Mali: intervention française

Mali : Diabali tombe au main des jihadistes - Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a confirmé la prise par les islamistes de la ville malienne de Diabali, située à 400 km au nord de Bamako. « Ils ont pris Diabali, qui est une petite commune, après des combats importants et après une résistance de l'armée malienne mais qui était insuffisamment dotée à ce moment précis », a déclaré le ministre français sur BFMTV.
 
Mali : pourquoi Alger s’est rallié à la solution militaire

En autorisant les avions français à survoler son territoire, l’Algérie a apporté de fait sa caution à la guerre contre les groupes armés occupant le Nord‑Mali. Cette décision signifie le lâchage définitif du groupe islamiste touareg Ansar Dine avec lequel Alger avait tenté de mettre en place une solution politique à la crise malienne.


La cause ? Le groupe islamiste touareg a manqué à sa parole de se démarquer des terroristes d’Aqmi et du Mujao. « En décidant de rompre leur engagement à cesser les hostilités conformément aux accords d'Alger et surtout en acceptant de rejoindre Aqmi et le Mujao dans l'attaque contre la ville de Konna, les dirigeants d'Ansar Dine ont administré la preuve formelle qu'ils ne se sont pas dissociés des groupes terroristes comme ils nous le serinaient », explique un haut responsable algérien qui a requis l’anonymat.

Pendant plusieurs mois, Ansar Dine avait donné l’impression d’être favorable à une solution politique et s’est même dit prêt à prendre ses distances avec Aqmi. Mais leur duplicité et le fait qu'ils aient choisi leur camp, c'est-à-dire le camp des terroristes, explique la teneur de la déclaration du porte‑parole du ministère des Affaires étrangères faite hier ». Pourtant, ajoute le même responsable, « nous les avions sommés, à plusieurs reprises, de rompre leurs relations avec les terroristes et d'opter sans ambiguïté aucune pour une solution pacifique, mais en vain ».


La décision d’Ansar Dine de participer, avec le Mujao et Aqmi à l’expédition guerrière sur Konna, a constitué un point de rupture pour les Algériens. Le dialogue a définitivement échoué. « À partir de là, et comme nous n'avons jamais exclu le recours à la force pour éliminer la menace terroriste dans la région du Sahel et que nous sommes pour le recouvrement par le Mali de son intégrité territoriale, notre positionnement est tout à fait logique même s'il paraît quelque peu déroutant », affirme notre interlocuteur.

L’Algérie rejoint finalement la France qui a plaidé, depuis le départ, d’abord pour la guerre, avant d’initier le dialogue avec les différentes parties en conflit pour trouver une solution durable à la crise malienne. « La question du Nord-Mali ne se règlera pas militairement. Il n'y aura pas de solution définitive et durable en dehors du dialogue politique avec les représentants des populations du nord, qu'ils soient touareg, arabes ou songhaïs. Après la phase militaire et une fois que la menace terroriste sera éliminée, la solution politique reviendra avec force au cœur de la problématique », conclut le même haut responsable.

http://www.tsa-algerie.com/diplomat...est-rallie-a-la-solution-militaire_23409.html
 
Comment l’Algérie entre à petits pas en guerre au Mali

L’Algérie met un pied dans la guerre menée par la France au Mali. Le gouvernement a donné son accord pour le survol du territoire national par des avions militaires français pour attaquer des cibles au Nord-Mali, occupé par des groupes armés depuis plusieurs mois. Dans le sud du pays, les forces de sécurité, armée et gendarmerie, sont fortement mobilisées pour surveiller les frontières algéro‑maliennes et empêcher les terroristes venus du Mali de pénétrer sur le sol algérien. L’aviation algérienne se tient prête à intervenir en cas de nécessité, selon une source sécuritaire. « Même à participer aux côtés des forces françaises », précise‑t‑elle.

Comment l’Algérie, qui a longtemps défendu l’option du dialogue avant la guerre, s’est‑elle retrouvée engagée dans ce conflit ? Ces derniers mois, les diplomates algériens ont multiplié les déclarations sur la nécessité de privilégier la solution politique au détriment de l’option armée. Ils ont effectué plusieurs tournées régionales dans les pays voisins afin de les rallier à la position algérienne. Un dialogue a même été initié entre Ansar Dine et le MNLA. Ces deux groupes touareg ont ainsi signé fin décembre à Alger un accord pour la cessation des hostilités, qui a été ensuite dénoncé par Ansar Dine.

