De mon ami Younes Professeur agrégé de Lettres, à
Ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse et qui vit et travaille au Maroc après avoir étudié à Université de Nancy II.
Quand des plumitifs jettent de l'huile sur le feu.
Quand vous lisez certains brûlots commis par des journaleux qui jettent de l'huile sur le feu, vous comprenez que leur haine de l'enseignant doit avoir quelque chose d'enfoui dans les tréfonds d'une mémoire reptilienne dont les échos se confondent avec un vécu scolaire qui a du être foncièrement traumatisant.
Ce sont ces ripoux de la plume qui justifient leur fascisme éditorial à l'égard des enseignants qui, non contents de l'accusation de traîtrise que leurs vomis véhiculent, s'amusent a lancer des sortes d'appels aux tribunaux d'exception, si ce n'est aux bûchers de l'Inquisition de triste mémoire. C'est en tout cas l'impression que beaucoup retiendront à la lecture d'un nième édito d'un torchon qui, hier encore, disait pis que pendre de tous les gouvernement, et dont les édito aujourd'hui, se sont transformés en réquisitoires d'assises contre les enseignants et leurs coordinations.
Juste pour rappel, ce ne sont pas quelques semaines de grèves qui ont mis l'école publique plus bas que terre, mais bel et bien les agissements incontrôlés depuis plus de soixante ans, de dizaines de gouvernement et de ministres servis par des aéropages et des flopées de spécialistes qui ont fait du virus réformiste dont ils ont gangrené notre système éducatif et scolaire, leur cheval de bataille et leur source d'enrichissement. Ces "caudillo" des édito devraient en toute justice vilipender les forces régressives à l'œuvre dans notre pays et qui ont recruté pour une missions de destruction les Alaoui, Malki, Abida, Akhchichine, Hassad, El Ouafa, Amzazi... Ils ont été secondés dans ce sinistre par tous les partis politiques qui ont regardé sans voir les dizaines de "hold up" qui leur ont permis de "faire se volatiliser" des centaines de milliards et de servir aux pauvres Marocains le triste spectacle d'une école publique en totale décomposition.
Il est désormais clair que l'éditorialiste en question est juste un mercenaire comme on en voit tant dans nos médias, un de plus qui tente de mériter ses deniers de Judas en buvant à toutes les sources qui s'offrent, dont certaines émanent de ces écuries d'Augias nommés syndicats.