Maroc : un livre sur l'homosexualité à l'école belge de Rabat crée la polémique

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Un roman sur l'homosexualité inscrit au programme à l'école belge de Rabat fait polémique au Maroc.
« Au nom de Catherine », un roman écrit par la Française Julia Billet, spécialiste dans les publications destinées à la jeunesse (enfants et adolescents), et destiné aux écoliers de douze ans, aborde l'homosexualité. Inscrit au programme à l'école belge de Rabat, le livre soulève de vives polémiques. Mise au courant, l'académie régionale du ministère de l'Éducation nationale a dépêché une (...)

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Maroc : un livre sur l'homosexualité à l'école belge de Rabat crée la polémique
 
Enquête

Au Maroc, l’inquiétante suspension d’une enseignante d’une école française accusée d’«apologie de l’homosexualité»​

 
Après ils peuvent fermer les écoles privées étrangères qui suivent le programme de leurs pays d'origine et/ou suivent le système d'éducation de leurs pays donc plus de polémiques...
 
Après ils peuvent fermer les écoles privées étrangères qui suivent le programme de leurs pays d'origine et/ou suivent le système d'éducation de leurs pays donc plus de polémiques...
C'est un exemple criant de la schizophrénie des parents marocains.
Il y'en beaucoup.
Ils brandissent leur appartenance à l'islam, critiquent haut et fort la politique éducative mécréante et anti-islam de certains pays, crient au colonialisme et se saignent à blanc pour inscrire leurs enfants dans les écoles de ces pays.
Ça, je ne l'ai jamais compris.
 
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Ceux qui ont creés et alimenté la polémique contre le livre n'ont jamais lu le livre

Nous sommes en 1946. La jeune Catherine-Rachel a bien grandi depuis la Maison des enfants de Sèvres, où Goéland et Pingouin, un couple de résistants, l’ont cachée durant la Seconde Guerre mondiale. Elle a tenté de vivre avec Étienne en province, mais est revenue à Paris pour assouvir sa passion de reporter-photographe. A la Maison des enfants, elle retrouve Jeannot, toujours à la recherche de Sarah, et se lie avec des nouveaux orphelins attachants. Elle déménage à La Ruche dans le XVe et devient amie avec Max Ernst. Elle réalise quelques reportages pour L’Humanité (un camp de vacances franco-allemand...), mais se retrouve vite cantonnée à la presse féminine. Et puis, elle part aux États-Unis couvrir les frémissements du mouvement des droits civiques.
Julia Billet dit s’être inspirée de la vie de sa propre mère pour raconter celle de Catherine, et l’amour qu’elle porte à son personnage se ressent dans le ton chaleureux du narrateur externe. L’écriture est simple, l’histoire linéaire enchaîne les événements sans les faire se chevaucher. La petite histoire rencontre très régulièrement la grande, nous offrant un condensé de l’atmosphère pleine de vitalité qui bouillait à la Libération. Comme le précédent tome, La guerre de Catherine, le roman plaira par sa justesse tranquille.

Présentation par l'éditeur :

De retour à la Maison des enfants de Sèvres, Catherine se lance dans le monde. Poussée par Goéland et Pingouin, elle commence une carrière de photographe-reporter. Mais, au début des années 50, il ne fait pas bon être une femme dans ce milieu exclusivement masculin. Et si la guerre est finie, les combats, eux, ne manquent pas. À commencer par le féminisme, que Catherine découvre avec Simone de Beauvoir. Sa rencontre avec Mavis, chanteuse noire américaine qui a fui les États-Unis pour s’installer en France, la pousse à réaliser un vieux rêve. La voilà embarquée pour trois mois dans cette Amérique de l’après-guerre, où le meilleur côtoie le pire. À sa façon, Catherine lutte. Et peut-être que cette lutte lui permettra de faire la paix avec celle qu’elle était avant la guerre, cette jeune adolescente qu’on appelait « Rachel Cohen ».

Source : Sophie Pilaire
 
Après ils peuvent fermer les écoles privées étrangères qui suivent le programme de leurs pays d'origine et/ou suivent le système d'éducation de leurs pays donc plus de polémiques...
Malheureusement la corruption est une maladie incurable.
Les écoles privées sont intouchables au Maroc. 😏
 
Les européens ne savent ils donc que promouvoir l'homosexualité, la pédophilie et la guerre dans les pays pauvres ???
 
Les européens ne savent ils donc que promouvoir l'homosexualité, la pédophilie et la guerre dans les pays pauvres ???
Que penser des personnes qui font de la critique de leur mode de vie, de leur politique, de leurs institutions et de tout ce qui les représente un sens dans leur vie et un mode de pensee et qui continuent à vivre parmi eux......
Incohérences.
 
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