Lycée musulman Averroès de Lille : fin de la subvention de l'Etat

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Le préfet du Nord a résilié le contrat liant le lycée privé musulman Averroès de Lille à l'État depuis 2008. L'établissement saisira-t-il la justice administrative ?
Sale temps pour le lycée privé musulman Averroès de Lille (800 élèves, dont 400 sous contrat). Longtemps redoutée, la résiliation du contrat d'association liant l'établissement créé en 2003 à l'État est actée le 7 décembre. En conséquence, plus de subvention à accorder à l'un des deux seuls lycées musulmans sous contrat en (...)

- France / Education, Lille, Droits et Justice

Lycée musulman Averroès de Lille : fin de la subvention de l'Etat
 
Le Lycée devrait lancer une cagnotte.

Les dirigeants actuels sous cokaine préfèrent subventionner la délinquance et les violeurs, pas une semaine sans qu'on ait un politicien ou people accusé de viol.
 

Éducation et enseignement supérieur Enquête

Lycée musulman Averroès : comment la préfecture a tronqué son rapport

Mediapart relève de très nombreuses erreurs et même plusieurs étranges omissions dans le document qui a servi à résilier le contrat entre l’établissement lillois et l’État.

Le rapport, repris partout dans la presse, est accablant : le lycée privé musulman Averroès, sous contrat avec l’État depuis 2008, aurait tout d’un établissement « séparatiste », aux financements douteux et aux enseignements problématiques. Sur la base de ce document de douze pages, Georges-François Leclerc, préfet du Nord et des Hauts-de-France, a décidé de résilier le contrat d’association qui liait l’établissement confessionnel musulman à l’État.

Si la justice valide cette décision, ce lycée situé à Lille (Nord), qui compte 52 % d’élèves boursiers, va perdre près de 500 000 euros de subventions annuelles dès la rentrée. L’arrêté met aussi un terme à la rémunération des enseignant·es par le ministère. La plupart devront être muté·es ailleurs ou démissionner de l’Éducation nationale dès janvier prochain.

En épluchant attentivement ce document préfectoral, Mediapart relève pourtant de très nombreuses erreurs et même plusieurs étranges omissions de la part du préfet des Hauts-de-France, qui n’a pas souhaité donné suite à nos sollicitations.

Un rapport élogieux de l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche (IGÉSR), rendu en juin 2020, a été passé sous silence. Plusieurs autres rapports du rectorat ont été tronqués et une partie des accusations visant le lycée sous contrat concernent en réalité le collège Averroès, établissement qui, lui, est hors contrat.
 
Sur le volet pédagogique d’abord, le rapport préfectoral débute par une remise en cause du cours d’éthique musulmane dispensé au collège, alors que le document est supposé ne viser que le lycée. Pour critiquer ces enseignements dont les contenus seraient « salafistes », le préfet s’appuie sur un « auteur », Mohamed Louizi, en citant l’un de ses « articles de blog ». Mais le préfet omet de préciser que cet homme n’a aucun lien avec Averroès, qu’il n’a jamais été intervenant dans l’établissement, ni membre de l’équipe éducative ou élève, et n’a jamais assisté au cours en question.

Mohamed Louizi est un essayiste qui milite depuis des années contre ce lycée musulman et écrit des textes parfois publiés dans des médias d’extrême droite, à l’instar de Causeur. Sur son blog, cité justement par le préfet, on peut ainsi lire un appel à voter Marine Le Pen ou des articles aux accents complotistes. « Macron II fera de la France ce que le FIS (le Front islamique du salut) a fait de l’Algérie », écrit-il par exemple lors de la dernière campagne présidentielle.

Le préfet utilise également un rapport de la chambre régionale des comptes (CRC) publié en 2023 pour dénoncer les cours d’éthique musulmane dispensés au lycée. Ces derniers s’appuieraient sur un ouvrage faisant la promotion d’idées en totale contradiction avec les valeurs républicaines : l’interdiction pour les femmes d’être auscultées par un homme ou la peine de mort pour les musulmans qui ne feraient pas leur prière y seraient vantées.

Or si le rapport de la CRC évoque bien la trace de cet ouvrage problématique, il ne confirme pas que ces passages sont enseignés aux élèves et n’évoque pas le contenu du cours. L’établissement lui dément catégoriquement l’accusation. « Ce livre était mentionné dans une bibliographie ancienne mais n’était ni enseigné ni disponible dans l’établissement », affirme le proviseur Éric Dufour à Mediapart.

