L’Essequibo, disputé entre Venezuela et Guyana

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur

Dimanche 3 décembre, les citoyens vénézuéliens se rendent aux urnes pour se prononcer, par référendum, sur l’avenir de L’Essequibo.


Les citoyens vénézuéliens se rendent aux urnes pour se prononcer, par référendum, sur l’avenir de l’Essequibo. Ils doivent notamment décider si cette région peut devenir, ou pas, le 24ème État du Venezuela, et si ses habitants pourront obtenir la nationalité vénézuélienne.

Mais l’Essequibo n’appartient pas à Caracas mais… à son voisin, l'État indépendant du Guyana. Et le référendum lancé par le président vénézuélien Nicolas Maduro provoque des tensions dans la région.

Sur la carte, centrée sur l’Amérique du Sud et notamment sur la côte atlantique, située juste au-dessus de l’Equateur, on voit que le territoire disputé se poursuit dans la mer, car Caracas revendique également la zone maritime qui est contiguë.

Le territoire disputé est aussi très vaste et représente les deux tiers du pays et plus de 10 % de ses habitants : 125 000 personnes sur 160 000 km2.
Pour comprendre le contentieux, il faut remonter dans l'histoire.

Lorsque le Venezuela proclame son indépendance en 1811, il fait partie de la couronne espagnole et la république comprend alors l’Essequibo. Mais dans cette Amériques du sud qui découvre l'exercice de la souveraineté, les frontières sont fragiles. Le Royaume-Uni, qui contrôle le territoire voisin, modifie la limite qui sépare sa colonie guyanaise du jeune Venezuela. Les britanniques ont acquis ce territoire en 1814 par un traité avec les Pays-Bas mais dans ce traité, la frontière occidentale n’est pas définie .Les Anglais nomment alors l’explorateur Robert Schomburgk en 1840 pour tracer la frontière. La Ligne Schomburgk revendique 80 000 kilomètre carré de territoire supplémentaire, qui englobent des mines d’or découvertes ensuite. En 1899, les venezueliens portent l’affaire devant la cour d'arbitrage de Paris qui donne raison aux Britanniques. Mais en 1949, coup de théâtre ! Le témoignage post-mortem d’un juriste américain révèle la pression exercée par les Britanniques sur la cour d’arbitrage. Le Venezuela s’en saisit et revendique ce qu’il considère comme son territoire. Les Britanniques quittent la région et quelques mois avant leur départ, avant l’indépendance du Guyana, Londres signe un accord avec le Venezuela pour accepter de résoudre un jour ce différend territorial. Différents que Londres ne résout pas et dont le jeune Etat du Guyana hérite.

Le contentieux réapparait aujourd'hui pour des raisons simples. En 2015, la compagnie américaine Exxon Mobile découvre un gisement de brut off shore qu’on voit dessiné sur la carte au large de côte de l’Essequibo. L’entreprise américaine préfère traiter avec le petit Guyana plutôt qu’avec le Venezuela socialiste. Georgetown (la capitale du Guyana), décide d’explorer unilatéralement les réserves de pétrole de la zone avec l’entreprise américaine. Caracas déclare alors illégales les concessions pétrolières accordées par le Guyana au large des côtes de l’Essequibo.
Pourquoi Maduro lance ce référendum ? Le Venezuela est un Etat exsangue et donc récupérer l’Essequibo c’est pouvoir exploiter ses ressources car sous le couvert forestier de la région, il y a du gaz et du pétrole, de l’or, des diamants, de la bauxite et d’autres minerais. Et puis pour des raisons politiques. L’Essequibo est une cause nationale, un des rares sujets avec le football qui fédère les Vénézuéliens. On est à quelques mois de la présidentielle et relancer ce sujet c’est pour l’opposition une “stratégie de distraction”.
 
Poutine donne des idées à Maduro.
Envahir un pays voisin c'est un dada de dictateurs
Ce scrutin rappelle furieusement ceux organisés en Ukraine et Crimée occupées. Les résultats sont toujours en faveur des despotes.
 
