Slavanitch
la terre est plate
Salam
Selon la tradition orale des grands-mères algériennes, la zelabia viendrait de l'« Âge d'or » de l'Islam en Al-Andalus(Grenade). En effet, il s'agissait d'une demande d'un grand roi de l'époque (certainement le grand-père de Boabdil) aux plus grands chefs cuisiniers. Ce roi voulait un gâteau différent, riche et délicieux qui serait dégusté lors de la coupure du jeune pendant le Ramadan.
Les cuisiniers se mirent au travail, et lorsqu'ils finirent, fiers de leur nouvelle recette, ils s'empressèrent de faire goûter au Roi ce magnifique gâteau « sans nom ». Le coucher du soleil s'approchant, les cuisiniers ne voulant pas arriver en retard au palais royal pour la rupture du jeûn, se mirent à courir avec les plateaux de ce gâteau posés sur leurs têtes. Quand soudain, l'un d'eux glissa avec le plateau le plus garni, il se mit alors à crier « Ya rabi, zelabia, zelabia, zelabia... », pouvant approximativement signifier : « Ô mon Dieu, il (le plateau de gâteau) a chuté (ou : a glissé), il a chuté, il a chuté ». Ses accompagnateurs qui avaient encore leurs plateaux l'aidèrent à se relever et regagnèrent le palais royal où ils confièrent cette anecdote au roi. Le roi, conquis par la douceur et la délicatesse de ce gâteau, mais également pris par un grand fou-rire baptisa ce gâteau Zelabia.
Allah wa alam
que Dieu nous pardonne en ce mois sacré de ne pas avoir connaissance de l'origine d'un gâteau plus sucré et plus sacré que le ramadan lui même
Selon la tradition orale des grands-mères algériennes, la zelabia viendrait de l'« Âge d'or » de l'Islam en Al-Andalus(Grenade). En effet, il s'agissait d'une demande d'un grand roi de l'époque (certainement le grand-père de Boabdil) aux plus grands chefs cuisiniers. Ce roi voulait un gâteau différent, riche et délicieux qui serait dégusté lors de la coupure du jeune pendant le Ramadan.
Les cuisiniers se mirent au travail, et lorsqu'ils finirent, fiers de leur nouvelle recette, ils s'empressèrent de faire goûter au Roi ce magnifique gâteau « sans nom ». Le coucher du soleil s'approchant, les cuisiniers ne voulant pas arriver en retard au palais royal pour la rupture du jeûn, se mirent à courir avec les plateaux de ce gâteau posés sur leurs têtes. Quand soudain, l'un d'eux glissa avec le plateau le plus garni, il se mit alors à crier « Ya rabi, zelabia, zelabia, zelabia... », pouvant approximativement signifier : « Ô mon Dieu, il (le plateau de gâteau) a chuté (ou : a glissé), il a chuté, il a chuté ». Ses accompagnateurs qui avaient encore leurs plateaux l'aidèrent à se relever et regagnèrent le palais royal où ils confièrent cette anecdote au roi. Le roi, conquis par la douceur et la délicatesse de ce gâteau, mais également pris par un grand fou-rire baptisa ce gâteau Zelabia.
Allah wa alam
que Dieu nous pardonne en ce mois sacré de ne pas avoir connaissance de l'origine d'un gâteau plus sucré et plus sacré que le ramadan lui même