En fait, convaincue depuis longtemps que la France allait intervenir militairement au Nord‑Mali, l’Algérie a cherché à gagner du temps pour mieux se préparer à cette guerre, en renforçant considérablement la sécurité aux frontières sud. Les Français et les Américains voulaient que la frontière algéro‑malienne soit étanche afin d’éviter que les terroristes l’empruntent pour fuir une intervention militaire. Une fois la frontière sécurisée et l’accord d’Alger pour l’utilisation de son territoire obtenu, la France pouvait lancer son intervention militaire pour reconquérir le nord du Mali. D’autant que l’Algérie trouve son compte dans cette guerre avec la perspective de se débarrasser de la menace d’Aqmi à ses frontières sud.

TSA
 
En fait, convaincue depuis longtemps que la France allait intervenir militairement au Nord‑Mali, l’Algérie a cherché à gagner du temps pour mieux se préparer à cette guerre, en renforçant considérablement la sécurité aux frontières sud. Les Français et les Américains voulaient que la frontière algéro‑malienne soit étanche afin d’éviter que les terroristes l’empruntent pour fuir une intervention militaire. Une fois la frontière sécurisée et l’accord d’Alger pour l’utilisation de son territoire obtenu, la France pouvait lancer son intervention militaire pour reconquérir le nord du Mali. D’autant que l’Algérie trouve son compte dans cette guerre avec la perspective de se débarrasser de la menace d’Aqmi à ses frontières sud.

TSA

J'ai du mal à y croire...:confus:
 
Mali : pourquoi Alger s’est rallié à la solution militaire

En autorisant les avions français à survoler son territoire, l’Algérie a apporté de fait sa caution à la guerre contre les groupes armés occupant le Nord‑Mali. Cette décision signifie le lâchage définitif du groupe islamiste touareg Ansar Dine avec lequel Alger avait tenté de mettre en place une solution politique à la crise malienne.


La cause ? Le groupe islamiste touareg a manqué à sa parole de se démarquer des terroristes d’Aqmi et du Mujao. « En décidant de rompre leur engagement à cesser les hostilités conformément aux accords d'Alger et surtout en acceptant de rejoindre Aqmi et le Mujao dans l'attaque contre la ville de Konna, les dirigeants d'Ansar Dine ont administré la preuve formelle qu'ils ne se sont pas dissociés des groupes terroristes comme ils nous le serinaient », explique un haut responsable algérien qui a requis l’anonymat.

Pendant plusieurs mois, Ansar Dine avait donné l’impression d’être favorable à une solution politique et s’est même dit prêt à prendre ses distances avec Aqmi. Mais leur duplicité et le fait qu'ils aient choisi leur camp, c'est-à-dire le camp des terroristes, explique la teneur de la déclaration du porte‑parole du ministère des Affaires étrangères faite hier ». Pourtant, ajoute le même responsable, « nous les avions sommés, à plusieurs reprises, de rompre leurs relations avec les terroristes et d'opter sans ambiguïté aucune pour une solution pacifique, mais en vain ».


La décision d’Ansar Dine de participer, avec le Mujao et Aqmi à l’expédition guerrière sur Konna, a constitué un point de rupture pour les Algériens. Le dialogue a définitivement échoué. « À partir de là, et comme nous n'avons jamais exclu le recours à la force pour éliminer la menace terroriste dans la région du Sahel et que nous sommes pour le recouvrement par le Mali de son intégrité territoriale, notre positionnement est tout à fait logique même s'il paraît quelque peu déroutant », affirme notre interlocuteur.

