Iwisntmazirt
Le Maroc est amazigh
Après la vraie fausse officialisation de la langue amazighe dans la constitution octroyée, les plus naïfs parmi les Amazighs sattendent à ce que les choses changent. Dans le sens positif du terme bien sûr. Même symboliquement. Mais au vu des derniers développements (je naborde même le racisme dont ont fait preuve les hordes barbares du Makhzen envers les Amazighs du Rif), ils doivent être déçus, très déçus même. Deux faits suffiront pour les convaincre. Enfin, jespère.
Lors dun colloque organisé par la bibliothèque nationale, un intervenant a été empêché, agressivement et violemment, de sexprimer en langue amazighe par le président de la même institution, un certain Kherouz, amazigh lui-même et, pire que cela, membre de lIRCAM (la très fameuse institution qui est censée prendre à cur la culture amazighe).
Le motif selon ce minable auto-raciste, digne disciple du sanguinaire Kadhafi, est que seules les langues arabe et française ont droit de cité entre les murs de létablissement où il officie. A-t-il concocté, tout seul, une loi anti-amazigh propre à sa bibliothèque qui na par voie de conséquence rien de nationale, parce que sienne ? Et bien, il faut vraiment le croire. Dans le pays du Makhzen, il ne faut plus jamais sétonner de rien !
Ainsi, ironie de lhistoire, la petite Tihiyya qui était quasiment clandestine dans une ville fondée par ses ancêtres amazighs, les Almoravides, qui doivent se retourner dans leurs tombes en voyant leurs descendants se faire traiter comme moins que de la ***** par de petits racistes ignares. Cest vraiment le monde à lenvers. Et cest le moins que lon puisse dire.
Mais la question qui se pose : que faire devant la mauvaise foi du régime raciste de Rabat qui nous pompe lair avec ses officialisations bidon sans aucun effet sur la réalité du terrain ? Faut-il continuer à subir ad vitam aeternam toutes sortes dhumiliations racistes ? À un moment, il faut savoir dire stop. Y en a vraiment marre à la fin !
Auteur: Lahsen Oulhadj
Lors dun colloque organisé par la bibliothèque nationale, un intervenant a été empêché, agressivement et violemment, de sexprimer en langue amazighe par le président de la même institution, un certain Kherouz, amazigh lui-même et, pire que cela, membre de lIRCAM (la très fameuse institution qui est censée prendre à cur la culture amazighe).
Le motif selon ce minable auto-raciste, digne disciple du sanguinaire Kadhafi, est que seules les langues arabe et française ont droit de cité entre les murs de létablissement où il officie. A-t-il concocté, tout seul, une loi anti-amazigh propre à sa bibliothèque qui na par voie de conséquence rien de nationale, parce que sienne ? Et bien, il faut vraiment le croire. Dans le pays du Makhzen, il ne faut plus jamais sétonner de rien !
Ainsi, ironie de lhistoire, la petite Tihiyya qui était quasiment clandestine dans une ville fondée par ses ancêtres amazighs, les Almoravides, qui doivent se retourner dans leurs tombes en voyant leurs descendants se faire traiter comme moins que de la ***** par de petits racistes ignares. Cest vraiment le monde à lenvers. Et cest le moins que lon puisse dire.
Mais la question qui se pose : que faire devant la mauvaise foi du régime raciste de Rabat qui nous pompe lair avec ses officialisations bidon sans aucun effet sur la réalité du terrain ? Faut-il continuer à subir ad vitam aeternam toutes sortes dhumiliations racistes ? À un moment, il faut savoir dire stop. Y en a vraiment marre à la fin !
Auteur: Lahsen Oulhadj