Introducution
En partant de deux axiomes chers aux athées, je vais démontrer que l'Univers a une origine dans le temps et une limite spatiale.
Axiome 1 : La matière existe depuis l'éternité.
Axiome 2 : L'homme est le fruit du pur hasard.
Sur base de ces deux axiomes je vais démontrer que l'Univers a une origine dans le temps et une limite spatiale.
Le paradoxe absolu
Si donc moi, Frelser, je suis le fruit du hasard, et si l'Univers est un univers probable, et qu'il existe de la matière depuis l'éternité... Si cet Univers est un univers qui existe, alors il faut en conclure les points suivants.
Point 1 : Si la matière existe depuis l'éternité, et que moi, Frelser je suis le fruit d'un hasard aveugle, il doit avoir existé depuis l'éternité une infinité de Frelser.
Point 2 : Il faut que ces Frelser soient en un nombre infini, étant donné que la matière existe depuis l'éternité.
Sur base de ces deux axiomes et de ces deux points, je vais donc faire une démonstration qu'au moins un des deux axiomes est FAUX.
Le lancer de dé pas très orthodoxe
A présent, je vais prendre un dé, et le lancer un nombre n de fois. En apparence, je lance le dé n fois, or, selon le point 2, il existe en fait une infinité de Frelser donc nous lançons en fait le dé un nombre n fois l'infini.
Conclusions
Je relève que la suite de lancers respecte deux critères :
Critère 1 : La suite est aléatoire.
Critère 2 : Les proportions pour chaque face se stabilisent autours de 1/6e.
OR, cela est ABSURDE si il existe une infinité de Frelser. En effet, si j'ai lancé le dé une infinité de fois, toute suite géométrique devrait avoir strictement la même probabilité d'apparaître. En sorte qu'obtenir une série qui respecte les deux critères se perde dans l'ensemble des suites obtenues par une infinité de lanceurs. Et cela serait d'autant plus pressant que je répète les lancers...
Ainsi, plus ma série sera longue, plus le respect des deux critères deviendra absurde. Par conséquent nous en concluons qu'il n'existe pas une infinité de Frelser. Ce qui revient à rejeter l'axiome 1, l'axiome 2 ou les deux... Notons que la démonstration vaut également pour un univers ayant une origine dans le temps, mais pas de frontière spatiale. Puisque dans un espace infini, il devra se former pareillement une infinité de Frelser. cqfd.
En partant de deux axiomes chers aux athées, je vais démontrer que l'Univers a une origine dans le temps et une limite spatiale.
Axiome 1 : La matière existe depuis l'éternité.
Axiome 2 : L'homme est le fruit du pur hasard.
Sur base de ces deux axiomes je vais démontrer que l'Univers a une origine dans le temps et une limite spatiale.
Le paradoxe absolu
Si donc moi, Frelser, je suis le fruit du hasard, et si l'Univers est un univers probable, et qu'il existe de la matière depuis l'éternité... Si cet Univers est un univers qui existe, alors il faut en conclure les points suivants.
Point 1 : Si la matière existe depuis l'éternité, et que moi, Frelser je suis le fruit d'un hasard aveugle, il doit avoir existé depuis l'éternité une infinité de Frelser.
Point 2 : Il faut que ces Frelser soient en un nombre infini, étant donné que la matière existe depuis l'éternité.
Sur base de ces deux axiomes et de ces deux points, je vais donc faire une démonstration qu'au moins un des deux axiomes est FAUX.
Le lancer de dé pas très orthodoxe
A présent, je vais prendre un dé, et le lancer un nombre n de fois. En apparence, je lance le dé n fois, or, selon le point 2, il existe en fait une infinité de Frelser donc nous lançons en fait le dé un nombre n fois l'infini.
Conclusions
Je relève que la suite de lancers respecte deux critères :
Critère 1 : La suite est aléatoire.
Critère 2 : Les proportions pour chaque face se stabilisent autours de 1/6e.
OR, cela est ABSURDE si il existe une infinité de Frelser. En effet, si j'ai lancé le dé une infinité de fois, toute suite géométrique devrait avoir strictement la même probabilité d'apparaître. En sorte qu'obtenir une série qui respecte les deux critères se perde dans l'ensemble des suites obtenues par une infinité de lanceurs. Et cela serait d'autant plus pressant que je répète les lancers...
Ainsi, plus ma série sera longue, plus le respect des deux critères deviendra absurde. Par conséquent nous en concluons qu'il n'existe pas une infinité de Frelser. Ce qui revient à rejeter l'axiome 1, l'axiome 2 ou les deux... Notons que la démonstration vaut également pour un univers ayant une origine dans le temps, mais pas de frontière spatiale. Puisque dans un espace infini, il devra se former pareillement une infinité de Frelser. cqfd.