Les Français inculpés au Tchad seront transférés à N'Djamena

petitbijou

Casablanca d'antan
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http://www.egaliteetreconciliation.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=698&Itemid=109

Paris Biotech Santé est un organisme semi-public de biotechnologie agréé depuis 2000 par l'Etat et subventionné par la Ville de Paris. Composé de quatre membres fondateurs: l'Université Paris-V René Descartes, l'INSERM, l'École Centrale de Paris et l'ESSEC, Paris Biotech Santé est officiellement un "incubateur" chargé d'aider à la création d'entreprises dans le domaine de la santé humaine (programmes sanitaires, recherche médicale, production de médicaments, services aux malades, etc). Dirigé par le professeur Olivier Amedée-Manesme, il dispose de locaux et de laboratoires au sein de l'hôpital Cochin à Paris.
 
Arche de Zoé : la grâce d'Idriss Déby attendue sous peu
NOUVELOBS.COM | 29.03.2008 | 07:51
Le Conseil supérieur de la magistrature tchadien a rendu vendredi un "avis favorable" à la demande de grâce des six ressortissants français condamnés en décembre à huit ans de prison

http://tempsreel.nouvelobs.com/actu..._la_grace_didriss_deby_attendue_sous_peu.html

ben c'etait attendue pb, tu ne croit quandv meme pas que des francais serons comndanee parce qu'ils en vendue des enfant noir
 

petitbijou

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biensure qu'ils sont mechants les tchadiens ,ils sont des barbares et des sauvages ; des arrierer et des incultes , ils en reclamer une justice contre des voleur d'enfants francais


mais non voyons ce sont des gentils qui voulaient les faire sortir de la misère et loin des barbares :D
 

Aujourd’hui avec la libération des membres de l’arc de zoé impliquer dans le trafic d’enfant, une autre page se tourne dans les relations de la france avec les pays de l’Afrique ou entre le fort et le faible

Cet France d’égalité, de justice et de fraternité, n’accepte même pas une condamnation même significative de quelque criminelle qui en choisis le commerce d’humains comme source de richesse……….pourquoi ? Rien que parce que l’enfant volé est un tchadien, un pauvre tchadien, d’un pays faible sans force et sans intérêt ; est le voleur n’est un français civilisé blancs

Alla8 yal3ankoum wyal3ane adou3f
 

petitbijou

Casablanca d'antan
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ben je ne sait pas que penserait il si je lui volerait ses enfants pour les vendre en algerie, afin de les faires sortir de la misere et loin de barbares francais
qu est ce qu ils feront en Algérie ou au Maroc ils ont assez fai de dégats je pense :rolleyes:

enfin bon passons là n est pas le débat cher Sahlik ;)
 

petitbijou

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15:35 France : d'après un courrier rédigé par le gouvernement tchadien et publié par le journal Le Figaro, Paris aurait donné son accord pour payer les 6.3 millions d'euros de dommages et intérêts dus par les condamnés de l'Arche de Zoé. (Guysen.International.News)
Notons cependant le Premier ministre François Fillon a bien affirmé mardi qu'il était « hors de question que les contribuables français paient 6 millions d'euros pour des erreurs que la France n'a pas commises ».
 

petitbijou

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Arche de Zoé: le Tchad demande à la France de collecter 6,3 millions d'euros
il y a 1 heure 26 mins

Le Tchad a demandé à la justice française de collecter les 6,3 millions d'euros de dommages et intérêts que les six Français de L'Arche de Zoé ont été condamnés à verser aux familles des 103 enfants qu'ils tentaient d'emmener, a déclaré vendredi à l'AFP son ministre de la Communication.

Dans une lettre adressée le 7 octobre à la ministre française de la Justice Rachida Dati, N'Djamena demande l'exécution du jugement, donc le versement des 4,12 milliards de FCFA (6,3 millions d'euros) de dommages et intérêts, a affirmé Mahamat Hissène, également porte-parole du gouvernement, en montrant le document.

"Nous estimons qu'en obtenant le transfèrement des Français (condamnés) du Tchad en France, la France assumait aussi la charge des dommages et intérêts", a expliqué le ministre.

Arrêtés en octobre 2007 à Abéché (est du Tchad) et jugés dans la capitale N'Djamena, les six Français de l'association L'Arche de Zoé avaient été condamnés le 26 décembre 2007 par la Cour criminelle de N'Djamena à verser "solidairement" 4,12 milliards de FCFA aux familles des 103 enfants que l'association avait tenté d'exfiltrer vers la France.

