salam
Chère Beyoncé,
J’ai regardé votre performance au Super Bowl dimanche dernier. J’ai écouté vos paroles. J’étais enthousiaste. En extase. Stimulé. J’ai vu des experts sur les chaines du câble parler de la manière dont vous avez « délivré un message ». Quelqu’un a même dit que vous étiez « Noire sans complexe ». J’ai adoré.
À ma grande surprise, cependant, votre performance controversée lors de notre plus grand événement sportif n’a pas été la chose la plus controversée que vous ayez faite cette semaine.
Hier, le Times of Israël a indiqué que vous alliez vous produire à Tel Aviv en août. À deux reprises. Au début, j’espérais que ce n’était qu’une rumeur, une sorte de dénigrement dirigé contre vous après votre épopée au Super Bowl. Malheureusement, c’est bien réel.
Donc, Beyoncé, Bey, habibti, je vous demande de ne pas le faire. Israël ne porte pas de halo. C’est une vilaine fille [naughty girl]. Elle ne paie même pas ses propres bills, bills, bills. En fait, ce sont nous les Américains qui le faisons, à hauteur de près de 250 milliards $ au cours des dernières années. Cela devrait vous faire perdre votre souffle [lose your breath].
Je sais que vous ne faites pas ça pour l’argent. Vous êtes une femme indépendante [independant woman]. Aussi, je dois vous demander :
Beyonce, êtes-vous folle amoureuse [crazy in love] d’Israël ?
Êtes-vous folle amoureuse d’une nation qui a dépossédé et privé de leurs droits des millions de Palestiniens autochtones, occupant illégalement leurs terres, les privant des droits politiques les plus élémentaires, et réduisant au silence leur récit ?
Chère Beyoncé,
J’ai regardé votre performance au Super Bowl dimanche dernier. J’ai écouté vos paroles. J’étais enthousiaste. En extase. Stimulé. J’ai vu des experts sur les chaines du câble parler de la manière dont vous avez « délivré un message ». Quelqu’un a même dit que vous étiez « Noire sans complexe ». J’ai adoré.
À ma grande surprise, cependant, votre performance controversée lors de notre plus grand événement sportif n’a pas été la chose la plus controversée que vous ayez faite cette semaine.
Hier, le Times of Israël a indiqué que vous alliez vous produire à Tel Aviv en août. À deux reprises. Au début, j’espérais que ce n’était qu’une rumeur, une sorte de dénigrement dirigé contre vous après votre épopée au Super Bowl. Malheureusement, c’est bien réel.
Donc, Beyoncé, Bey, habibti, je vous demande de ne pas le faire. Israël ne porte pas de halo. C’est une vilaine fille [naughty girl]. Elle ne paie même pas ses propres bills, bills, bills. En fait, ce sont nous les Américains qui le faisons, à hauteur de près de 250 milliards $ au cours des dernières années. Cela devrait vous faire perdre votre souffle [lose your breath].
Je sais que vous ne faites pas ça pour l’argent. Vous êtes une femme indépendante [independant woman]. Aussi, je dois vous demander :
Beyonce, êtes-vous folle amoureuse [crazy in love] d’Israël ?
Êtes-vous folle amoureuse d’une nation qui a dépossédé et privé de leurs droits des millions de Palestiniens autochtones, occupant illégalement leurs terres, les privant des droits politiques les plus élémentaires, et réduisant au silence leur récit ?