Le jury du prix "Press club, humour et politique" présidé par Jean Miot vient de procéder à la troisième sélection de petites phrases pour l'édition 2010 du prix, qui sera remis le 20 septembre, a annoncé le jury dans un communiqué. Pour cette dernière sélection, le jury a retenu les meilleures "petites phrases" collectées depuis avril :
- Eva Joly, députée européenne (Europe Ecologie) : "Je connais bien Dominique Strauss-Kahn : je l'ai mis en examen."
- Bernard Kouchner, ministre des affaires étrangères : "J'ai bien pensé à démissionner, mais je n'ai pas voulu déserter."
- Lionnel Luca, député UMP des Alpes-Maritimes : "Il n'y a pas besoin d'être de droite ou de gauche pour dire des conneries."
- Ségolène Royal, présidente PS de la région Poitou-Charentes : "C'est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j'ai besoin de les dire."
- Dominique de Villepin : "Le Villepin nouveau sera gouleyant, fort en bouche et il aura de la cuisse."
Lors de la deuxième sélection, en mars, le jury avait retenu :
- Luc Chatel, ministre de l'éducation nationale : "Une touche de rose, vert, rouge : c'est le retour de la gouache plurielle."
- Georges Frêche, président du conseil régional de Languedoc-Roussillon : "Des gens intelligents, il y en a 5 à 6 % ; moi je fais campagne auprès des ****."
- Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée : "Je veux bien qu'on fasse un remaniement, mais on manque de stock."
- Frédéric Mitterrand, ministre de la culture : "Quand on m'appelle monsieur le ministre, j'ai toujours l'impression que Jack Lang va surgir derrière moi !"
- Laurent Wauquiez, secrétaire d'Etat chargé de l'emploi : "Il n'a pas fallu 35 heures à Martine Aubry pour virer sa cuti sur Georges Frêche."
Pour sa première sélection, en décembre, le jury avait retenu :
- Patrick Balkany, député-maire UMP de Levallois-Perret : "Je suis l'homme le plus honnête du monde."
- Rachida Dati, députée européenne UMP : "Je n'ai jamais cherché à attirer l'attention des médias."
- Laurent Fabius, député PS : "Je ne suis pas une pom-pom girl de DSK."
- Claude Goasguen, député-maire UMP du 16e arrondissement de Paris : "Une chose est sûre, ce ne sont pas nos suppléants qui vont nous pousser à nous faire vacciner contre la grippe A."
Le Monde
- Eva Joly, députée européenne (Europe Ecologie) : "Je connais bien Dominique Strauss-Kahn : je l'ai mis en examen."
- Bernard Kouchner, ministre des affaires étrangères : "J'ai bien pensé à démissionner, mais je n'ai pas voulu déserter."
- Lionnel Luca, député UMP des Alpes-Maritimes : "Il n'y a pas besoin d'être de droite ou de gauche pour dire des conneries."
- Ségolène Royal, présidente PS de la région Poitou-Charentes : "C'est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j'ai besoin de les dire."
- Dominique de Villepin : "Le Villepin nouveau sera gouleyant, fort en bouche et il aura de la cuisse."
Lors de la deuxième sélection, en mars, le jury avait retenu :
- Luc Chatel, ministre de l'éducation nationale : "Une touche de rose, vert, rouge : c'est le retour de la gouache plurielle."
- Georges Frêche, président du conseil régional de Languedoc-Roussillon : "Des gens intelligents, il y en a 5 à 6 % ; moi je fais campagne auprès des ****."
- Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée : "Je veux bien qu'on fasse un remaniement, mais on manque de stock."
- Frédéric Mitterrand, ministre de la culture : "Quand on m'appelle monsieur le ministre, j'ai toujours l'impression que Jack Lang va surgir derrière moi !"
- Laurent Wauquiez, secrétaire d'Etat chargé de l'emploi : "Il n'a pas fallu 35 heures à Martine Aubry pour virer sa cuti sur Georges Frêche."
Pour sa première sélection, en décembre, le jury avait retenu :
- Patrick Balkany, député-maire UMP de Levallois-Perret : "Je suis l'homme le plus honnête du monde."
- Rachida Dati, députée européenne UMP : "Je n'ai jamais cherché à attirer l'attention des médias."
- Laurent Fabius, député PS : "Je ne suis pas une pom-pom girl de DSK."
- Claude Goasguen, député-maire UMP du 16e arrondissement de Paris : "Une chose est sûre, ce ne sont pas nos suppléants qui vont nous pousser à nous faire vacciner contre la grippe A."
Le Monde