Les ondes gravitationnelles enfin observées !

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion UNIVERSAL
  • Date de début Date de début
L’énergie d’un photon n’est pas une unité, elle est variable, elle dépend de sa fréquence.
Salut,
C'est connu (h.nu) ...
La fréquence change-t-elle avec la distance (sans effet doppler-fizeau ) ? :D
Pour une onde monochromatique émise avec une fréquence déterminée, à grande distance comment tu fais ? :joueur:
 
Dernière édition:
Salut,
C'est connu (h.nu) ...
La fréquence change-t-elle avec la distance (sans effet doppler-fizeau ) ? :D
Pour une onde monochromatique émise avec une fréquence déterminée, à grande distance comment tu fais ? :joueur:
C’est la probabilité de le recevoir en un point qui se réduit avec la distance, je crois, ou ce n’est pas ça ?

Je le comprends comme ça, avec cette analogie : disons que l’énergie du photon est la tension d’un courant électrique, et sans que la tension ne change, l’intensité peu diminuer. L’intensité, c’est la probabilité de capter le photon.
 
C’est la probabilité de le recevoir en un point qui se réduit avec la distance, je crois, ou ce n’est pas ça ?

Je le comprends comme ça, avec cette analogie : disons que l’énergie du photon est la tension d’un courant électrique, et sans que la tension ne change, l’intensité peu diminuer. L’intensité, c’est la probabilité de capter le photon.
Salut,
L'analogie bien que grossière permet d'arriver à la même conclusion : intensité implique courant composé de n électrons en mouvement, tu ne pourras pas faire descendre l'intensité en dessous du seuil d'un électron et avoir une intensité d'une fraction d'électron ...
Tu passes d'une approche globale statistique (distribution de l'énergie transportée par une onde sphérique), à une approche probabiliste particulaire (réception de photon ou pas), considérant ainsi que l'énergie n'est plus répartie uniformément en onde mais concentrée en un photon ...
Le problème de la limite de la modélisation se pose toujours en physique ...
Une analogie grossière serait celle modélisée par un arroseur automatique : au niveau du sol (réception ou effet sur le sol) nous avons un disque de sol mouillé (l'équivalent de la sphère) alors qu'au niveau de l'émission nous avons un jet tournant composé de molécules d'eau ...
 
Dernière édition:
Salut,
L'analogie bien que grossière permet d'arriver à la même conclusion : intensité implique courant composé de n électrons en mouvement, tu ne pourras pas faire descendre l'intensité eu dessous du seuil d'un électron et avoir une intensité d'une fraction d'électron ...
Oui, l’image n’est pas parfaite. La probabilité n’a pas cette limite inférieure, je ne crois pas.

Tu passes d'une approche globale statistique (distribution de l'énergie transportée par une onde sphérique), à une approche probabiliste particulaire (réception de photon ou pas), considérant ainsi que l"énergie n'est plus répartie uniformément en onde mais concentrée en un photon ...
Non, je suppose juste que le photon est détecté en un point (c’est différent).
 
Oui, l’image n’est pas parfaite. La probabilité n’a pas cette limite inférieure, je ne crois pas.


Non, je suppose juste que le photon est détecté en un point (c’est différent).
Salut,
Il faut arrêter de tourner en rond : peux-tu détecter une énergie correspondant à celle d'un demi, ou d'un quart de photon ?
Non, c'est soit un photon soit rien (car en fait c'est les effets des interactions/photons capteurs que l'on mesure)...
Cela veut dire que l'énergie transportée par l'onde ne peut pas à être considérée comme distribuée uniformément selon la fameuse formule de la puissance transportée, à très grande distance ...
Voir l'analogie avec l'arrosoir automatique ...
 
[…]
Cela veut dire que l'énergie transportée par l'onde ne peut pas à être considérée comme distribuée uniformément selon la fameuse formule de la puissance transportée, à très grande distance ...
[…]
C’est toujours uniformément réparti, c’est la détection qui est localisée. Il ne faut pas confondre deux phénomènes différents, qui sont la propagation du photon et sa détection, qui est une interaction avec un système.

Si on ne se comprends pas, je n’insiste pas :desole: .
 
C’est toujours uniformément réparti, c’est la détection qui est localisée. Il ne faut pas confondre deux phénomènes différents, qui sont la propagation du photon et sa détection, qui est une interaction avec un système.

Si on ne se comprends pas, je n’insiste pas :desole: .
Il faut plutôt distinguer et ne pas confondre approche ondulatoire et approche corpusculaire ...
Les photons (déjà utiliser ce terme implique une approche particulaire et non ondulatoire) sont certes uniformément répartis, on peut par ailleurs les considérer comme des trains d'ondes.
Quant à la propagation du photon, d'un corpuscule, elle s'est heurtée aux phénomènes d'interférences, de diffraction, d'interaction à la traversée des fentes d'Young ...
La physique ne prend sens qu'au travers d'interactions, de l'observable, du mesurable, des "effets" mis en évidence ...
La dualité onde-corpuscule témoigne de cette ambivalence en superposant deux visions et témoigne par là que la seule vision ondulatoire n'est pas auto-suffisante ...
C'est sûr que l'on ne peut se comprendre quand on glisse d'une modélisation à une autre ...
 
donc il a eu le prix Nobel pour l'effet photo electrique mais pas pour la relativité? deja tu trouves pas ca etrange? meme le comité Nobel a du se dire a l'epoque qu'il etait trop culotté de Nobelisé un gars qui a juste realisé 2% du boulot alors que Lorentz Poincaré avaient fait 98% du boulot
Encore en plein fantasme. Le comité du Nobel ne s'est pas dit ça du tout. Ce comité n'est composé que de physiciens expérimentaux. Ils n'allaient pas récompenser une théorie à peine validée, et dans un seul de ses aspects (déviation des rayons lumineux) deux ans auparavant.

Rappelons que le secrétaire de l'académie royale rédigea même ce qu'on pourrait appeler une clause de non responsabilité, précisant qu'en l'absence de validation de cette théorie, on n'en avait pas tenu compte pour juger des mérites du candidat.

Rien d'étrange donc à ce qu'il (le comité) préfère récompenser une loi validée par l'expérience plutôt qu'une théorie non encore vérifiée dans tous ses aspects, question de prudence.

La réalité est toujours plus prosaïque que les fantasmes.
 
Encore en plein fantasme. Le comité du Nobel ne s'est pas dit ça du tout. Ce comité n'est composé que de physiciens expérimentaux. Ils n'allaient pas récompenser une théorie à peine validée, et dans un seul de ses aspects (déviation des rayons lumineux) deux ans auparavant.

Rappelons que le secrétaire de l'académie royale rédigea même ce qu'on pourrait appeler une clause de non responsabilité, précisant qu'en l'absence de validation de cette théorie, on n'en avait pas tenu compte pour juger des mérites du candidat.

Rien d'étrange donc à ce qu'il (le comité) préfère récompenser une loi validée par l'expérience plutôt qu'une théorie non encore vérifiée dans tous ses aspects, question de prudence.

La réalité est toujours plus prosaïque que les fantasmes.
La théorie des cordes est enseignée pourtant il n'y pas de preuves .
 
Retour
Haut