L’Algérie rejoint finalement la France qui a plaidé, depuis le départ, d’abord pour la guerre, avant d’initier le dialogue avec les différentes parties en conflit pour trouver une solution durable à la crise malienne. « La question du Nord-Mali ne se règlera pas militairement. Il n'y aura pas de solution définitive et durable en dehors du dialogue politique avec les représentants des populations du nord, qu'ils soient touareg, arabes ou songhaïs. Après la phase militaire et une fois que la menace terroriste sera éliminée, la solution politique reviendra avec force au cœur de la problématique », conclut le même haut responsable.

http://www.tsa-algerie.com/diplomat...est-rallie-a-la-solution-militaire_23409.html

La guerre n'est qu'une ruse ! Tu as cru vraiment que Ansar Dine à les trahir leur frères ? Ce sont des jihadistes qui combattent pour Allah pas pour la vie d'ici bas comme les laïcs du mnla qui aiment retourné leurs vestes.

Les dirigeants algériens sont des vendus à la solde des colons français. L'Algérie est toujours sous colonisation française.
 
Ce sont des jihadistes qui combattent pour Allah pas pour la vie d'ici bas comme les laïcs du mnla qui aiment retourné leurs vestes.

Lol...L'art de la faire à l'envers...

Si on pouvait trouver un petit peu de légitimité, c'était bien dans la démarche de MNLA de créer l'Azawad. Les Touaregs ont été trahis par les islamistes qui ne méritent même pas ce nom, tant c'est un panier de crabes d'opportunistes en tout genre, d'aventuriers sous la fausse bannière de l'islam...
 
Lol...L'art de la faire à l'envers...

Si on pouvait trouver un petit peu de légitimité, c'était bien dans la démarche de MNLA de créer l'Azawad. Les Touaregs ont été trahis par les islamistes qui ne méritent même pas ce nom, tant c'est un panier de crabes d'opportunistes en tout genre, d'aventuriers sous la fausse bannière de l'islam...

Les laïcs du MNLA n'ont pas voulu de la shariah qu'ils en assument les conséquences.



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MALI : Les rebelles touareg du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) sont prêts à aider l'armée française à lutter contre les groupes islamistes armés du nord du Mali, en faisant le travail au sol, a déclaré lundi à l'AFP un responsable du MNLA.

Nous soutenons absolument l'intervention aérienne française. Bien sûr nous sommes prêts à aider l'armée française et à faire le travail au sol, a affirmé Moussa Ag Assarid, joint par téléphone à Tinzawatane, dans l'extrême nord du Mali où le MNLA était réuni en congrès ces derniers jours.
 
Mali : Diabali tombe au main des jihadistes - Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a confirmé la prise par les islamistes de la ville malienne de Diabali, située à 400 km au nord de Bamako. « Ils ont pris Diabali, qui est une petite commune, après des combats importants et après une résistance de l'armée malienne mais qui était insuffisamment dotée à ce moment précis », a déclaré le ministre français sur BFMTV.

Ils étais pas censer avoir reculer lol et d'un coup ils prenne une ville a 400km de bamako :D
 
Ils étais pas censer avoir reculer lol et d'un coup ils prenne une ville a 400km de bamako :D

Rien d'étonnant... L'armée malienne est composée de baltringues, de rigolos bons pour parader avec une fanfare...
Cet automne, l'armée française avait réalisé un audit de l'armée malienne, dans le cadre de futurs combats: les résultats n'ont jamais été publiés :D

"Selon le premier ministre :L’armée malienne fait sa mue pour relever le défi de la réunification du territoire.

Sur l’éventualité de l’envoi de troupes au Mali, le Premier ministre dit attendre les conclusions des travaux des experts militaires. « Les experts militaires sont en train de travailler en ce moment avec l’armée malienne pour faire une espèce d’audit de cette armée.

Le Premier ministre et le Capitaine Sanogo, qui a mis fin au régime démocratique, doivent monter au créneau pour annoncer des mesures pour traquer les militaires indélicats. Il s’est agi notamment de la consignation des militaires dans les casernes et de la création d’une Police militaire pour mettre les éléments indisciplinés au pas.

