Les Palestiniens ont-ils vendus leur terre?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Zoubir8
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La propagande sioniste avance que les Palestiniens ont vendus leur terre au Yishouv.
Ne vous laissez pas berner par cet nargument. D'ailleurs, les chiffres parlent d'eux mêmes.
En 100 ans de colonisation, les sionistes n'ont pu acheter que 6% des terres palestiniennes.
Et encore, il faut retrancher les terres domaniales vendues par la puissance mandataire britannique, ou les gros propriétaires fonciers absentéistes vivant à Beyrouth, Damas ou au Caire. Ou retrancher encore les cas où l'acheteur était caché.

Que le mouvement sioniste n'ait pu acheter que 6% de terres palestiniennes est un aveu d'échec.
 
La propagande sioniste avance que les Palestiniens ont vendus leur terre au Yishouv.
Ne vous laissez pas berner par cet nargument. D'ailleurs, les chiffres parlent d'eux mêmes.
En 100 ans de colonisation, les sionistes n'ont pu acheter que 6% des terres palestiniennes.
Et encore, il faut retrancher les terres domaniales vendues par la puissance mandataire britannique, ou les gros propriétaires fonciers absentéistes vivant à Beyrouth, Damas ou au Caire. Ou retrancher encore les cas où l'acheteur était caché.

Que le mouvement sioniste n'ait pu acheter que 6% de terres palestiniennes est un aveu d'échec.
D'apres mon experience, Les palestiniens et les libanais sont les plus materialistes de cette planete, les marocains viennent en 3eme place.
ca prend pas un Einstein pour comprendre pourquoi les palestiniens ont vendu leur terre a des israelis, ils sont les plus materialistes du monde. Et oui, une fois on achete qq chose avec notre argent, ca devient la notre, donc si un palestinien vend sa maison ou sa terre a un zioniste qui vient de USA ou Russie, c'est plus sa maison, mais la maison de celui qui l'a achete, basta.
pour le materialisme des marocains, c'est une autre histoire...Aye Aye Aye!!!
 
La propagande sioniste avance que les Palestiniens ont vendus leur terre au Yishouv.
Ne vous laissez pas berner par cet nargument. D'ailleurs, les chiffres parlent d'eux mêmes.
En 100 ans de colonisation, les sionistes n'ont pu acheter que 6% des terres palestiniennes.
Et encore, il faut retrancher les terres domaniales vendues par la puissance mandataire britannique, ou les gros propriétaires fonciers absentéistes vivant à Beyrouth, Damas ou au Caire. Ou retrancher encore les cas où l'acheteur était caché.

Que le mouvement sioniste n'ait pu acheter que 6% de terres palestiniennes est un aveu d'échec.

puisque tu cite des chiffres precis je te suggère de donner tes sources.
 
que ce soit les sioniste ou les palestiniens koulhoum ghir kay behtou kil 7mir ce sont tous des anes hi han hi han:(

Averoes qui confirme qu'ils ont acheté des terres palesteniennes ds l'egalité avec preuve à l'appuie,des actes notaries signés par Sharon
Bio qui veut des sources!!!!
Et toi avec ta melodie de hin han,voilà un sujet qui merite sa place sur jrad!!!!
 
Ceux qui ont vendus leur terre savait qu'ils allaient devoir les céder ils ont préférer prendre ce qu'il pouvait ,comme les colons quand ils ont quitté l'Algérie . Ce que je reproche aux palestiniens c'est qu'ils oublient facilement leur histoire lorsqu'ils émigrent .
 
La propagande sioniste avance que les Palestiniens ont vendus leur terre au Yishouv.
Ne vous laissez pas berner par cet nargument. D'ailleurs, les chiffres parlent d'eux mêmes.
En 100 ans de colonisation, les sionistes n'ont pu acheter que 6% des terres palestiniennes.
Et encore, il faut retrancher les terres domaniales vendues par la puissance mandataire britannique, ou les gros propriétaires fonciers absentéistes vivant à Beyrouth, Damas ou au Caire. Ou retrancher encore les cas où l'acheteur était caché.

Que le mouvement sioniste n'ait pu acheter que 6% de terres palestiniennes est un aveu d'échec.

On connait l'histoire et ont sait que les sionistes, tous ceux qui ont fuit le nazisme pour créer le kibboutz, se sont accaparés les terres en chassant les paysans palestiniens. A chaque fois qu'ils chassaient des paysans, ils plaçaient des murs de défense pour s'octroyer les terres.

