M20 un an déjà!

looooooool

tu m'as tuée de rire..j'ai vu la belle carte postale à la sortie du match, enfin près de 2h après et ils étaient encore là quand même devant le stade, j'ai tout simplement halluciné :oh:

c'étaient les supporters des ...FAR qui ont commis beaucoup de dégats sur les bd bir anzarane et ghandi (caillassage des voitures garées et des commerces ) !
 
c'étaient les supporters des ...FAR qui ont commis beaucoup de dégats sur les bd bir anzarane et ghandi (caillassage des voitures garées et des commerces ) !
je roulais en 1ère derrière stafette dial lboulice, et escorté par la file des supporters entourés par les flics de tout genre et motards, jamais je n'avais vu cela, jamais :confus:
 
c'étaient les supporters des ...FAR qui ont commis beaucoup de dégats sur les bd bir anzarane et ghandi (caillassage des voitures garées et des commerces ) !
On les appelle Firane, c'est ça?

Cette manie tiers-mondiste d'animaliser les équipes: Les lions, les fennecs, les aigles, lfirane, jrad, histoires du cœur...
 
ce mouvement au moins ses leaders ne s interessent pas aux libertes ou aux reformes constitutionnelles ... mais ils veulent renverser la monarchie pour s emparer du pouvoir et imposer leur ideologie
tu crois vraiment que Adl wa ihssan qui est la plus grande composante du m20f veut des libertes ou des reformes constitutionnelles ??!

-------------------------------------------------------------------------- point de vue de : http://www.emarrakech.info/20-fevrier-Le-premier-anniversaire_a60075.html

(il a l'air d'accord avec toi ):)

20 février : Le premier anniversaire


Hier, dimanche 19 février, manifestaient les militants du mouvement 20 février, célébrant le premier anniversaire du lancement des sorties revendicatives, qui ont redéfinit à leurs mesures ; le paysage politique national.

e mouvement 20 février, mouvance de jeunes, né dans le sillage du printemps arabe, a fêté son premier anniversaire hier, par des marches dans la plupart des grandes villes du royaume.

Les manifestants, un millier dans tout le pays, selon le ministère de l’intérieur, ont repris leurs slogans habituels, revendiquant la chute de l’absolutisme, de la corruption et la mise en place de conditions de vies plus décentes pour les citoyens et bien entendu l’instauration d’un régime monarchique parlementaire moniste.

Réduit incontestablement à cause du retrait de la mouvance islamiste 'justice et bienfaisance', pour des raisons de luttes intestines, le mouvement hétéroclite dés sa naissance, coalisant activistes gauchistes, étudiants, travailleurs et chômeurs, a perdu la bataille du nombre, ceci n’empêche, que son rôle dans la revitalisation du champ politique national n’est pas marginal.

Non satisfait par les réformes initiées par le souverain, dés son discours du 9 mars, le mouvement persiste à décliner les offres de dialogues, que lui sont adressées, notamment par le gouvernement de Abdelilah Benkirane, issu de législatives que le mouvement avait appelé à boycotter.

Le long d’une année d’existence, le mouvement a certainement contribué au brisement de tabous politiques au sein de la société, mais a également péché par manque de clarté de ligne politique, dû au fait qu’il soit tiraillé entre des extrêmes, de gauches et de droites aux discours parfois nihilistes, et un corps principale hétérogène plus intéressé par des objectifs factionnels.
 
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(il a l'air d'accord avec toi ):)

20 février : Le premier anniversaire


Hier, dimanche 19 février, manifestaient les militants du mouvement 20 février, célébrant le premier anniversaire du lancement des sorties revendicatives, qui ont redéfinit à leurs mesures ; le paysage politique national.

e mouvement 20 février, mouvance de jeunes, né dans le sillage du printemps arabe, a fêté son premier anniversaire hier, par des marches dans la plupart des grandes villes du royaume.

Les manifestants, un millier dans tout le pays, selon le ministère de l’intérieur, ont repris leurs slogans habituels, revendiquant la chute de l’absolutisme, de la corruption et la mise en place de conditions de vies plus décentes pour les citoyens et bien entendu l’instauration d’un régime monarchique parlementaire moniste.