Selon des responsables de l’armée, on a affaire non seulement à de « mauvaises graines » militaires qui, par manque de formation, ont un comportement en déphasage avec l’armée, mais aussi à de « mauvaises graines » civiles qui portent des tenues militaires pour commettre des exactions et jeter ainsi l’opprobre sur l’armée. Le peuple n’attend que de se sentir en totale sécurité pour pouvoir circuler sur toute l’étendue du territoire national sans être inquiété."
http://lecombat.info/news/69-politi...er-le-defi-de-la-reunification-du-territoire-

Voir aussi sur l'audit de l'armée malienne:
http://adsl-25-44-192-81.adsl.iam.n...dit-interne-sur-létat-de-larmée-malienne.html
 
Ben si finalement, il y a eu quelques indiscrétions après l'audit:

"Un audit de l’armée malienne effectué par des experts français est sans appel : « les 3/4 du matériel militaire a été abandonné par les militaires maliens et ce matériel se retrouve entre les mains des terroristes et des narcotrafiquants. Ce résultat a quelque peu bousculé les certitudes de l’Élysée ! », explique notre source."
http://www.tsa-algerie.com/diplomat...-annonce-plus-compliquee-que-prevu_22893.html
 
La presse algérienne:

"La presse algérienne juge avec sévérité l'intervention française au Mali et le passé colonial de la France refait surface. (...)
«Alger, qui a mis du temps pour rendre publique sa position quant à l'intervention française au Mali, laisse même penser que son armée pourrait aussi bientôt entrer en action pour chasser les différents groupes terroristes armés qui occupent le nord du Mali depuis le mois de mars dernier, souligne le quotidien el-Watan . Des sources proches du dossier, ajoute le quotidien, ne manquent pas de rappeler que l'Algérie n'a jamais exclu le recours à la force pour éliminer la menace terroriste».

Le ton est plus vif ailleurs. Selon le journal Liberté , le nom même de l'opération serait de mauvais augure: «L'intervention militaire française au Mali a été baptisée du nom de code “Serval”. Le serval est un petit félin africain qui a la particularité d'uriner trente fois par heure pour marquer son territoire.
La France a ainsi décidé de faire l'impasse sur les résolutions onusiennes pour partir en guerre contre le terrorisme au Sahel. Toute seule, comme le serval, elle n'a pas résisté à la tentation épidermique de revenir dans son ancien pré carré pour montrer à tout le monde qu'elle est la seule à vraiment connaître les intérêts des Maliens, ses anciens colonisés.»

Le Quotidien d'Oran déplore que la volonté d'Alger de privilégier le dialogue n'ait pas été entendue tout en s'interrogeant sur l'évolution du pouvoir algérien. Alger a soutenu «au maximum le dialogue et continuera à le faire, mais en cas d'atteinte à la sécurité et d'utilisation d'autres moyens, nous sommes appelés à être fermes. A priori, le message de fermeté est de nature défensive: si nos frontières sont violées, la riposte sera ferme. On reste dans du classique: surveillance du territoire et refus de s'engager en territoire étranger. La question est de savoir si l'Algérie s'en tiendra à cette position.»

http://www.lefigaro.fr/internationa...u-mali-la-presse-algerienne-tres-critique.php
 
Presse africaine:

Dans d'autres pays voisins du Mali, la presse se montre plus optimiste, comme au Burkina Fasso. «On peut saluer l'intervention salvatrice de la France, relève Le Pays . Pour une fois, on ne peut raisonnablement pas se plaindre de l'action de Paris sur le continent. Loin s'en faut». Un autre quotidien burkinabé, L'Observateur Paalga , exhorte même la communauté internationale à se joindre à l'action française. «Finies les sempiternelles négociations! Il faut que toute la communauté internationale saisisse la balle au bond pour mettre définitivement hors d'état de nuire ces rebelles qui ne cessent de semer mort et désolation dans le septentrion malien.»

«Les promesses d'envoi de troupes émanant de certains leaders de l'Afrique de l'Ouest sont un motif d'espoir, insiste le site d'information Guinée Conakry Infos . La France ne doit pas se limiter à stopper les rebelles, elle devra collaborer avec les troupes africaines pour endiguer et neutraliser aussi totalement que possible les groupes islamistes terroristes.»
http://www.lefigaro.fr/internationa...u-mali-la-presse-algerienne-tres-critique.php
 
Presse africaine:

Dans d'autres pays voisins du Mali, la presse se montre plus optimiste, comme au Burkina Fasso. «On peut saluer l'intervention salvatrice de la France, relève Le Pays . Pour une fois, on ne peut raisonnablement pas se plaindre de l'action de Paris sur le continent. Loin s'en faut». Un autre quotidien burkinabé, L'Observateur Paalga , exhorte même la communauté internationale à se joindre à l'action française. «Finies les sempiternelles négociations! Il faut que toute la communauté internationale saisisse la balle au bond pour mettre définitivement hors d'état de nuire ces rebelles qui ne cessent de semer mort et désolation dans le septentrion malien.»