« Le président de l’association, dans sa réponse aux observations provisoires de la chambre, s’est déclaré en franche opposition avec une telle analyse. Il indique que les commentaires des hadiths cités dans le rapport ne font pas partie de ceux étudiés lors des cours d’éthique musulmane », peut-on aussi lire dans ce même rapport de la CRC.

Dans son rapport, le préfet des Hauts-de-France pointe également l’enseignant chargé du cours d’éthique et cite, non pas des discours tenus devant des élèves, mais des écrits de son blog publiés en 2015 dans la foulée des attentats terroristes contre Charlie Hebdo laissant penser qu’il les cautionnait. « Si l’humour de Charlie Hebdo ne me fait pas rire, il ne faut pas m’en tenir rigueur, car je ne souris qu’à la beauté », rapporte notamment le préfet en citant son blog.

Il oublie toutefois de préciser que dans ce même billet, l’enseignant en question avait clairement condamné l’attentat. « Bien entendu, je me suis profondément indigné devant le crime porté contre Charlie Hebdo. Non pas en tant que musulman ou citoyen français, mais, tout simplement, en tant que membre du corps de l’humanité », écrivait-il. Cet enseignant ne donne par ailleurs plus cours dans cet établissement depuis dix-huit mois.

Un deuxième agent mis en cause par le préfet pour des propos tenus dans « un cadre privé » a, lui, été suspendu il y a six mois et ne fait plus partie des effectifs du lycée.


Deux autres documents officiels contredisent la version préfectorale. Un rapport d’inspection du collège réalisé en 2023 évoque ainsi ces cours d’éthique musulmane sans émettre la moindre alerte. Y étaient abordés, selon les inspecteurs, des thèmes variés comme « le divorce », « les familles recomposées » ou « monoparentales », et la préparation des exposés entre élèves pouvait être mixte. Lycée Avéroes.png
 
La préfecture évoque d’ailleurs « des contrôles de l’Éducation nationale aux résultats troublants ». Elle cite notamment le fait qu’une inspection de mars 2021 visant le collège aurait constaté un affichage de productions « comportant des propos complotistes et contraires aux valeurs de la République ».

Mais, selon les informations de Mediapart, la préfecture a ignoré tout un paragraphe louant la qualité du travail affiché sur les murs de l’établissement pour faire de trois cas problématiques une généralité. Le rapport, consulté par Mediapart, précise au contraire que « l’affichage dans les locaux communs de l’établissement », réalisé lors de la semaine de la presse, expose de nombreuses productions d’élèves « qui témoignent d’une confrontation entre convictions, pratiques religieuses et valeurs de la République ».

Les inspecteurs demandaient simplement que les trois affiches problématiques soient retirées et que l’affichage d’une production s’accompagne « d’une validation de leur contenu par les adultes ». « La visibilité des symboles républicains et l’intégration au discours des adultes de références civiques claires constituent cependant un point positif », précisait le paragraphe suivant, également omis par l’autorité.

Toujours selon la préfecture, un rapport d’inspection de 2023 aurait indiqué à propos de matières scientifiques que « les enseignants sont en difficulté pour traduire la programmation en contenus d’enseignement répondant aux enjeux de formation scientifique des élèves (...) les formulations employées à l’oral et reprises dans les traces écrites des élèves, l’emploi du conditionnel, amènent à une relativité des faits scientifiques en sciences de la vie et de la Terre, notamment de l’évolution ».

Là encore, le préfet tronque le rapport en oubliant de citer plusieurs phrases : « L’ensemble des contenus est abordé, en s’appuyant parfois sur les référentiels, les ressources institutionnelles (sites académiques, Éduscol, manuel scolaires…) », est-il précisé à la place des « (...) » utilisés par la préfecture. Sur la même page, les inspecteurs indiquent que dans « l’ensemble des trois disciplines scientifiques, des programmations sont produites, appuyées sur les programmes officiels ».

La préfet cible aussi le CDI de l’établissement (la bibliothèque), qui serait incomplet, avec « une absence de ressources en culture », « orientations sexuelles », « relations entre les sexes », « homosexualité », « avortement », « laïcité », et qui ne disposerait d’aucun ouvrage sur d’autres religions que l’islam. Il en veut pour preuve une inspection menée en 2022.