Réduit incontestablement à cause du retrait de la mouvance islamiste 'justice et bienfaisance', pour des raisons de luttes intestines, le mouvement hétéroclite dés sa naissance, coalisant activistes gauchistes, étudiants, travailleurs et chômeurs, a perdu la bataille du nombre, ceci n’empêche, que son rôle dans la revitalisation du champ politique national n’est pas marginal.

Non satisfait par les réformes initiées par le souverain, dés son discours du 9 mars, le mouvement persiste à décliner les offres de dialogues, que lui sont adressées, notamment par le gouvernement de Abdelilah Benkirane, issu de législatives que le mouvement avait appelé à boycotter.

Le long d’une année d’existence, le mouvement a certainement contribué au brisement de tabous politiques au sein de la société, mais a également péché par manque de clarté de ligne politique, dû au fait qu’il soit tiraillé entre des extrêmes, de gauches et de droites aux discours parfois nihilistes, et un corps principale hétérogène plus intéressé par des objectifs factionnels.
j'aime bien cette partie, elle est tellement vraie :cool:

dû au fait qu’il soit tiraillé entre des extrêmes, de gauches et de droites aux discours parfois nihilistes, et un corps principale hétérogène plus intéressé par des objectifs factionnels.

ps : sbah el khir
 
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(il a l'air d'accord avec toi ):)

20 février : Le premier anniversaire


Hier, dimanche 19 février, manifestaient les militants du mouvement 20 février, célébrant le premier anniversaire du lancement des sorties revendicatives, qui ont redéfinit à leurs mesures ; le paysage politique national.

e mouvement 20 février, mouvance de jeunes, né dans le sillage du printemps arabe, a fêté son premier anniversaire hier, par des marches dans la plupart des grandes villes du royaume.

Les manifestants, un millier dans tout le pays, selon le ministère de l’intérieur, ont repris leurs slogans habituels, revendiquant la chute de l’absolutisme, de la corruption et la mise en place de conditions de vies plus décentes pour les citoyens et bien entendu l’instauration d’un régime monarchique parlementaire moniste.

Réduit incontestablement à cause du retrait de la mouvance islamiste 'justice et bienfaisance', pour des raisons de luttes intestines, le mouvement hétéroclite dés sa naissance, coalisant activistes gauchistes, étudiants, travailleurs et chômeurs, a perdu la bataille du nombre, ceci n’empêche, que son rôle dans la revitalisation du champ politique national n’est pas marginal.

Non satisfait par les réformes initiées par le souverain, dés son discours du 9 mars, le mouvement persiste à décliner les offres de dialogues, que lui sont adressées, notamment par le gouvernement de Abdelilah Benkirane, issu de législatives que le mouvement avait appelé à boycotter.

Le long d’une année d’existence, le mouvement a certainement contribué au brisement de tabous politiques au sein de la société, mais a également péché par manque de clarté de ligne politique, dû au fait qu’il soit tiraillé entre des extrêmes, de gauches et de droites aux discours parfois nihilistes, et un corps principale hétérogène plus intéressé par des objectifs factionnels.

et voila la reponse du mouvement 20 fevrier a l invitation au dialogue de Mr Benkiran chef du gouvernement : la pendaison !