Les euro terroristes à l'affut de la moindre goute de pétrole
Je te rappelle que c'est Maduro l'anti-occidental qui va envoyer son armée pour piller l'Essequibo.
Une modification de territoire doit être demandée à ceux qui y habitent, pas à ceux qui veulent envahir.
Et de préférence avant l'occupation, pas comme celle organisée par les Russes en Ukraine occupée.
 

ElviraPacino

Free🇵🇸🇲🇦, Vive🇮🇷 & GoPoutine 🇷🇺
VIB
Bladinaute averti
Je te rappelle que c'est Maduro l'anti-occidental qui va envoyer son armée pour piller l'Essequibo.
Une modification de territoire doit être demandée à ceux qui y habitent, pas à ceux qui veulent envahir.
Et de préférence avant l'occupation, pas comme celle organisée par les Russes en Ukraine occupée.
Comme l'azerbadjan a fait pour les arméniens avec l'aide des sionistes à qui tu lèches le q car t'as pas de dignité, si les arméniens sont tous comme toi, des prédateurs sexuels ou des kim kardashian je comprends que les azeris n'en voulaient pas
 
Le secret de la montée en puissance de Maduro
Le père de Nicolás Maduro, est d'origine juive séfarade maure convertie au catholicisme
Nicolás ancien chauffeur de bus, son origine juive a permis à Chávez, de le faire ministre des Relations extérieures, pour dissiper les tensions avec la communauté juive vénézuélienne.
Il a en aussi rendu publique son appartenance au mouvement de Sathya Sai Baba, gourou indien qui professait l'unité de toutes les religions.
 

Korozif

C4H10FO2P
VIB
Poutine donne des idées à Maduro.
Envahir un pays voisin c'est un dada de dictateurs
Ce scrutin rappelle furieusement ceux organisés en Ukraine et Crimée occupées. Les résultats sont toujours en faveur des despotes.
Totalement.
L'ancien ordre mondial avait ete mis en place pour stabiliser et empêcher ce genre de dérive. Et d'empêcher les annexions sauvages.
Oh mais bla bla les USA bla bla. Les russes en ont bien profité à l'époque également. Le monde multipolaire n'existe pas. Quelle est donc leur monde multipolaire. L'ancien ne leur permettait pas de faire de l'argent et d'avoir de l'influence ? Ils ne veulent pas d'une alternative. Ils veulent couper le monde en deux. Une nouvelle guerre froide.
Quid du tourisme ? Ça va faire mal au ku. Et c'est pas les russes et les chinois qui vont rattraper le coup, en tout cas pas de suite. Et le tourisme pour un pays qui en depend...

Next step, war Maroc vs. Algérie, Egypte ?
Ça va partir de partout. Myanmar, Birmanie, Amérique du Sud, Tchad bientôt... Youhou, je suis content d'avoir mon âge, les jeunes quelle vie de m.erde vous vous préparez ! Les boules...
 
Maduro n'a pas été capable de gérer les installations pétrolières du Vénézuela.
Il a mis aux commandes des fidèles politiquement sûrs mais techniquement incapables d'où la ruine de son pays.
Il ne fera pas mieux au Guyana, c'est un fiasco programmé.
 
BIG MDR, qui sont les alliers du Venezuela ?
LES KRAGLIAS, que dire : le monde est bien fait:love: :wazaa::joueur:
On attend qu'ils viennent les aider au CS de l'ONU que vont ils dire sans compromettre leur merdiques slogan sur "l'intangibilité des frrontèrrres issues de la colonisation" autrement "l'interdiction de lecher mon nonosse laissé par mon maître parce que je suis son chien préféré "
 

Dimanche 3 décembre, les citoyens vénézuéliens se rendent aux urnes pour se prononcer, par référendum, sur l’avenir de L’Essequibo.


