salam
Interdites par la loi et la religion, les relations sexuelles hors mariage sont courantes, dans une société où lâge du mariage est de plus en plus élevé. Ce nest pas une raison pour les légaliser, estiment les islamistes et pas seulement eux. Mais la société ferme les yeux et laisse se développer lhypocrisie.
Liberté sexuelle
Jamais débat aussi houleux naura eu lieu sur la liberté sexuelle au Maroc que ces dernières semaines. Un débat qui resurgit à lheure où les islamistess du PJD sont aux commande de lexécutif, même sils ne sont pour rien dans cette lumière crue jetée sur lun des plus importants déphasages existant entre le droit et les préceptes religieux, dune part et se qui ce pratique dautre part.
Sur cette question et sur dautres, comme la légalisation de lavortement, la consommation dalcool ou lhomosexualité, la polémique entre les défenseurs des libertés individuelles et les conservateurs nest pas nouvelle. Pourquoi donc ressurgit-elle ?
Premier acte : un appel lancé, le 19 juin, par lAssociation marocaine des droits humains (AMDH) pour labrogation de la loi pénalisant les relations sexuelles hors mariage, en loccurrence larticle 490 du code pénal qui sanctionne dun mois à un an de prison «toute personne de sexe différent non unie par les liens du mariage» prise en flagrant délit dacte sexuel.
«Cet article traduit lhypocrisie de notre système juridique vis-à-vis de la liberté sexuelle, qui est lune des libertés individuelles que nous défendons», a déclaré Khadija Ryadi, la présidente de cette association. Deuxième acte : cet appel fait réagir les conservateurs islamistes. Entre autres Abouzayd El Mokrie El Idrissi, membre influent du PJD, dont il est député, qui déclare que «lOccident souffrant de la décadence de ses valeurs morales et familiales ne peut en aucun cas servir de modèle pour notre société».
http://www.lavieeco.com/news/societ...e-et-interdit-religieux-que-faire--22767.html
Interdites par la loi et la religion, les relations sexuelles hors mariage sont courantes, dans une société où lâge du mariage est de plus en plus élevé. Ce nest pas une raison pour les légaliser, estiment les islamistes et pas seulement eux. Mais la société ferme les yeux et laisse se développer lhypocrisie.
Liberté sexuelle
Jamais débat aussi houleux naura eu lieu sur la liberté sexuelle au Maroc que ces dernières semaines. Un débat qui resurgit à lheure où les islamistess du PJD sont aux commande de lexécutif, même sils ne sont pour rien dans cette lumière crue jetée sur lun des plus importants déphasages existant entre le droit et les préceptes religieux, dune part et se qui ce pratique dautre part.
Sur cette question et sur dautres, comme la légalisation de lavortement, la consommation dalcool ou lhomosexualité, la polémique entre les défenseurs des libertés individuelles et les conservateurs nest pas nouvelle. Pourquoi donc ressurgit-elle ?
Premier acte : un appel lancé, le 19 juin, par lAssociation marocaine des droits humains (AMDH) pour labrogation de la loi pénalisant les relations sexuelles hors mariage, en loccurrence larticle 490 du code pénal qui sanctionne dun mois à un an de prison «toute personne de sexe différent non unie par les liens du mariage» prise en flagrant délit dacte sexuel.
«Cet article traduit lhypocrisie de notre système juridique vis-à-vis de la liberté sexuelle, qui est lune des libertés individuelles que nous défendons», a déclaré Khadija Ryadi, la présidente de cette association. Deuxième acte : cet appel fait réagir les conservateurs islamistes. Entre autres Abouzayd El Mokrie El Idrissi, membre influent du PJD, dont il est député, qui déclare que «lOccident souffrant de la décadence de ses valeurs morales et familiales ne peut en aucun cas servir de modèle pour notre société».
http://www.lavieeco.com/news/societ...e-et-interdit-religieux-que-faire--22767.html