http://hespress.com/politique/48002.html
 

Le M20 souffle sa première bougie : Le temps des interrogations


Le M20 souffle sa première bougie : Le temps des interrogations
Le Mouvement du 20 février (M20) célèbre avant date son premier anniversaire. Des centaines d’appels à manifester ont été lancés à Casablanca, Rabat, Fkih Ben Saleh, Tanger, Essaouira, Chefchaouen, Oujda, Khémisset, Kénitra, Agadir, El Hoceima, Safi et Fès. Au programme : des débats, des concerts de musique, des marches et des sit-in pour marquer le premier anniversaire d’une vague de contestations populaires entamée au début de l'année 2011 et qui revendique davantage de liberté, de démocratie, d'égalité sociale en sus du respect des droits de l'Homme.
Pourtant, pour les militants du M20, cet anniversaire est plus qu’une commémoration. Il donne également l’occasion pour dresser le bilan d’une année faste en événements.
Malgré sa jeunesse, le Mouvement ne cesse de susciter des interrogations et des critiques sur ses objectifs, son mode de fonctionnement et ses perspectives d’avenir.
Pour Wahid Abou Amine, membre du M20-Casablanca, la célébration de ce premier anniversaire doit être l’occasion d’initier une pause de réflexion et d’autocritique des idées et des revendications qui ont été portées par le Mouvement tout au long de cette année.
Selon lui, le M20 est dans une situation critique. Il estime, à cet égard, qu’il a perdu de son aura et de son capital de confiance. A preuve, la baisse du nombre de marches et de participants aux manifestations organisées par le Mouvement.
M. Abou Amine explique cette situation par le fait que le M20 a dévié de ses objectifs inscrits dans sa plateforme de création et qu’il s’est transformé en arène pour des règlements de comptes.
Notre source accuse certaines parties de surfer sur la vague contestataire et d’essayer de monopoliser le pouvoir de décision au sein du Mouvement.
Même son de cloche du côté de Mohamed Hachem, également membre du M 20-Casablanca qui pense que le Mouvement a beaucoup souffert des interventions des islamistes, des militants amazighs et des indépendants qui ont voulu imposer leur diktat.
Pour sa part, Salaheddine Lemaizi, membre du M20 –Casablanca lui aussi, estime qu’une année après sa naissance, le Mouvement a pu s’imposer comme une grande force d'opposition malgré des tentatives de récupération.
Selon lui, les invitations reçues des ambassades étrangères, de la Commission Mennouni, du gouvernement Benkirane et d’autres instances officielles n'ont pas reçu d'échos positifs. Il estime que le M20 est d’abord un mouvement de rue et de mobilisation pour des revendications stratégiques: la fin du despotisme et du népotisme, la reddition des comptes, la supervision et le contrôle des services de sécurité, l'emploi décent, des services publics de qualité, etc. « Pour résumer, le M20 est le porte-drapeau d'un slogan phare: Achaâb yourid (Le peuple veut) », a-t-il précisé.

http://www.libe.ma/Le-M20-souffle-sa-premiere-bougie-Le-temps-des-interrogations_a25252.html
 
Bravo à eux d'avoir été à l'origine du changement de gouvernail du Roi.
Même si c'est une petite avancée, c'est une avancée quand même. Et M20 en est en partie responsable.
Bravo aux jeunes marocains, et longue vie à la contestation !
 
Bravo à eux d'avoir été à l'origine du changement de gouvernail du Roi.
Même si c'est une petite avancée, c'est une avancée quand même. Et M20 en est en partie responsable.
Bravo aux jeunes marocains, et longue vie à la contestation !

le mouvement 20 fevrier a failli trainer les marocains dans le chaos heureusement que le roi ne les a pas ecouter mais a couter les revendications des reformes faites par les partis politiques du pays
 
Ce que vit l’arc sud de la Méditerranée fait partie de ces impossibles qui ont été dépassés en ce XXIe siècle, considérant que la révolution arabe, au-delà des craintes, a imposé une troisième voie parmi les alternatives au néolibéralisme. Entre le réflexe identitaire ex- primé par l’islamisme poli- tique et le dogme collectiviste, les peuples ont placé l’humanisme comme revendication principale du soulèvement. Au Maroc, le conservatisme sécuritaire et rentier a réagi via son bras politique, d’abord par la tentative d’imposer des constructions intellectuelles aléatoires en vue de protéger ses intérêts. Les polémistes officiels se suffisent au travestissement du sens de l’attachement des populations à la monarchie. Ils manipulent des renversements qui dénoncent la non-préparation du peuple à la démocratie, justifiant la tutelle de l’Etat par son indispensable accompagnement de l’apprentissage politique de la société. Il y aurait là un besoin présumé de paternalisme dans l’inconscient primitif des « su- jets », qui justifie la déchéance de leur capacité citoyenne. On retrouve la tentative d’introduire le darwinisme en poli- tique pour rendre plus lent le concept de « processus » en démocratie. Ces certitudes sont appuyées par une réa- lité liée à l’analphabétisme et la pauvreté, niant le fait que l’obscurantisme est le terreau de la conscience politique radicale.