Ce que ne dit pas le préfet, c’est que dans leur rapport, les inspecteurs en question ont précisé n’être pas parvenus à effectuer une recherche numérique pour recenser les ouvrages à cause d’un problème de logiciel. Ils ont donc effectué une recherche physique possiblement imparfaite.

Selon la direction du lycée, catalogues du CDI à l’appui, on trouverait notamment, « 74 ressources, dont 11 livres et 45 périodiques, sur la laïcité », et « 28 livres traitant d’autres religions ». Il y aurait aussi « 45 ressources dont 41 en format papier sur l’homosexualité » et « 32 ressources dont 25 en format papier sur l’avortement ». Le taux de réussite exceptionnel au bac (100 % en 2021 toutes filières confondues) « prouverait que tout est bien enseigné », insiste par ailleurs Éric Dufour, le proviseur.
Lycée avéroes2.png

Deux autres inspections, qui ont eu lieu en mars 2021 et en janvier 2023, contredisent les éléments du préfet en jugeant le CDI « bien organisé » mais ne sont jamais citées. « Il offre l’occasion aux élèves d’accéder à tous types d’ouvrages dans les différents champs de la culture. [...] Le fond documentaire témoigne d’un pluralisme culturel. Les publications relatives aux domaines des sciences et des arts ainsi que les abonnements à un périodique sont nombreux », écrivaient les deux inspecteurs en janvier dernier.

La préfecture affirme aussi que le CDI propose des ouvrages de Hassan Iquioussen, imam « éloigné du territoire national en janvier 2023 ». Elle aurait en réalité confondu avec un ouvrage de son fils Othmane Iquioussen (par ailleurs lui aussi dans le viseur des autorités) et du catholique Christian Defebvre intitulé La paix soit avec toi - Salam Alaykum - Oui les religions sont faites pour réunir !.

Lors d’une conférence de presse tenue mercredi à Paris, l’avocat lillois de l’établissement, Me Jablonski, a formellement démenti la présence de l’imam Iquioussen en tant qu’enseignant et précisé qu’il n’avait pas eu de lien avec le lycée. Ce n’est toutefois pas exact. En 2015, Mediapart révélait que l’imam assurait le cours d’éthique musulmane entre 2008 et 2009, avant de cesser sa collaboration. Les inspections ultérieures ne mentionnent effectivement plus la présence de cet imam après cette date.
 
Sur le volet financier ensuite, le préfet estime dans son rapport que des « sources de financement » du lycée « posent question ». « Alors que l’association Averroès revendique sa souveraineté et se défend de tout financement étranger, elle faisait l’objet d’une polémique suite à la parution du livre Qatar Papers de Christian Chesnot et Georges Malbrunot en mai 2019 », relève le rapport préfectoral. À l’époque, les journalistes révèlent qu’Averroès aurait touché trois millions d’euros de l’ONG Qatar Charity.

En réalité, l’association Averroès a bénéficié entre 2011 et 2015 de dons de l’ONG Qatar Charity pour un montant total de 943 445 euros. Mais ces dons étaient connus, et singulièrement de la région Hauts-de-France, qui a prétexté les ignorer en gelant ses subventions en 2019.

Le rapport de l’IGÉSR, passé sous silence par le préfet et consulté par Mediapart, le mentionnait clairement en juin 2020 : « La situation se résume donc en un don fait par une ONG, internationalement reconnue, à un établissement d’enseignement. Cette pratique est légale à condition qu’elle ne soit pas subordonnée à la mise en œuvre de conditions qui seraient contraires aux valeurs de la République [...]. [C]e don n’a été assorti d’aucune condition. La région des Hauts-de-France en est par principe informée. »



Si aujourd’hui le président de la région Xavier Bertrand affirme qu’il ignorait ces dons, des procès-verbaux d’assemblée générale consultés par Mediapart montrent que son vice-président, Nicolas Lebas, siégeait régulièrement au conseil d’administration quand ces dons étaient discutés.

Dans son rapport d’ailleurs, jamais le préfet ne cite le passage de la chambre régionale des comptes qui dément les informations du livre Qatar Papers : « À compter de l’exercice 2015-2016, les fonds en provenance de l’étranger sont devenus résiduels, puis nuls. Au total, l’association aura bénéficié de 1,9 million d’euros de dons provenant de l’étranger. »



« À cet égard, rappelons que l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne a reçu la somme de 600 000 euros en 2015, 600 000 euros en 2016, et de 600 000 euros en 2017 de la part du Qatar », ajoute le chef d’établissement.

