Espiegle69
Evil Halouf
Un reportage sur les conditions de vie misérables des mineurs de Jerada....
YouTube- Les gueules noires de Jerada
YouTube- Les gueules noires de Jerada
Tout d'abord merci Espiegle69 pour ce reportage sur les mineurs de fond à JERADA. Je suis preneur pour tout ce qui touche la mine, mon père était mineur de fond.
Franchement, en voyant ce reportage, on se croirait dans un autre temps. Rien à voir avec les conditions de travail et de sécurité dans les mines de charbon en France. Etre payé 5 à 10 par jour, pour travailler dans des conditions misérables, pose la question des autorités qui ferment les yeux sur lexploitation inhumaine de ces mines.
Comme toujours, ce sont les gros bonnets qui sont au sommet et qui exploitent ces hommes, ces femmes et enfants, qui retirent les marrons du feu. Lorsque jai entendu, ce monsieur dire que même travailler au bureau cest risqué, il compare le fond dune mine délabrée avec un bureau, vraiment de lhypocrisie..
Gros travailleur ? Euh, je ne pense pas ou alors tu n'as jamais eu de société à toi au Maroc. Le travail d'arabe tu connais ? La réputation des produits européens tu connais ? J'ai l'impression que les méditerranéens (côté Europe et Afrique), on a tendance à voir les choses à une autre vitesse. En France par exemple, tu dois certainement le savoir, les gens du sud notamment sud est et les corses, ont la réputation de travailler "à la tranquille".
Tu sais, je vais te dire un truc, quand je vivais en France, je prenais mal le fait d'entendre parler de "travail d'arabe". Cela avait tendance à m'énerver. En arrivant au Maroc, j'ai compris pourquoi on avait la réputation de mal travailler. Je défie quiconque de me dire que les finitions au travail sont digne d'un ouvrier allemand voir même d'un français. Immeuble de moyen standing ou de haut standing, c'est kif kif. Y'a juste du marbre ou du simili marbre qui va faire la différence.
Et je ne te parle même pas des mecs (plus fréquent à Tanger qu'à Casa ou Rabat) qui une fois le salaire en poche, se mettaient en pause et revenaient comme si de rien n'était une fois le capital dilapidé.
Gros travailleur ? Euh, je ne pense pas ou alors tu n'as jamais eu de société à toi au Maroc. Le travail d'arabe tu connais ?
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Je dirige une société au Maroc. Le pain français, je l'ai mangé après avoir travaillé honnêtement. Tant que tu n'es pas concerné par un problème, tu peux donner les avis que tu veux. Le jour où tu seras de l'autre côté de la barrière, tu viendras me dire comment c'est.
A lire certains, le Maroc c'est bourré de génies et on ne comprend pas comment il n'arrive pas à intégrer le G8. D'ailleurs, c'est reconnu dans le monde, le travail dans les pays du Maghreb c'est assez proche de la qualité allemande.
Reste avec tes convictions, ****************
Quand au charbonnier de Jerada, il a beaucoup d'honneur, il ne vole pas, il ne vit pas sur le dos de la sécu, il n'a pas de protection sociale, il a que ses bras et sa prière qu'il ne tombe pas malade
Salut tous le monde, je suis natif de Jerada, je sais bien la réalité des descenderies, sachez que " l'ouvrier " simple de ces mines "clandestines" touche plus de 400 euros par semaine, à vous de faire les calculs, il y'en ceux qui touchent plus de 700 euros par semaine, alors pour "le propriétaire" du puit lui une fois arriver à la plate forme de charbon il peut le "vendre" à plus de 3000 euros, avec un travail d'une durée maximale de 2 mois pas plus.
La plus part de ces "misérables" passent les week-ends à Oujda avec les plus belles filles dans des nuits roses de rêve pour reprendre le lundi le chemin des descenderies
.Salut tous le monde, je suis natif de Jerada, je sais bien la réalité des descenderies, sachez que " l'ouvrier " simple de ces mines "clandestines" touche plus de 400 euros par semaine, à vous de faire les calculs, il y'en ceux qui touchent plus de 700 euros par semaine, alors pour "le propriétaire" du puit lui une fois arriver à la plate forme de charbon il peut le "vendre" à plus de 3000 euros, avec un travail d'une durée maximale de 2 mois pas plus.
La plus part de ces "misérables" passent les week-ends à Oujda avec les plus belles filles dans des nuits roses de rêve pour reprendre le lundi le chemin des descenderies