Maroc: on divorce moins que dans les années 60

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Le Maure

Taza avant Gaza
En 2010 «seulement» un mariage sur dix (10,5%) se terminait par un divorce, alors que dans les années 60, un tiers des mariages (31%) était rompu.

Contrairement à une idée reçue, les Marocains divorcent moins que par le passé. Les données recueillies par le HCP montrent en effet qu’en 2010 «seulement» un mariage sur dix (10,5%) se terminait par un divorce, alors que dans les années 60, un tiers des mariages (31%) était rompu.

La question qui se pose ici est celle de savoir si ce recul du divorce est dû au fait qu’aujourd’hui les couples se connaissent, se choisissent avant de se lier, ou bien si cela résulte simplement des conditions de plus en plus contraignantes que le législateur a imposées dans la procédure de divorce.

Autre précision intéressante à noter : le divorce intervient surtout au cours des cinq premières années de la vie conjugale (30%) et baisse à mesure que le temps passe pour atteindre 3% au delà de 20 ans de vue commune.

La Vie Éco
 
En 2010 «seulement» un mariage sur dix (10,5%) se terminait par un divorce, alors que dans les années 60, un tiers des mariages (31%) était rompu.

Contrairement à une idée reçue, les Marocains divorcent moins que par le passé. Les données recueillies par le HCP montrent en effet qu’en 2010 «seulement» un mariage sur dix (10,5%) se terminait par un divorce, alors que dans les années 60, un tiers des mariages (31%) était rompu.

La question qui se pose ici est celle de savoir si ce recul du divorce est dû au fait qu’aujourd’hui les couples se connaissent, se choisissent avant de se lier, ou bien si cela résulte simplement des conditions de plus en plus contraignantes que le législateur a imposées dans la procédure de divorce.

Autre précision intéressante à noter : le divorce intervient surtout au cours des cinq premières années de la vie conjugale (30%) et baisse à mesure que le temps passe pour atteindre 3% au delà de 20 ans de vue commune.

La Vie Éco
Et une idée reçue de plus à jeter à la poubelle :)
 
En 2010 «seulement» un mariage sur dix (10,5%) se terminait par un divorce, alors que dans les années 60, un tiers des mariages (31%) était rompu.

Contrairement à une idée reçue, les Marocains divorcent moins que par le passé. Les données recueillies par le HCP montrent en effet qu’en 2010 «seulement» un mariage sur dix (10,5%) se terminait par un divorce, alors que dans les années 60, un tiers des mariages (31%) était rompu.

La question qui se pose ici est celle de savoir si ce recul du divorce est dû au fait qu’aujourd’hui les couples se connaissent, se choisissent avant de se lier, ou bien si cela résulte simplement des conditions de plus en plus contraignantes que le législateur a imposées dans la procédure de divorce.

Autre précision intéressante à noter : le divorce intervient surtout au cours des cinq premières années de la vie conjugale (30%) et baisse à mesure que le temps passe pour atteindre 3% au delà de 20 ans de vue commune.

La Vie Éco


la raison est tout simplement mntnt le divorce coute le marocain de l argent , avant il peut divorcer et se marier une semaine apres , jeter son epouse et ses enfants dans la rue meme apres 20 ans de marriage , l epouse se trouve sans rien il suffit un mot : tu es divorcee !
de nos jours l epouse a le droit a 50%
donc
dkhol l7emmame machi b7al khrojo

c est une chose de positive surtout pour l unite de la famille et les enfants
 
Un des points de vue :

Les Marocains ont peur de divorcerYoussef Chmirou
30 Janvier 2006


Code de la famille, bilan d’un an après la réforme de la Moudawana

Diminution significative du taux de mariage et baisse alarmante du taux de divorce au Maroc. Telle est la synthèse du bilan chiffré rendu public par le ministère de la Justice un an après l’application du nouveau code de la famille promulgué et appliqué depuis le mois de février 2005.

La lecture du bilan des tribunaux des familles, dressé par le ministère de la Justice un an après l’application du nouveau code de la famille confirme deux choses : les Marocains se marient de moins en moins et n’osent plus entamer la procédure de divorce.

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