Les citoyens vénézuéliens se rendent aux urnes pour se prononcer, par référendum, sur l’avenir de l’Essequibo. Ils doivent notamment décider si cette région peut devenir, ou pas, le 24ème État du Venezuela, et si ses habitants pourront obtenir la nationalité vénézuélienne.

Mais l’Essequibo n’appartient pas à Caracas mais… à son voisin, l'État indépendant du Guyana. Et le référendum lancé par le président vénézuélien Nicolas Maduro provoque des tensions dans la région.

Sur la carte, centrée sur l’Amérique du Sud et notamment sur la côte atlantique, située juste au-dessus de l’Equateur, on voit que le territoire disputé se poursuit dans la mer, car Caracas revendique également la zone maritime qui est contiguë.

Le territoire disputé est aussi très vaste et représente les deux tiers du pays et plus de 10 % de ses habitants : 125 000 personnes sur 160 000 km2.
Pour comprendre le contentieux, il faut remonter dans l'histoire.

Lorsque le Venezuela proclame son indépendance en 1811, il fait partie de la couronne espagnole et la république comprend alors l’Essequibo. Mais dans cette Amériques du sud qui découvre l'exercice de la souveraineté, les frontières sont fragiles. Le Royaume-Uni, qui contrôle le territoire voisin, modifie la limite qui sépare sa colonie guyanaise du jeune Venezuela. Les britanniques ont acquis ce territoire en 1814 par un traité avec les Pays-Bas mais dans ce traité, la frontière occidentale n’est pas définie .Les Anglais nomment alors l’explorateur Robert Schomburgk en 1840 pour tracer la frontière. La Ligne Schomburgk revendique 80 000 kilomètre carré de territoire supplémentaire, qui englobent des mines d’or découvertes ensuite. En 1899, les venezueliens portent l’affaire devant la cour d'arbitrage de Paris qui donne raison aux Britanniques. Mais en 1949, coup de théâtre ! Le témoignage post-mortem d’un juriste américain révèle la pression exercée par les Britanniques sur la cour d’arbitrage. Le Venezuela s’en saisit et revendique ce qu’il considère comme son territoire. Les Britanniques quittent la région et quelques mois avant leur départ, avant l’indépendance du Guyana, Londres signe un accord avec le Venezuela pour accepter de résoudre un jour ce différend territorial. Différents que Londres ne résout pas et dont le jeune Etat du Guyana hérite.

Le contentieux réapparait aujourd'hui pour des raisons simples. En 2015, la compagnie américaine Exxon Mobile découvre un gisement de brut off shore qu’on voit dessiné sur la carte au large de côte de l’Essequibo. L’entreprise américaine préfère traiter avec le petit Guyana plutôt qu’avec le Venezuela socialiste. Georgetown (la capitale du Guyana), décide d’explorer unilatéralement les réserves de pétrole de la zone avec l’entreprise américaine. Caracas déclare alors illégales les concessions pétrolières accordées par le Guyana au large des côtes de l’Essequibo.
Pourquoi Maduro lance ce référendum ? Le Venezuela est un Etat exsangue et donc récupérer l’Essequibo c’est pouvoir exploiter ses ressources car sous le couvert forestier de la région, il y a du gaz et du pétrole, de l’or, des diamants, de la bauxite et d’autres minerais. Et puis pour des raisons politiques. L’Essequibo est une cause nationale, un des rares sujets avec le football qui fédère les Vénézuéliens. On est à quelques mois de la présidentielle et relancer ce sujet c’est pour l’opposition une “stratégie de distraction”.
Oula, les américains ne doivent pas être loin !:rolleyes:
 
Je pisse à la raie de tout microbe qui manifeste la moindre compassion envers ikhrael.
Clair ?
Et ben ne va pas faire un tour du côté de cnews, bfm, France24, Lci....t'auras jamais assez d'urines.
Mais je comprends cette souffrance car je la partage....c'est la rage, l'humiliation, l'injustice, la colère....mais rien ne change! Rien ne changera parce que la vermine ce sont les dirigeants arabes pleutres, lâches, incompétents, soumis et bourreaux...
 

