BaZnAtLaS
Bladinaute averti
Dès le début du Mouvement SlutWalk Morocco, qui a mué en Woman-Shoufouch, quelques hommes sont montés au créneau pour dénoncer le harcèlement contre le sexe masculin. Sil ny a pas de phénomène à proprement parler, des cas de harcèlement sexuel contre des hommes ont été signalés au Réseau marocain pour la défense des droits des hommes.
Des femmes qui montent au créneau pour crier «Halte au harcèlement sexuel» quelles subissent, on comprend. Mais quand des hommes sy mettent aussi, la cause peut sembler étonnante, voire absurde pour certaines. Après la création du groupe SlutWalk Morocco sur facebook, qui sest transformé en Woman-Shoufouch quand les administratrices ont mis de leau dans leur vin, deux jeunes étudiants ont rappliqué en créant «Harcèlement du sexe masculin au Maroc : BRISONS LE SILENCE !». Si Abdelfettah Bahjaji, président du Réseau marocain pour la défense des droits des hommes confirme lexistence du harcèlement contre les hommes au Maroc, il ne voit rien de bon sortir de «cette guerre» des genres au Maroc.
Viré parce quil a repoussé les avances de sa patronne
«Nous avons reçu plusieurs cas dhommes victimes de harcèlement sexuel depuis la création du Réseau», indique Abdelfettah Bahjaji. Sur les 3 000 personnes que le réseau a reçu à ce jour, pour toutes sortes de causes confondues, 10% dentre elles sont victimes de harcèlement sexuel. «Un jeune homme est venu nous voir, parce quil se faisait harceler sexuellement dans son travail par sa supérieure. Quand elle a compris que cétait désespéré, elle a fini par user de son pouvoir pour lécarter, le marginaliser, jusquà le pousser à la démission». Ceci nest pas un scénario de film de Barry Levinson (qui a réalisé « Harcèlement » en 1994), mais un des cas reçus par le Réseau marocain pour la défense des droits des hommes, assure Mr. Bahjaji. A travers les centres découte mis en place par le Réseau dans les locaux dassociations partenaires ou dans les Maisons de la Jeunesse, Mr. Bahjaji entend souvent ce genre dhistoires. «Il y a le cas dun autre monsieur qui était chauffeur particulier dune femme riche. Elle lui a fait plusieurs allusions, des avances [ ] et devant son refus, elle a fini par le virer», raconte Mr. Bahjaji.
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Des femmes qui montent au créneau pour crier «Halte au harcèlement sexuel» quelles subissent, on comprend. Mais quand des hommes sy mettent aussi, la cause peut sembler étonnante, voire absurde pour certaines. Après la création du groupe SlutWalk Morocco sur facebook, qui sest transformé en Woman-Shoufouch quand les administratrices ont mis de leau dans leur vin, deux jeunes étudiants ont rappliqué en créant «Harcèlement du sexe masculin au Maroc : BRISONS LE SILENCE !». Si Abdelfettah Bahjaji, président du Réseau marocain pour la défense des droits des hommes confirme lexistence du harcèlement contre les hommes au Maroc, il ne voit rien de bon sortir de «cette guerre» des genres au Maroc.
Viré parce quil a repoussé les avances de sa patronne
«Nous avons reçu plusieurs cas dhommes victimes de harcèlement sexuel depuis la création du Réseau», indique Abdelfettah Bahjaji. Sur les 3 000 personnes que le réseau a reçu à ce jour, pour toutes sortes de causes confondues, 10% dentre elles sont victimes de harcèlement sexuel. «Un jeune homme est venu nous voir, parce quil se faisait harceler sexuellement dans son travail par sa supérieure. Quand elle a compris que cétait désespéré, elle a fini par user de son pouvoir pour lécarter, le marginaliser, jusquà le pousser à la démission». Ceci nest pas un scénario de film de Barry Levinson (qui a réalisé « Harcèlement » en 1994), mais un des cas reçus par le Réseau marocain pour la défense des droits des hommes, assure Mr. Bahjaji. A travers les centres découte mis en place par le Réseau dans les locaux dassociations partenaires ou dans les Maisons de la Jeunesse, Mr. Bahjaji entend souvent ce genre dhistoires. «Il y a le cas dun autre monsieur qui était chauffeur particulier dune femme riche. Elle lui a fait plusieurs allusions, des avances [ ] et devant son refus, elle a fini par le virer», raconte Mr. Bahjaji.
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