Maroc : des décisions "révolutionnaires" pour le droit des femmes

Une étude publiée par la Fédération des ligues des droits des femmes montre tout l'intérêt que porte les tribunaux marocains pour les cas de violences faites aux femmes. Celle-ci fait cas de plusieurs décisions "révolutionnaires" prononcées par trois tribunaux, qui font espérer un recul du phénomène, en plus de rassurer les femmes.
Prise en charge psychologique, mesures d'éloignement, interdiction d'expulser l'épouse du domicile conjugal. Ce sont là autant de décisions prononcées par des tribunaux à (...)

- Société / Violences conjugales, Harcèlement sexuel, Procès, Oujda, Taza , Larache

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EXCEPTIONS ou avancée réelle ?
Domicile conjugale,, non ! domicile maritale oui ! ne dit on pas en général que la femme vit chez son époux ? on dit rarement chez toi,,,
pour commencer c'est pas à la victime de partir mais bien à l'auteur des violences,,,,
or, les maisons appartiennent en général au maris, ce qui leur permettaient de mettre dehors à une époque avant moudawana,,, femmes et enfants comme il l'entendait,,,
la maison devient conjugale à partir du moment ou celle ci devient un bien commun entre l'époux et l'épouse,,, or, à ce jour,,,, aucun document ne stipule q'une femme a un certain pourcentage sur la maison,,, malgré qu'elle y restait dedans, durant des décennies,, qu'elle est le pilier même de cette maison,,,, le mari reste en général, l'unique bénéficiaire de son bien,,,
C'est peut-être par là qu'il faudrait commencer non ? document qui atteste que le bien appartient aux deux conjoints,,,, ensuite pour les violences conjugales,,, seule la justice tranchera,,, qui doit partir ou pas,,,
 
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