Très très peu de palestiniens ont vendu leurs terres.
 
La propagande sioniste avance que les Palestiniens ont vendus leur terre au Yishouv.
Ne vous laissez pas berner par cet nargument. D'ailleurs, les chiffres parlent d'eux mêmes.
En 100 ans de colonisation, les sionistes n'ont pu acheter que 6% des terres palestiniennes.
Et encore, il faut retrancher les terres domaniales vendues par la puissance mandataire britannique, ou les gros propriétaires fonciers absentéistes vivant à Beyrouth, Damas ou au Caire. Ou retrancher encore les cas où l'acheteur était caché.

Que le mouvement sioniste n'ait pu acheter que 6% de terres palestiniennes est un aveu d'échec.

Et puis, je m´en fout carement de tout ça. Qu´ils règlent leur problème.
 
On connait l'histoire et ont sait que les sionistes, tous ceux qui ont fuit le nazisme pour créer le kibboutz, se sont accaparés les terres en chassant les paysans palestiniens. A chaque fois qu'ils chassaient des paysans, ils plaçaient des murs de défense pour s'octroyer les terres.

Très très peu de palestiniens ont vendu leurs terres.

Tout à fait, il y a eu des expulsions.
Mais avant que le Yishouv ne soit le plus fort (développement des milices armées de la Haganah), il a acheté des terres.
 
C'est bien beau de sortir un pourcentage mais tu le sors d'ou?
Faudrai demander aussi à l'empire ottoman...
Les chiffres sont connus de tout historien sérieux. Je donne mes sources/ Elias Sambar in
Figures du Palestinien : Identité des origines, identité de devenir (Broché)
de Elias Sanbar (Auteur)
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Prix éditeur: EUR 19,50
Descriptions du produit
Présentation de l'éditeur
De la chronique du conflit palestino-israélien, de l'histoire séculaire de chaque camp, des enjeux stratégiques ou des négociations de paix, de l'actualité aussi, il n'est pas question dans ce livre. Voici pourtant un des ouvrages les plus éclairants sur la question, car il livre, grâce à une approche d'anthropologie historique, les clés fondamentales de l'identité palestinienne. Peuple expulsé de sa terre en 1948, les Palestiniens, sans jamais oublier ou négliger leur histoire, se définissaient d'abord par leur géographie si particulière, celle de la Terre sainte. Trois figures retracent leur identité de devenir. Gens de la Terre sainte : du temps de l'Empire ottoman, les Palestiniens, plus encore qu'Arabes occupés, se définissent par le pays où coexistent communautés et religions et dont les paysages sont marqués par les fusions des lieux de culte et de pèlerinage des monothéismes. Arabes de Palestine : du temps du Mandat britannique, lorsque se bâtit le " Foyer " sioniste qui prétend appuyer ses droits sur une antériorité des Juifs sur les Arabes, au point que la " montée " vers la Palestine est un retour et non une venue, les Palestiniens, pris dans la double tourmente des colonialismes britannique et juif, deviennent, malgré résistance et révoltes, graduellement des étrangers sur leur propre terre. L'Absent ou le Palestinien invisible : après l'expulsion de 1948, alors que le nouvel État d'Israël gère les biens des expulsés comme " biens des absents " et qu'il efface ou modifie méthodiquement, au fil des années, toponymie et topographie, les Palestiniens, parqués par villages entiers dans les camps de réfugiés, cultivent la mémoire des lieux et nourrissent l'idée du retour. Un rapport à l'histoire, évoluant en pure nostalgie, aurait peut-être permis que les Absents se dissolvent dans les pays arabes voisins, confirmant les vœux longtemps émis à travers le monde : " Les Palestiniens, ça n'existe pas. " Mais le rapport à une terre exilée dont on enseigne les paysages originaires aux nouvelles générations explique cette survie, contre les vents de l'histoire et les marées des guerres. Après des siècles de présence chez lui, le peuple palestinien réclame un État, puisque la communauté et le droit international ont érigé l'État-nation en seule forme possible, pour un peuple, de présence libre et souveraine sur sa terre.

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Détails sur le produit
Broché: 299 pages
Editeur : Editions Gallimard (21 octobre 2004)
Collection : NRF Essais
Langue : Français
ISBN-10: 2070759369
ISBN-13: 978-2070759361
 
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