C'est un tableau idyllique que tu dresses. En mode "pauvres femmes victimes expiatoires des hommes phallocrates en mal être".
Pour l'argent, certaines même travaillant, cherchent à pomper l'argent de leur (ex) conjoint. Les blédardes sont les plus voraces. Elles arrivent en France pseudo naïves et apprennent très vite. Le manque est svt mal vécu chez ce genre de personne. Surtout celles d'origine modeste. Elles voient leur mec comme une pompe à fric en mode tonneaux des Danaïdes. Mariage d'amour ? Non, mariage d'intérêt. Nada mas. Il suffit d'entendre ces femmes divorcées, qui pullulent sur les sdr, pour se rendre compte de leur cupidité. Bcp se font secouer avec l'argent de leur ex. Un homme gagnant en moyenne bcp plus qu'une femme du fait des carrières hachées. Même même ça, en France, ça change. Les grandes boites du CAC40 multiplient les initiatives pour favoriser l'évolution rapide (parfois précipitée) des femmes dans l'organigramme avec salaire de compensation post maternité. Les mecs se font littéralement liquéfiés avec des salaires plus bas que certaines KKSsettes. Elles sont d'ailleurs appréciées. Elles ont pour bcp un caractère trempé. Ambitieuse; plus de niaque car embarquée dans un combat qu'elles découvrent dont se lassent les françaises. Ces dernières ont passé le cap de la culpabilité quand elles couchent. Cela est en train de se faire chez la KKSsette. Celles qui ont gardé les principes du système patriarcal (et dans une plus large mesure, de l'Islam éminemment patriarcal), elles, restent sur le bas côté alors elles se rabattent sur l'achat immobilier. Sans enfant. Une aubaine pour le système libéral. Comme l'expliquait Fanon, la femme est et demeure un facteur de nivellement vers le bas qui sert les intérêts du capitalisme. L'objectif est de freiner l'augmentation des coûts salariaux. Tjrs et encore pour maximiser la distribution des dividendes.
Ce modèle ne perdurera pas. La cellule familiale et les pbs sociaux explosent. L'Education nationale peine à gérer ces générations de rejetons mal éduqués par des parents démissionnaires car obsédés par la jouissance immédiate en ce bas monde.
Les femmes marocaines se défont de l'Islam sans se l'assumer en vérité. Le foulard, le Ramadan, etc c'est un peu le Noel en Europe. On s'en tape du petit Jésus mais on va courir consommer en se rassemblant pour laver son linge sale en famille. Comme les couscous une fois le Ramadan et les salamaleks passés.
Si matériellement, la solidarité nationale ne le permettait pas (en France, la CAF pallie aux manquements sur le versement des pensions et les juges disposent de pouvoirs larges pour aller chercher l'argent là où il se trouve), les femmes divorceraient bcp moins. La liberté a un prix. Souvent supporté par l'homme. Avant, pendant et après le divorce. Les hommes maghrébins étant restés encore sur le modèle patriarcal dont les femmes d'auj. ne veulent tirer que les avantages (sans les inconvénients). Privatisation des gains (pour elle et sa famille du bled qu'elle entretient. Vive la France qui se prive d'une source d'épargne conséquente qui finance des pays corrompus jusqu'à la moelle et où la prédation est la règle. Dans toute l'Afrique). Mutualisation des pertes (pour l'homme pigeon).
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(^_^)