Une première analyse des sondages laisse entendre que les marocains dans leur majorité écrasante ne s’intéressent pas à la politique entendue dans le sens pratique du terme. Il s'avère que les querelles politiques des partis marocains sont reçues avec plus au moins de dérision, plus ou moins d'amertume, un état d'esprit qui traduit un certain nihilisme politique. En revanche cela n'empêche de constater qu'une réflexion de type politique existe même chez le plus illettré des illettrés! Les marocains sont soucieux de la politique au même temps qu'ils sont déçus par elle.
Après le déclin des partis de gauche marocains, on assistait à la montée des islamistes, ne voit-on pas là un nihilisme politique ?
Peut-on croire à la possibilité de voir émerger une élite de gauche capable d'honorer son passé lumineux ?
y a -t- il aujourd'hui parmi les partis actuels qui méritent d'être respectés et d'êtres capables de changer le train de la politique au Maroc?
Après le déclin des partis de gauche marocains, on assistait à la montée des islamistes, ne voit-on pas là un nihilisme politique ?
Peut-on croire à la possibilité de voir émerger une élite de gauche capable d'honorer son passé lumineux ?
y a -t- il aujourd'hui parmi les partis actuels qui méritent d'être respectés et d'êtres capables de changer le train de la politique au Maroc?