Selon Le Canard enchaîné enfin, l’établissement est mis en cause pour avoir établi un fichier illégal recensant douze fonctionnaires ayant effectué une inspection en 2021. Là encore, le lycée dément formellement. En 2021, un courriel le prévenait d’une inspection et de la venue de ces inspecteurs. Le directeur aurait alors pris les photos de ces agents, disponibles sur le site du rectorat, « afin de pouvoir les reconnaître et les saluer ». « Aucune autre information personnelle n’a figuré sur ce document, précise Éric Dufour. C’était un trombinoscope. »

Un rapport sur l’inspection qui a eu lieu en 2022 semble accréditer cette version. Dans ce document obtenu par Mediapart, les agents n’émettent aucune alerte sur ce fichier et précisent simplement : « Le responsable adjoint nous informe du contrôle de l’établissement qui a eu lieu en mars 2021 au titre des établissements privés hors contrat, il nous montre le rapport associé à un trombinoscope avec l’ensemble des inspecteurs ayant réalisé ce travail. »
 
De toutes les accusations, la direction de l’établissement en reconnaît une. Deux inspecteurs académiques se sont vu opposer un refus d’entrer de la part du directeur de l’établissement le 27 juin 2020. Mais dans sa réponse au préfet, la direction nuance : « Monsieur O, qui avait d’ores et déjà été inspecté sur le CDI dans les mois qui précédaient, et venait d’en terminer avec deux inspections de la DRFIP, était en cours d’inspection par la CRC. Il s’est immédiatement excusé de son comportement, résultant de la pression psychologique subie du fait de l’accumulation des contrôles et inspections, auprès de l’inspection académique. » Le directeur qui a refusé cette inspection aurait d’ailleurs été immédiatement démis de ses fonctions.

La participation au concours national de la Résistance et les actions menées avec le ministère des armées ou encore la police nationale sont des signes d’intégration au tissu national.



Le rapport de la chambre régionale des comptes, largement cité par le préfet, émet de nombreuses critiques sur la gestion financière de l’établissement mais la synthèse est bien moins alarmiste que ne le laisse penser la préfecture sur son contenu pédagogique. Elle souligne notamment une « gestion du groupe scolaire bien structurée », « la réussite académique du projet de l’association », et livre plusieurs recommandations.

Le rapport de l’IGÉSR, jamais cité par le préfet, était quant à lui clairement élogieux. « Le projet éducatif du lycée Averroès est le seul dans le paysage éducatif français à allier une conception musulmane de l’éducation à l’enseignement des valeurs républicaines », peut-on lire. Ce contrôle avait été lancé sous Jean-Michel Blanquer et mené simultanément, à compter du 20 janvier 2020, par des inspecteurs généraux et, pour ce qui est du contrôle financier, par deux responsables de la mission d’audit de la DRFIP. À la lecture de la dizaine de rapports obtenus par Mediapart, rien ne permet de penser que des contenus contraires aux valeurs républicaines sont enseignés aux lycéen·nes.

C’est même le contraire, selon les conclusions de 2020 : « La multitude des projets et des ateliers est éloquente par rapport au nombre d’enseignants présents ; des personnalités, comme M. Benjamin Stora ou Mme Askolovitch par exemple, ont ainsi été invitées à témoigner dans l’établissement pour parler de la guerre d’Algérie ou pour évoquer la Shoah et les camps de concentration. Enfin, la participation au concours national de la Résistance et les actions menées avec le ministère des armées ou encore la police nationale sont des signes d’intégration au tissu national. »

David Perrotin
 
Le Lycée devrait lancer une cagnotte.

Les dirigeants actuels sous cokaine préfèrent subventionner la délinquance et les violeurs, pas une semaine sans qu'on ait un politicien ou people accusé de viol.

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Et surtout finance les integristes de la secte Loubavitch qui considèrent les gots comme des bêtes a 2 pattes.
Comme les créches et autres qui sont exclusives.


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Les goys.

Tu ne connais pas la secte loubavitch qui

impose son communautarisme jusqu'aux

fêtes religieuses qui imposent d'allumer des

bougies à l'Elysée entre autres ?
.
Bis repetitae (soyez clair, s'il vous plait) :

C'est quoi "la secte Loubavitch" ?