«Les promesses d'envoi de troupes émanant de certains leaders de l'Afrique de l'Ouest sont un motif d'espoir, insiste le site d'information Guinée Conakry Infos . La France ne doit pas se limiter à stopper les rebelles, elle devra collaborer avec les troupes africaines pour endiguer et neutraliser aussi totalement que possible les groupes islamistes terroristes.»
http://www.lefigaro.fr/internationa...u-mali-la-presse-algerienne-tres-critique.php

J'aime bien les commentaire de merdeux dans le figaro,qui ose donner des leçons,ca fait 20 ans que l'algerie fait la guerre au Barbus enturbanné et les autres ouvre leur grande gueule dans un forum.

On tape des barres de rire.
 
J'aime bien les commentaire de merdeux dans le figaro,qui ose donner des leçons,ca fait 20 ans que l'algerie fait la guerre au Barbus enturbanné et les autres ouvre leur grande gueule dans un forum.

On tape des barres de rire.

Je n'ai pas lu les commentaires des lecteurs...c'est généralement nul...

Mais comme la presse algérienne, j'ai un peu de mal à comprendre la stratégie d'Alger dans cette affaire...:oh:
 
Je n'ai pas lu les commentaires des lecteurs...c'est généralement nul...

Mais comme la presse algérienne, j'ai un peu de mal à comprendre la stratégie d'Alger dans cette affaire...:oh:


Y a pas de stratégie cela ne la regarde pas cet histoire,les algériens n'on rien demander comme aide quand eux ils étaient dans la ***** dans les années 90.

Et la France joue les va t'en guerre loin de ses frontières,je me demande s'il elle aurait pas réagi avec prudence si des terroristes de l'ETA faisait la même chose en Espagne au porte de la France. Elle aurait jouer la carte de la diplomatie.
 
Y a pas de stratégie cela ne la regarde pas cet histoire,les algériens n'on rien demander comme aide quand eux ils étaient dans la ***** dans les années 90.

Et la France joue les va t'en guerre loin de ses frontières,je me demande s'il elle aurait pas réagi avec prudence si des terroristes de l'ETA faisait la même chose en Espagne au porte de la France. Elle aurait jouer la carte de la diplomatie.

Si l'ETA occupait le Nord de l'Espagne et décide d'avancer au Sud, à mon avis les Français et d'autres se seraient bougés très très très vite :)
 
Si l'ETA occupait le Nord de l'Espagne et décide d'avancer au Sud, à mon avis les Français et d'autres se seraient bougés très très très vite :)


Plus facile a dire,le FLNC fait ce qu'il veut en corse personne ne bouge,quand on a la guerre a ses portes on essaie de l’éviter avant de la déclencher et de subir les conséquences,c'est le cas de l'Algerie.

C'est pas son problème sauf si les tarés essaie de rentré sur le territoire.
 
Bah le FLNC à part plastiquer des villas en Corse...bref je vois pas la pertinence de la comparaison avec les islamistes au Mali...


Pas de comparaison avec les islamistes eux même,mais le comportement que l'on peut avoir quand on a un problème a ses portes avec des risques majeur et celui qui et a des milliers de kilomètre loin de chez soi,la donne et différente et on réfléchie 2 fois.
 
Lol...L'art de la faire à l'envers...

Si on pouvait trouver un petit peu de légitimité, c'était bien dans la démarche de MNLA de créer l'Azawad. Les Touaregs ont été trahis par les islamistes qui ne méritent même pas ce nom, tant c'est un panier de crabes d'opportunistes en tout genre, d'aventuriers sous la fausse bannière de l'islam...
Les bandits du MNLA ont voulu imposer la partition du Mali quitte a s’allier aux pires islamistes qui les ont trahi par la suite. Ils ont mis le pays entier dans la pire situation de son histoire. Le peuple malien entier en subi les conséquences.
 
