L'état d'exception et la guerre menée par Nicolas Sarkozy

La campagne menée par Nicolas Sarkozy aura, dès le départ, été caractérisée par sa violence et sa brutalité, utilisant tous les moyens qui pouvaient faire mal à l'ennemi, saper son moral, le détruire. Et on ne comprend rien à cette campagne si on ne l'associe pas à un régime de guerre, volontairement instauré comme tel par le candidat-président.

C'est incontestablement le théoricien d'ultra-droite Carl Schmitt, qui aura le mieux caractérisé ce qu'est un régime de guerre, qui, pour lui, existait de façon latente derrière tout état politique "normal".

.....

La question est alors : est-ce que Nicolas Sarkozy n'a aucun projet, aucune conviction, ne défend aucun intérêt ? Non, bien sûr. Il défend un projet tout à fait cohérent avec la politique de la terre brulée, de la dramatisation et de la guerre. Son projet est simple : faire table rase de tout ce qui empêche les riches et les puissants de s'imposer par le pur rapport de force, en utilisant, comme simple masse de manœuvre, la plèbe, la foule des exclus et des souffrants. La force avant tout. Et une force qui, spontanément, profite aux plus puissants, à une caste minoritaire, qui sont ses " vrais amis ". Et au passage, soutenir le système économique dominant, le capitalisme sous sa forme actuelle, qui s'impose de lui-même malgré et dans sa crise.
 
"Casse toi pov' ***."

allez oust
on en veut plus !!

je l'adopterai bien, je l'enmeneari avec moi en vacances au Maroc dans notre 3roubiya et je lui apprendrai même à se servir d'une télécommande
( en référence à son twit: " Je suis nul en mécanique, en ordinateurs, avec les 3 télécommandes pour me sservir de la TV. Si Carla n'est pas là, alors j'ai un vrai pb!") .

à une seule condition, s'il accepte de changer son prénom nicolas avec un prénom arabe:D
 
Haut