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Le taux délectrification rurale (TER) au Maroc a atteint ainsi 96,5% à fin 2009 contre 95,4% une année auparavant. Le TER est passé de 18% à 96,5% entre 1996-2009, période durant laquelle les réalisations ont concerné 35.670 villages au Maroc regroupant 1.918.002 foyers (environ 11,5 millions dhabitants) ayant bénéficié de laccès à lélectricité.
La demande électrique nette, quant à elle, a atteint 25.016,3 GWh à fin décembre 2009, soit une augmentation de 4,2% par rapport à celle enregistrée en 2008. Cette demande a été satisfaite à hauteur de 13% à partir des énergies renouvelables, 42,2% par la production dorigine charbon, 13,6% dorigine fioul, 11,9% à partir du gaz naturel et 19,3% par les importations. Au total, 35.000 douars (plus de 1,88 million habitations) ont bénéficié du programme délectrification rurale globale (PERG), depuis sans lancement en janvier 1996.
Les réalisations dans le cadre du PERG ont nécessité un investissement global de 17 milliards de dirhams. 3.000 douars supplémentaires sont programmés dans le cadre de la dernière phase de ce programme.
Au Maroc, 45 % de la population vit dans des zones rurales. L électrification de ces régions se fait soit en les reliant au réseau interconnecté, soit de façon décentralisée, grâce à un équipement photovoltaïque.
Le PERG finance aussi la construction de lignes haute tension et de postes source. Ces infrastructures permettent au Maroc de faire face à une demande croissante en électricité. Le gouvernement marocain a mis en uvre un plan d équipement électrique prévoyant au niveau national plusieurs centrales électriques fonctionnant à base d énergie éolienne, solaire, au gaz, au charbon et au fioul.
Ainsi, un programme d optimisation de l hydroélectricité a été mis en place pour la construction d une station de transfert d énergie par pompage de 400 MW tous les 4 à 5 ans, ainsi que l équipement des barrages qui ne le sont pas encore.
Outre l accélération de la cadence de construction de stations de plus de 4000 MW, dont la centrale thermique de Safi (310 km au sud de Rabat) et les nouvelles unités de Jorf Lasfar, un projet de centrale électrique de 100 MW fonctionnant à base de schistes bitumineux est programmé à Tarfaya (1.100 km au sud de Rabat).
L agenda prévoit la mise en service du parc de 300 MW à la fin 2012. Le programme "Energipro" de 1.000 mégawatts, qui vise à introduire l éolien progressivement dans la production électrique globale du pays, a été mis en place. Il permettra d exploiter le potentiel éolien du Maroc qui s élève à 6.000 MW.
La demande électrique nette, quant à elle, a atteint 25.016,3 GWh à fin décembre 2009, soit une augmentation de 4,2% par rapport à celle enregistrée en 2008. Cette demande a été satisfaite à hauteur de 13% à partir des énergies renouvelables, 42,2% par la production dorigine charbon, 13,6% dorigine fioul, 11,9% à partir du gaz naturel et 19,3% par les importations. Au total, 35.000 douars (plus de 1,88 million habitations) ont bénéficié du programme délectrification rurale globale (PERG), depuis sans lancement en janvier 1996.
Les réalisations dans le cadre du PERG ont nécessité un investissement global de 17 milliards de dirhams. 3.000 douars supplémentaires sont programmés dans le cadre de la dernière phase de ce programme.
Au Maroc, 45 % de la population vit dans des zones rurales. L électrification de ces régions se fait soit en les reliant au réseau interconnecté, soit de façon décentralisée, grâce à un équipement photovoltaïque.
Le PERG finance aussi la construction de lignes haute tension et de postes source. Ces infrastructures permettent au Maroc de faire face à une demande croissante en électricité. Le gouvernement marocain a mis en uvre un plan d équipement électrique prévoyant au niveau national plusieurs centrales électriques fonctionnant à base d énergie éolienne, solaire, au gaz, au charbon et au fioul.
Ainsi, un programme d optimisation de l hydroélectricité a été mis en place pour la construction d une station de transfert d énergie par pompage de 400 MW tous les 4 à 5 ans, ainsi que l équipement des barrages qui ne le sont pas encore.
Outre l accélération de la cadence de construction de stations de plus de 4000 MW, dont la centrale thermique de Safi (310 km au sud de Rabat) et les nouvelles unités de Jorf Lasfar, un projet de centrale électrique de 100 MW fonctionnant à base de schistes bitumineux est programmé à Tarfaya (1.100 km au sud de Rabat).
L agenda prévoit la mise en service du parc de 300 MW à la fin 2012. Le programme "Energipro" de 1.000 mégawatts, qui vise à introduire l éolien progressivement dans la production électrique globale du pays, a été mis en place. Il permettra d exploiter le potentiel éolien du Maroc qui s élève à 6.000 MW.