Selon le journal 'le Monde', l'Europe pourrait adopter une position plus souple à l'égard du Hamas qui est pourtant inscrit sur sa liste des organisations terroristes.
Paris serait à l'origine de cette initiative controversée. Elle estimerait qu'à la faveur du changement d'administration américaine, il faudrait mettre fin à l'ostracisme imposé au mouvement islamiste car cette politique n'était pas constructive.
Il faudrait au contraire pousser les différentes factions palestiniennes à former un gouvernement d'union qui servirait ensuite d'interlocuteur avec Israël et la communauté internationale.
Ce changement d'attitude européen devrait s'effectuer « en prenant soin de ne pas affaiblir Mahmoud Abbas » affirme un diplomate français.
Selon ce même responsable, « beaucoup de capitales ne veulent pas répéter la politique d'isolement du Hamas menée après sa victoire électorale car elle a été jugée contre-productive ».
Il remarque également un changement de vocabulaire chez Bernard Kouchner qui parle désormais "d'interlocuteur" tout en insistant sur la nécessité que le Hamas renonce à la violence.
Cependant, si la plupart des pays de la Méditerranée (à l'exception de l'Italie) sont favorables au projet français, les pays scandinaves y sont totalement opposés.
Une division qui devrait se ressentir lors de la réunions des ministres des Affaires étrangères de l'UE qui se réunissent ce 26 janvier pour débattre de la situation dans la Bande de Gaza.
Paris serait à l'origine de cette initiative controversée. Elle estimerait qu'à la faveur du changement d'administration américaine, il faudrait mettre fin à l'ostracisme imposé au mouvement islamiste car cette politique n'était pas constructive.
Il faudrait au contraire pousser les différentes factions palestiniennes à former un gouvernement d'union qui servirait ensuite d'interlocuteur avec Israël et la communauté internationale.
Ce changement d'attitude européen devrait s'effectuer « en prenant soin de ne pas affaiblir Mahmoud Abbas » affirme un diplomate français.
Selon ce même responsable, « beaucoup de capitales ne veulent pas répéter la politique d'isolement du Hamas menée après sa victoire électorale car elle a été jugée contre-productive ».
Il remarque également un changement de vocabulaire chez Bernard Kouchner qui parle désormais "d'interlocuteur" tout en insistant sur la nécessité que le Hamas renonce à la violence.
Cependant, si la plupart des pays de la Méditerranée (à l'exception de l'Italie) sont favorables au projet français, les pays scandinaves y sont totalement opposés.
Une division qui devrait se ressentir lors de la réunions des ministres des Affaires étrangères de l'UE qui se réunissent ce 26 janvier pour débattre de la situation dans la Bande de Gaza.