Difkoum

Anti sioniste et khawa khawa.
Et ben ne va pas faire un tour du côté de cnews, bfm, France24, Lci....t'auras jamais assez d'urines.
Mais je comprends cette souffrance car je la partage....c'est la rage, l'humiliation, l'injustice, la colère....mais rien ne change! Rien ne changera parce que la vermine ce sont les dirigeants arabes pleutres, lâches, incompétents, soumis et bourreaux...
Je suis d'accord sur tout cela.
 

Drianke

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Le Venezuela et la Guyane entament un dialogue direct sur le conflit d’Esequibo

16 décembre 2023

Argyle, Kingstown. Le Venezuela et la Guyane ont convenu d’un dialogue direct et continu après une première réunion de leurs présidents à Saint-Vincent-et-les Grenadines.

Le président vénézuélien Nicolás Maduro et son homologue guyanais Irfaan Ali se sont rencontrés à Kingstown aux côtés de représentants de la Communauté des Caraïbes (Caricom), de la Communauté des États d’Amérique latine et des Caraïbes (Celac), du Brésil, de la Colombie et des Nations Unies.

Le Premier ministre de Saint-Vincent-et-les Grenadines, Ralph Gonsalves, qui dirige actuellement la Celac, avait déjà écrit aux deux parties pour les appeler à désamorcer les tensions croissantes.

Maduro et Ali ont signé la « Déclaration commune d’Argyle pour la paix entre la Guyane et le Venezuela ». Le document en 11 points stipule qu’aucune des parties ne menacera de recourir à la force contre l’autre, que toutes deux s’engageront à « résoudre les controverses conformément au droit international » et à « s’abstenir de toute escalade du conflit ». Les ministères des Affaires étrangères mettront en place une commission mixte pour « régler les questions d’un commun accord ». Une deuxième rencontre entre Ali et Maduro aura lieu au Brésil dans les trois prochains mois, également avec la médiation de la Celac et de la Caricom.

À son retour, Maduro a qualifié la réunion de « productive ». « C’est la voie à suivre où nous nous écoutons et nous respectons », a-t-il déclaré.

Le conflit territorial de longue date autour de la région d’Esequibo a repris en 2015 après la découverte d’importants gisements de pétrole. Depuis lors, le gouvernement guyanais a lancé des appels d’offres pour l’exploration pétrolière dans les eaux territoriales non délimitées d’Esequibo, ce qui, selon Caracas, constitue une violation du différend non résolu.

Plus tôt ce mois-ci, les Vénézuéliens ont voté massivement en faveur de la revendication de souveraineté de leur pays sur la bande d’Esequibo lors d’un référendum.

Le début de la réunion de jeudi aurait été tendu, Ali n’ayant serré la main du dirigeant vénézuélien que lorsque Maduro en a parlé. Celso Amorim, l’envoyé du président brésilien Lula da Silva, a reconnu qu’il y avait des tensions initiales mais qu’elles ont été désamorcées grâce à l’intervention de médiateurs.

Le premier bloc de négociations a également réuni la Caricom, qui comprend la Guyane et soutient sa position visant à porter le différend territorial sur la région d’Esequibo devant la Cour internationale de Justice (CIJ). Le Venezuela a le statut d’observateur auprès de la Caricom.

Caracas, en revanche, considère la Convention de Genève de 1966, qui oblige les pays à trouver une solution mutuellement satisfaisante, comme le seul instrument contraignant pour résoudre la question des frontières. En conséquence, le Venezuela rejette la compétence de la CIJ.

Après le premier cycle de négociations, Ali a déclaré que le Guyana considérait la région d’Esequibo comme faisant partie de son territoire souverain et qu’il défendrait les licences récemment accordées aux compagnies pétrolières transnationales. Il a également souligné que « la controverse doit être résolue devant la CIJ ».