Les six membres de l'association avait été également condamnés à huit ans de travaux forcés et transférés en France le 28 décembre avant d'être graciés, le 31 mars, par le président tchadien Idriss Deby Itno puis transférés en France.

En attendant, le Tchad a débloqué "il y a quelques jours" 1,5 milliard de FCFA (2,3 millions d'euros) pour les familles, a précisé M. Hissène.

"Le gouvernement estime que les enfants doivent recevoir les bénéfices des dommages et intérêts. Nous préférons avancer l'argent en attendant que la France nous paie", a affirmé M. Hissène.

Selon lui, "des sommes ont été versées directement aux familles" alors qu'il y aura "des investissements au bénéfice des communautés en termes de scolarité, de santé et autres".

Ce différend ne perturbe "aucunement les bonnes relations entre la France et le Tchad", a-t-il indiqué. "Chacun fait la différence entre cette affaire et les relations".

Le ministre a également nié le versement par la France de sommes au Tchad de manière extra-officielle: "Si la France nous avait donné l'argent dû, on ne le réclamerait pas à la justice française".

Le Premier ministre français François Fillon avait exclu que Paris paie ces dommages et intérêts: "Il est hors de question que le contribuable français paie six millions d'euros pour des erreurs que la France n'a pas commises", avait-il déclaré le 1er avril.

Cette affaire avait déclenché une vive tension entre la France et le Tchad, le président français Nicolas Sarkozy était venu spécialement en novembre 2007 à N'Djamena où il avait notamment plaidé pour que les accusés soient jugés en France.

Les enfants avaient été confiés à un orphelinat d'Abéché jusqu'à ce qu'ils retrouvent leurs familles à la mi-mars.

L'Arche de Zoé avait affirmé avoir voulu sauver des "orphelins" du Darfour, région soudanaise en guerre civile limitrophe de l'est du Tchad, ce qui avait été contredit par des organisations humanitaires internationales.
 

petitbijou

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L'Arche de Zoé refait surface sur le Web


Un an après le scandale de l'Arche de Zoé, l'association humanitaire française repart à l'assaut. Son site Internet, archedezoe.fr, a rouvert ce matin. Entièrement consacré à l'affaire - la tentative de transférer illégalement vers la France 103 enfants présentés comme des orphelins du Darfour -, il vise à « expliquer ce qui s'est vraiment passé », selon le président de l'association, Eric Breteau. « De nouvelles vidéos, qu'on a pu récupérer, méritaient d'être montrées », explique celui qui fut le cerveau de l'opération. A cela s'ajoutent des documents, photos, cartes et commentaires fournis par les membres actifs de l'Arche de Zoé, désormais au nombre de quatre, contre une dizaine l'an dernier.

« Tout ce qui est en ligne a déjà été remis à la justice », précise Eric Breteau, actuellement sous contrôle judiciaire. Il est poursuivi en France, avec deux autres membres de l'association et deux membres du Cofod (Collectif des familles pour les orphelins du Darfour), pour « aide à l'entrée et au séjour irrégulier de mineurs étrangers », « exercice illégal de l'activité d'intermédiaire en adoption » et « escroquerie » envers les familles d'accueil. Il encourt jusqu'à cinq ans de prison, selon son avocat, Me Collard.

Toujours convaincu que les 103 enfants sont des orphelins de la région soudanaise du Darfour, Eric Breteau se dit victime d'« une dénaturation de l'opération », qu'il impute à la France et aux médias. Contactée, la porte-parole du Haut Commissariat pour les réfugiés au Tchad, Annette Rehrl, rappelle pourtant que seuls « six enfants ont été identifiés comme soudanais, les autres comme tchadiens, et aucun n'était orphelin ». Selon elle, la réouverture du site de l'Arche de Zoé est « un peu ridicule » : « Je ne vois pas comment ils comptent changer la vérité, connue de tous. »

Après l'affaire, les membres de l'association emprisonnés puis graciés par le Tchad ont pris leurs distances avec Eric Breteau, hormis sa compagne, Emilie Lelouch, et deux membres du Cofod, Philippe Van Winkelberg et Alain Péligat. Isolé, il se dit pourtant déterminé à « résister à ces grandes puissances qui pourrissent notre monde » et à « appareiller de nouveau prochainement » afin d'«aider les enfants du Darfour ». Pour éviter qu'il répète ce type d'opération, la justice a soumis Eric Breteau à une interdiction de quitter le territoire.



Faustine Vincent -
 
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