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Léon Poliakov a, dans son Histoire de l’antisémitisme, démoli les théories sionistes qui reposent sur la soi-disant
« diaspora » et sur le retour à la terre des prétendus ancêtres cananéens.
L'historien Paul Sebag, dans son Histoire des juifs de Tunisie (L’Harmattan, Paris, 1991), écrit :
« Dans l’Afrique romaine, comme dans les autres provinces de l’Empire romain, il y eut très tôt d’autres juifs que des juifs de souche, dont les ancêtres étaient venus de Judée à des dates diverses. Des hommes et des femmes de toutes races et de toutes conditions se sont convertis au judaïsme, qui fit preuve aux premiers siècles de l’ère chrétienne d’une grande force de pénétration. Lors de la conquête arabe de l’Afrique du Nord, une partie des Berbères professaient le judaïsme.Dans sa grande Histoire des Berbères, Ibn Khaldoun nous donne les noms des tribus berbères judaïsées »
Arthur Koestler a écrit en 1976 La Treizième Tribu où il relate l’histoire de ses ancêtres khazars :
« Le pays des Khazars, peuple d’ethnie turque, occupait une position stratégique entre la Caspienne et la mer Noire sur les grandes voies de passage où se confrontaient les grandes puissances orientales de l’époque. Cela voudrait dire que les ancêtres de ces juifs ne venaient pas des bords du Jourdain, mais des plaines de la Volga, non pas de Canaan, mais du Caucase, où l’on a vu le berceau de la race aryenne ; génétiquement, ils seraient apparentés aux Huns, aux Ouïgours, aux Magyars, plutôt qu’à la semence d’Abraham, d’Isaac ou de Jacob. »
Le politologue italien Loris Gallico a publié une longue étude intitulée (« Un peuple introuvable ») en 1984, où il écrit :
« Il n’est plus possible de contester le fait que la majeure partie des juifs de l’Europe centro-orientale ait comme origine la dispersion et le mélange des Khazars avec d’autres populations. »
Marc Ferro, avec Les Tabous de l’Histoire a consacré tout un chapitre sous le titre « Les Juifs sont-ils des sémites ? »
Des chercheurs, des historiens, des politologues qui ont invalidé les théories des sionistes, tels Alfred M. Lilienthal, Norton Mezvinsky et Maxime Rodinson.
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Léon Poliakov a, dans son Histoire de l’antisémitisme, démoli les théories sionistes qui reposent sur la soi-disant
« diaspora » et sur le retour à la terre des prétendus ancêtres cananéens.
L'historien Paul Sebag, dans son Histoire des juifs de Tunisie (L’Harmattan, Paris, 1991), écrit :
« Dans l’Afrique romaine, comme dans les autres provinces de l’Empire romain, il y eut très tôt d’autres juifs que des juifs de souche, dont les ancêtres étaient venus de Judée à des dates diverses. Des hommes et des femmes de toutes races et de toutes conditions se sont convertis au judaïsme, qui fit preuve aux premiers siècles de l’ère chrétienne d’une grande force de pénétration. Lors de la conquête arabe de l’Afrique du Nord, une partie des Berbères professaient le judaïsme.Dans sa grande Histoire des Berbères, Ibn Khaldoun nous donne les noms des tribus berbères judaïsées »
Arthur Koestler a écrit en 1976 La Treizième Tribu où il relate l’histoire de ses ancêtres khazars :
« Le pays des Khazars, peuple d’ethnie turque, occupait une position stratégique entre la Caspienne et la mer Noire sur les grandes voies de passage où se confrontaient les grandes puissances orientales de l’époque. Cela voudrait dire que les ancêtres de ces juifs ne venaient pas des bords du Jourdain, mais des plaines de la Volga, non pas de Canaan, mais du Caucase, où l’on a vu le berceau de la race aryenne ; génétiquement, ils seraient apparentés aux Huns, aux Ouïgours, aux Magyars, plutôt qu’à la semence d’Abraham, d’Isaac ou de Jacob. »
Le politologue italien Loris Gallico a publié une longue étude intitulée (« Un peuple introuvable ») en 1984, où il écrit :
« Il n’est plus possible de contester le fait que la majeure partie des juifs de l’Europe centro-orientale ait comme origine la dispersion et le mélange des Khazars avec d’autres populations. »
Marc Ferro, avec Les Tabous de l’Histoire a consacré tout un chapitre sous le titre « Les Juifs sont-ils des sémites ? »
Des chercheurs, des historiens, des politologues qui ont invalidé les théories des sionistes, tels Alfred M. Lilienthal, Norton Mezvinsky et Maxime Rodinson.
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