaine, l’argenterie, la ferronnerie. «À la base de ce travail, il y a ma passion pour le chinage et ma fascination pour le verre. Ces objets chinés tout au long de ma vie dans mon pays ou lors de mes voyages ont pris un sens le jour où un changement d’angle de vue m’a permis de créer ma première figurine». Ce fut le déclic permettant à l’artiste de créer un concept propre à elle, qui consiste à transformer tout objet qui tombe entre ses mains. «Mon atelier est inondé d’objets que je sélectionne, combine jusqu’à trouver enfin tous les éléments qui vont me permettre d’aboutir au résultat souhaité», explique-t-elle.
Diplômée en économétrie, puis en coaching, et maîtrisant le dessin, la décoration d’intérieur et pratiquant la danse, Seloua n’a pas trouvé de difficultés pour réaliser des personnages recto verso inspirés de sa vie et de ses émotions. Ses personnages ne plaisent pas toujours aux gens. Mais ce n’est pas son souci. Car pour elle, le résultat souhaité n’est pas forcément une œuvre qui doit être belle. «Ce qui est important, c’est que l’œuvre soit équilibrée, stable, harmonieuse et surtout qu’elle puisse provoquer mon fou rire, et ce n’est qu’à ce moment-là que je considère qu’elle est finie. Le problème c’est qu’une fois l’œuvre réalisée, je constate qu’elle ne fait rire que moi».........
