Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités internationales
L'intolérance des tolérants
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="FrancoUSA, post: 15852900, member: 391670"] Journée d'étude sur « la condition blanche », revendications des « non-binaires », violences de certains antispécistes... Quand le progressisme est dévoyé. Fallait-il faire tout un plat d'une bavette ? Notre ode carnivore parue ici même il y a deux semaines a suscité l'ire d'une poignée d'antispécistes prêts à commettre une entorse à leur régime et à nous manger tout cru. Leur réaction gloutonne et un tantinet hystérique est révélatrice de l'évolution de nombreux mouvements « d'émancipation », nés dans les années 60-70. Contestataires, ils ont adopté une attitude autoritaire et puritaine. Un progressisme dévoyé, préoccupé de questions d'identité sexuelle et raciale, se développe. Ses thuriféraires ne se préoccupent plus du « bien commun ». L'historien Mark Lilla, professeur à l'université Columbia, a bien analysé ce virage idéologique aux États-Unis : « Les mouvements sociaux pour les droits civiques ont connu des succès remarquables dans les années 1950, 1960 et au début 1970 », expliquait-il au [I]Point[/I] . « Mais, après, il y a eu un basculement. Les activistes se sont moins concentrés sur le lien entre notre citoyenneté d'un pays démocratique comme les États-Unis et nos identifications au sein de différents groupes sociaux. Au contraire, les gens ont commencé à parler de leur identité personnelle, comme s'ils étaient des homoncules intérieurs, à base de race, de sexe et de genre. La fameuse question de Kennedy :[I] Que puis-je faire pour mon pays ?[/I], qui a inspiré la génération des sixties, est devenue inaudible. À la place, la question la plus importante aujourd'hui est : [I]Qu'est-ce que mon pays me doit du simple fait de la vertu de mon identité ? [/I] » [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités internationales
L'intolérance des tolérants
Haut