Le gouvernement Maduro a accusé à plusieurs reprises la Guyane de servir les intérêts de la compagnie pétrolière américaine ExxonMobil, principal producteur de pétrole opérant dans les eaux contestées.

Jusqu’à la réunion de jeudi, Georgetown avait refusé les rencontres directes malgré les demandes répétées de Caracas. À son arrivée à Kingstown, Maduro a salué le travail de la Celac et de la Caricom pour faciliter le dialogue avec son homologue guyanais. Son gouvernement considère le début des négociations comme une victoire diplomatique.

Même si la rencontre n’a pas entraîné de changement immédiat dans les positions des deux parties, la rencontre directe a été accueillie positivement dans la région.

Les tensions entre le Venezuela et la Guyane ont été exacerbées par la possibilité d’une intervention militaire américaine. La semaine dernière, le Commandement Sud des États-Unis a mené des exercices avec les forces armées guyanaises. Des responsables du ministère américain de la Défense se sont rendus dans le pays. Les récentes déclarations d’Ali selon lesquelles le pays avait « impliqué ses partenaires militaires » ont fait craindre un conflit armé.

Jeudi, Ali a déclaré que « les deux parties sont déterminées à faire en sorte que la région reste une zone de paix », mais a réitéré que son gouvernement « se réserve le droit de travailler avec tous nos partenaires pour assurer la défense de notre pays ».
 

Drianke

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Le Venezuela en état d’alerte élevé avant l’arrivée d’un patrouilleur britannique au Guyana​



Le Royaume-Uni, ancien colonisateur du Guyana, annonce que le patrouilleur HMS Trent mènera des exercices militaires en mer avec la Marine de la République de Guyana. Ces exercices interviennent un mois après les résultats d’un référendum vénézuélien qui autorisait le gouvernement à annexer les deux tiers de l’actuel territoire guyanien.

Le patrouilleur britannique HMS Trent navigue dans les eaux de la Caraïbe depuis le début du mois de décembre 2023. Sa mission est de lutter contre le trafic des stupéfiants dans la région.

Le 24 décembre 2023, la Marine britannique a annoncé que HMS Trent participera également aux exercices militaires menés en collaboration avec les forces armées du Guyana, membre du Commonwealth qui regroupe toutes les anciennes colonies britanniques.

Le HMS Trent n’est pas un bâtiment de guerre mais, les autorités vénézuéliennes ont placé le pays en alerte élevée après l’annonce de la nouvelle mission du patrouilleur.

Selon le ministre de défense vénézuélien, Vladimir Padrino Lopez, il s’agit d’une agression dans les eaux maritimes qui font l’objet d’une dispute territoriale entre le Guyana et le Venezuela.

Un bâtiment de guerre dans les eaux qui n’ont toujours pas été délimitées ? Où est passé l’engagement d’être des bons pays voisins dédiés à une coexistence paisible ? On fait quoi de notre accord à ne pas menacer ou employer la force, peu importent les circonstances ?
Vladimir Padrino Lopez, Ministre de Defense du Venezuela

Le Venezuela estime que la présence du patrouilleur HMS Trent est une provocation qui remet en cause un accord signé à Saint-Vincent et les Grenadines le 14 décembre 2023.

Les pays membres de la CARICOM, les représentants des Nations Unies et du Brésil ont organisé une rencontre entre le président Irfaan Ali du Guyana et Nicolas Maduro, président vénézuélien afin de calmer les tensions dans le territoire d’Essequibo, situé sur le territoire guyanien et réclamé par Caracas.

Au Venezuela, le 3 décembre 2023, les électeurs ont voté oui par référendum non contraignant pour autoriser le gouvernement d’annexer l’Essequibo et d’installer un gouvernement régional.

Cette zone de 160 000km², les deux tiers du Guyana, est riche en ressources naturelles........................

 
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