C'est quoi "les gots" ?

On ne comprend pas trop ce que vous voulez signifier.
 
La France pouvait s'enorguellir de son modèle laïque ( peut-être à raison ) , mais aujourd'hui il n'est plus ...
L’extrême centre au pouvoir depuis 7 ans a mis en place un double standard dans l'enseignement privée , tout en affaiblissant l'enseignement publique .
Il a fait voter une loi anti-séparatisme , mais en même temps il privilégie et protège l'enseignement catholique privée tout en brimant l'enseignement musulman.

Le rapport sur Stanislas caché par les ministres
16 janvier 2024

Depuis août, le ministère de l’éducation refuse de rendre publique l’enquête administrative visant l’établissement privé catholique où sont scolarisés les enfants de la ministre Oudéa-Castéra.
Discours homophobes, sexisme, humiliations… : le rapport demande à Stanislas de se mettre en conformité avec la loi.


Ce rapport de trente pages montre que l’établissement, qui compte des classes de maternelle, primaire, collège, lycée et classes préparatoires, ne respecte pas la loi en obligeant tous ses élèves à suivre une heure hebdomadaire de catéchèse (l’enseignement de la religion catholique), de la maternelle aux classes prépa. Dans ces cours, des intervenant·es tiennent des propos homophobes, anti-avortement, font la promotion des thérapies de conversion et demandent à « pardonner aux violeurs ».

Ainsi, tous les élèves sont contraints de se rendre à la chapelle de l’établissement pour les temps consacrés à la confession. Le rapport révèle aussi de graves dérives lors de l’heure de catéchèse. « Certains catéchistes expriment des convictions personnelles qui outrepassent les positions de l’Église catholique, par exemple sur l’IVG en tenant des propos remettant en cause la loi, ou susceptibles d’être qualifiés pénalement sur l’homosexualité », peut-on lire.
 
Le Lycée devrait lancer une cagnotte.

Les dirigeants actuels sous cokaine préfèrent subventionner la délinquance et les violeurs, pas une semaine sans qu'on ait un politicien ou people accusé de viol.

Si tu comptes sur les Musulmans maghrébins de France pour payer c’est que t’es mal renseignée. Ils préfèrent construire leur baraque au bled que payer pour l’école arabo musulmane. A la mosquée, un turc donne 500€. Un marocain donne 5€ en petites pièces mdr.

++
 
La fermeture du lycée Averroès est clairement une décision politique et islamophobie. Si ce lycée perd son contrat, normalement il y a les 1/3 des établissements privés catholiques qui perdent également le leurs.
Qu'est ce qui justifie la différence de traitement entre Stanislas et Averroès. Juste le principe de non-mixité c'est une dinguerie. Et les mêmes qui depuis 10 ans nous accusent de séparatisme et de communautarisme, trouvent de bonnes raisons pour défendre le privé catholique.
Tfou
 
Lycée Averroès à Lille : la justice confirme l’arrêt des subventions, une «décision inacceptable» pour la direction

Le tribunal administratif a décidé ce lundi de confirmer la résiliation du contrat liant l’Etat au lycée musulman Averroès de Lille, qui a annoncé sa volonté de saisir le Conseil d’Etat.
https://www.liberation.fr/societe/r...irection-20240212_AOXJS4HUYNEM7K6TQPHEVR7XBY/



Et donc comme nous sommes dans une république une et indivisible et que la loi s'applique à tous de la même façon , il ne fait pas de doute que Stanislas va être déconventionné aussi
 
Et donc comme nous sommes dans une république une et indivisible et que la loi s'applique à tous de la même façon , il ne fait pas de doute que Stanislas va être déconventionné aussi
La question mérite en effet d'être posée.
Mais passer hors contrat a pour effet d'augmenter le coût des études et donc de les réserver de fait à la classe sociale supérieure, tout en donnant aux établissements une liberté quasi totale dans le contenu de l'enseignement.
 
Mais passer hors contrat a pour effet d'augmenter le coût des études et donc de les réserver de fait à la classe sociale supérieure, tout en donnant aux établissements une liberté quasi totale dans le contenu de l'enseignement.

Au lycée Averroès il y a 50% de boursiers avec une réussite au bac de presque 100%
A Stanislas le tri est déjà fait et le respect du contenu des enseignements est déjà bien plus contourné qu' à Averroès ...

