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Bladinaute averti
L'une des stations les plus écoutées par les jeunes Marocains se veut aussi une radio "citoyenne".
L'une des stations les plus écoutées par les jeunes Marocains se veut aussi une radio "citoyenne"... Comme elle l'avait déjà fait lors du référendum constitutionnel du mois de juillet, Hit Radio lance une campagne afin d'inciter ses auditeurs à s'inscrire sur les listes électorales, en prévision du scrutin législatif du mois de novembre.
Younes Boumehdi, PDG et fondateur, en est convaincu: les jeunes, s'ils veulent être davantage écoutés, doivent voter, s'impliquer et s'imposer. C'est déjà cette conviction qui, dès les années 1980, l'avait incité à imaginer, le premier, le pari audacieux d'une radio privée "100% hit et 100% jeunes". "Il n'existait alors pour les jeunes aucun espace, même virtuel, rappelle Boumehdi. Ni pour les jeunes musiciens."
Après la libéralisation des médias, la station voit officiellement le jour en 2006, à Rabat. Hit Radio, qui emploie aujourd'hui 50 salariés, accompagne et soutient la "nouvelle scène musicale" en diffusant les titres de ses artistes (40 % de la programmation est marocaine) et en soutenant des concerts et des spectacles. Elle a aussi réussi, en quelques années, à créer de véritables canaux d'expression que se sont appropriés ses jeunes auditeurs: émissions interactives, "libre antenne", forums sur le Net et sur Facebook, etc. Une liberté de ton et une impertinence pas toujours sans conséquences: la jeune radio a déjà fait l'objet de trois sanctions infligées par la Haute autorité de la communication audiovisuelle...
L'Express
L'une des stations les plus écoutées par les jeunes Marocains se veut aussi une radio "citoyenne"... Comme elle l'avait déjà fait lors du référendum constitutionnel du mois de juillet, Hit Radio lance une campagne afin d'inciter ses auditeurs à s'inscrire sur les listes électorales, en prévision du scrutin législatif du mois de novembre.
Younes Boumehdi, PDG et fondateur, en est convaincu: les jeunes, s'ils veulent être davantage écoutés, doivent voter, s'impliquer et s'imposer. C'est déjà cette conviction qui, dès les années 1980, l'avait incité à imaginer, le premier, le pari audacieux d'une radio privée "100% hit et 100% jeunes". "Il n'existait alors pour les jeunes aucun espace, même virtuel, rappelle Boumehdi. Ni pour les jeunes musiciens."
Après la libéralisation des médias, la station voit officiellement le jour en 2006, à Rabat. Hit Radio, qui emploie aujourd'hui 50 salariés, accompagne et soutient la "nouvelle scène musicale" en diffusant les titres de ses artistes (40 % de la programmation est marocaine) et en soutenant des concerts et des spectacles. Elle a aussi réussi, en quelques années, à créer de véritables canaux d'expression que se sont appropriés ses jeunes auditeurs: émissions interactives, "libre antenne", forums sur le Net et sur Facebook, etc. Une liberté de ton et une impertinence pas toujours sans conséquences: la jeune radio a déjà fait l'objet de trois sanctions infligées par la Haute autorité de la communication audiovisuelle...
L'Express