Trois Marocains ont été condamnés mardi à la peine de mort par un tribunal de Meknès (120 km à l'est de Rabat) qui les a reconnus coupables des meurtres d'un avocat et de son épouse en 2006, a indiqué l'agence marocaine MAP.
L'avocat, Me Ibrahim Hassitou, et son épouse, Maria Bennani, ont été assassinés par deux frères, Abdelkrim et Mhamed Bouaami. Ils ont été condamnés à la peine de mort avec leur complice, Aziz Akd.
Un co-accusé a été condamné à la prison à vie et deux femmes, également impliquées dans cette affaire, ont écopé respectivement de deux ans et demi de prison ferme et un an de prison avec sursis.
Les personnes condamnées étaient poursuivies notamment pour "constitution de bande de malfaiteurs, homicide volontaire avec préméditation, mutilation de corps (...), vol qualifié, proxénétisme, adultère et complicité".
Selon l'accusation, les agresseurs se sont introduits par effraction au domicile des victimes, qu'ils ont égorgées et dont ils ont mutilé les corps avant de les transporter jusqu'à Oued Cherrat, près de la ville de Témara, au sud de Rabat.
La police avait saisi les armes du crime ainsi que les objet volés dont des bijoux.
Les tribunaux marocains prononcent des condamnations à mort mais celles-ci ne sont de fait plus appliquées depuis 1994.
Auteur : AFP
L'avocat, Me Ibrahim Hassitou, et son épouse, Maria Bennani, ont été assassinés par deux frères, Abdelkrim et Mhamed Bouaami. Ils ont été condamnés à la peine de mort avec leur complice, Aziz Akd.
Un co-accusé a été condamné à la prison à vie et deux femmes, également impliquées dans cette affaire, ont écopé respectivement de deux ans et demi de prison ferme et un an de prison avec sursis.
Les personnes condamnées étaient poursuivies notamment pour "constitution de bande de malfaiteurs, homicide volontaire avec préméditation, mutilation de corps (...), vol qualifié, proxénétisme, adultère et complicité".
Selon l'accusation, les agresseurs se sont introduits par effraction au domicile des victimes, qu'ils ont égorgées et dont ils ont mutilé les corps avant de les transporter jusqu'à Oued Cherrat, près de la ville de Témara, au sud de Rabat.
La police avait saisi les armes du crime ainsi que les objet volés dont des bijoux.
Les tribunaux marocains prononcent des condamnations à mort mais celles-ci ne sont de fait plus appliquées depuis 1994.
Auteur : AFP