http://www.lesoir-echos.com/une-année-de-résistance/presse-maroc/44822/
 
Durant ce festival, nous voulions sortir de la normale, montrer qu’il existe d’autres formes pour manifester ». C’est en ces mots que Intissar Hakech, militante du Mouvement 20 février, entame son témoignage sur le premier anniversaire du M20F. « Vendredi matin, nous avons procédé à une autre forme de contestation, qui était la protestation en images. Le thème était la résistance et chaque image que nous avons affichée à l’UMT de Rabat véhiculait les messages de répressions ou encore ceux de la lutte pacifique qui montre la discipline du mouvement et l’indiscipline des autorités. », explique Intissar. Après une conférence sur le même thème, le M20F a rejoint le sit-in qui se tenait tout près du parlement avec des affiches et des banderoles plutôt originales. « Samedi, le thème de la journée s’est penché sur « l’art contre le Makhzen », ou comment lutter contre une répression grâce à l’art. L’après midi, à l’AMDH, nous avons pu faire la projection de quelques spots du M20F et nous avons tenté de faire une critique intéressante de ce que nous avons réalisé durant cette année. Réflexion faite : nous devons élargir notre cible.», avoue Intissar. Dimanche, le thème portait sur la résistance sociale et le film qui allait le mieux avec l’humeur de cette journée était « Bataille à Seattle ». Enfin, lundi, a connu des conférence-débats sur la résistance économique mais aussi la projection du film « My Makhzen and me » dans plusieurs facultés du pays. 4 jours effectivement trèschargés…

http://www.lesoir-echos.com/un-anniversaire-mouv emente-pour-le-m20f/presse-maroc/45086/


Un visiteur nocture

« La nuit du dimanche nous étions quelques 200 personnes à assister au sit-in nocturne à la Place des pigeons à Casablanca (Nevada-Avenue Mohamed VI). Musiques, chants, tentes mais aussi banderoles,… Une ambiance digne de Woodstock… Vers 5h30, une voiture chic et noire s’est arrêté devant le sit-in puis elle est rapidement repartie. Quelques secondes après, les policiers ont été frappées d’une hystérie et d’un stress collectifs et ils sont venus supprimer ou effacer toutes les banderoles de ceux qui avaient écrit dessus : « A bas le système ». Ce qui était bizarre, c’est que les flics n’ont parlé à personne. Ils ont exécuté, comme des robots. Puis ils sont repartis »
:D
 
Durant ce festival, nous voulions sortir de la normale, montrer qu’il existe d’autres formes pour manifester ». C’est en ces mots que Intissar Hakech, militante du Mouvement 20 février, entame son témoignage sur le premier anniversaire du M20F. « Vendredi matin, nous avons procédé à une autre forme de contestation, qui était la protestation en images. Le thème était la résistance et chaque image que nous avons affichée à l’UMT de Rabat véhiculait les messages de répressions ou encore ceux de la lutte pacifique qui montre la discipline du mouvement et l’indiscipline des autorités. », explique Intissar. Après une conférence sur le même thème, le M20F a rejoint le sit-in qui se tenait tout près du parlement avec des affiches et des banderoles plutôt originales. « Samedi, le thème de la journée s’est penché sur « l’art contre le Makhzen », ou comment lutter contre une répression grâce à l’art. L’après midi, à l’AMDH, nous avons pu faire la projection de quelques spots du M20F et nous avons tenté de faire une critique intéressante de ce que nous avons réalisé durant cette année. Réflexion faite : nous devons élargir notre cible.», avoue Intissar. Dimanche, le thème portait sur la résistance sociale et le film qui allait le mieux avec l’humeur de cette journée était « Bataille à Seattle ». Enfin, lundi, a connu des conférence-débats sur la résistance économique mais aussi la projection du film « My Makhzen and me » dans plusieurs facultés du pays. 4 jours effectivement trèschargés…

http://www.lesoir-echos.com/un-anniversaire-mouv emente-pour-le-m20f/presse-maroc/45086/


:D
ils se font tabasser ils ne sont pas contents, ils ne sont pas calculés ils ne sont pas contents

(joke hein :prudent:)
 
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