Pas de comparaison avec les islamistes eux même,mais le comportement que l'on peut avoir quand on a un problème a ses portes avec des risques majeur et celui qui et a des milliers de kilomètre loin de chez soi,la donne et différente et on réfléchie 2 fois.

Le Mali serait à la place géographique de l'Espagne, la France serait intervenue depuis longtemps...

Si Bamako tombe, c'est le Mali qui tombe. Après le Niger etc.

Franchement je vois mal l'intérêt pour le Maroc ou l'Algérie (entre autres) d'avoir au Sud des pays qui tomberaient aux mains de ces islamistes...
 
Les bandits du MNLA ont voulu imposer la partition du Mali quitte a s’allier aux pires islamistes qui les ont trahi par la suite. Ils ont mis le pays entier dans la pire situation de son histoire. Le peuple malien entier en subi les conséquences.

Bah oui...mais au moins ils sont dans une logique maintes fois éprouvée en Histoire: celle qui consiste à avoir un territoire pour un peuple...
 
Mali: le MNLA ne veut pas que les forces de Bamako pénètrent dans le nord


Le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), rébellion autonomiste touareg du nord du Mali, a demandé dimanche que les forces gouvernementales de Bamako qui affrontent avec un appui militaire les groupes islamistes armés dans le centrei, ne pénètrent pas dans le nord du pays.

« Le MNLA attire l’attention de la communauté internationale que l’intervention armée étrangère contre les groupes terroristes ne doit pas permettre à l’armée malienne de franchir la ligne de démarcation entre l’Azawad et le Mali avant le règlement politique du conflit qui nous oppose », souligne le MNLA dans une déclaration reçue par l’AFP à Dakar.

Le MNLA avait lancé en janvier 2012 une offensive dans le nord, avant d’en être évincé peu après par les groupes islamistes armés Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) et Ansar Dine (Défenseurs de l’islam).

Très affaibli, le MNLA s’était engagé en décembre 2012 à cesser les hostilités et à négocier avec les autorités maliennes. Rébellion laïque, ce mouvement a cessé officiellement de réclamer l’indépendance pour ne plus plaider que le droit à « l’autodétermination » de l’Azawad.
L’Azawad est un immense territoire aride d’une surface équivalente à celles de la France et de la Belgique réunies, comprenant les trois régions administratives de Kidal, Tombouctou et Gao.

Dans son texte, signé de Bilal Ag Achérif, secrétaire général du mouvement, le MNLA ajoute: « c’est dans ce cadre que le MNLA s’impliquera pour le succès des opérations de lutte contre le terrorisme et cela minimisera les risques des victimes civiles innocentes. Nous demandons à ce que la population civile de l’Azawad ne soit victime de l’intervention armée et qu’il n’y ait pas d’amalgame entre elle et les terroristes ».

« Nous rappelons que le MNLA a toujours respecté ses engagements notamment la cessation des hostilités entre le MNLA et l’armée malienne et reste disponible aux négociations », a souligné le mouvement touareg.

Alors que la situation militaire était gelée, les combats entre armée malienne et groupes islamistes armés avaient repris cette semaine dans le centre du pays. A plus de 700 km de Bamako, Konna était tombée jeudi aux mains des jihadistes, provoquant l’intervention des forces françaises, qui bombardent depuis trois jours les groupes islamistes dans la zone.

http://maliactu.net/mali-le-mnla-ne-veut-pas-que-les-forces-de-bamako-penetrent-dans-le-nord/
 
MALI : Les rebelles touareg du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) sont prêts à aider l'armée française à lutter contre les groupes islamistes armés du nord du Mali, en faisant le travail au sol, a déclaré lundi à l'AFP un responsable du MNLA.

Nous soutenons absolument l'intervention aérienne française. Bien sûr nous sommes prêts à aider l'armée française et à faire le travail au sol, a affirmé Moussa Ag Assarid, joint par téléphone à Tinzawatane, dans l'extrême nord du Mali où le MNLA était réuni en congrès ces derniers jours.

ben quesque tu crois, à part quelques illuminé dans ton genre personne ne veut d ela shariaa, partout ou elle ete apliquée dernierement c'etait sous la menace des armes.
 
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