Donc le déconventionnement subit par Averroès abouti donc bien à ce que tu dénonces , alors que le maintiens de Stanislas sous contrat n'implique pas la mixité sociale ...

Le gouvernement d’extrême centre de Macron fait des lois genre "séparatisme " mais mène une politique qui va à l'inverse de ce qu'il prétend combattre .
 
Qu'ils assument leur islamophobie de plus en plus décomplexée. Le problème c'est qu'ils ne pourront plus donner des leçons de morale aux autres pays les plus dictatoriaux.
De toute façon, tout le monde se moque de la France (gouvernements) et de leur duplicité concernant le separatisme qu'elle favorise de plus en plus alors qu'elle dit le combattre...

Ça fait bien longtemps que la France n'est plus prise au sérieux...
 
Dernière édition:
Voilà voilà voilà ....

Sport et politique
Le Sénat a noué un partenariat avec le collège Stanislas pour pouvoir aller à la piscine et jouer au foot




Le très élitiste et conservateur établissement catholique, au centre d’une forte polémique ces dernières semaines, met à disposition sa piscine et son gymnase pour que les membres de la Chambre haute puissent se défouler.

Un petit kilomètre sépare le Sénat du collège Stanislas, largement médiatisé par la polémique qu’a déclenchée l’ex-ministre de l’Education Amélie Oudéa-Castéra, qui a scolarisé ses enfants dans cet établissement privé catholique parmi les plus élitistes de Paris. Il suffit donc aux sénateurs de marcher quinze minutes pour aller se défouler dans l’enceinte de cette institution. L’association sportive et culturelle du personnel du Sénat, destinée à «développer la pratique d’activités sportives et culturelles» au palais du Luxembourg, a noué un partenariat avec l’école depuis environ deux ans. Celle-ci met à disposition sa piscine et son gymnase. Selon un document que Libération a pu consulter, les sénateurs peuvent aller faire de la «natation libre» du lundi au jeudi pendant environ une heure par jour et jouer au foot le mercredi soir.
«Il a été décidé de trouver un lieu plus proche»

Les élus et leurs collaborateurs disposent d’une salle de sport au Sénat mais l’association a dû trouver un gymnase à l’extérieur. «Pendant un moment, on allait dans les “Five” [salles de foot à cinq, ndlr] à Aubervilliers mais il a été décidé de trouver un lieu plus proche», explique le jeune socialiste Rémi Cardon, l’un des rares sénateurs à jouer au foot, le reste des participants étant principalement des collaborateurs. Contactée, la présidence du Sénat n’a pas répondu.

 
Qu'ils assument leur islamophobie de plus en plus décomplexée. Le problème c'est qu'ils ne pourront plus donner des leçons de morale aux autres pays les plus dictatoriaux.
De toute façon, tout le monde se moque de la France (gouvernements) et de leur duplicité concernant le separatisme qu'elle favorise de plus en plus alors qu'elle dit le combattre...

Ça fait bien longtemps que la France n'est plus prise au sérieux...

L'idéal serait de déménager, aller vivre à la Frontière Suisse ou du Luxembourg.. comme j'aimerai.
 
C'est cette dictature de la république qu'il faut combattre. Cette religion lugubre qui ne s'assume pas.
Je pensais que l'état était neutre et que les citoyens etaient libres de leur conviction. Et bien non, ceux qui croient en un Dieu créateur de toute chose, doivent le mettre en dessous de la Marianne.
Quelle arnaque cette histoire de valeurs républicaines... depuis quand l'état doit nous imposer ses valeurs. Où c'est écrit dans la constitution qu'on est obligé d'adhérer aux valeurs républicaines ?
On est loin de la neutralité promise par la fourbe laïcité, elle s'est carement façonnée une religion quelle est en train de nous imposer sournoisement.
Et ça pu le soufre comme dirait Feu Chavez...
 
Si tu comptes sur les Musulmans maghrébins de France pour payer c’est que t’es mal renseignée. Ils préfèrent construire leur baraque au bled que payer pour l’école arabo musulmane. A la mosquée, un turc donne 500€. Un marocain donne 5€ en petites pièces mdr.

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comme tu dois pas trop fréquenter les mosquées, je présume qu'il faut pas trop tenir compte de ce que tu dis
 
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