McKinsey, stratège de la relance pour le Maroc

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion el jadida
  • Date de début Date de début

el jadida

el jadida/mazagan beach
McKinsey, stratège de la relance
Le cabinet de conseil McKinsey travaille main dans la main avec le Comité de veille stratégique marocain, la "task force" anticrise mise en place par le ministre de l'Economie Salaheddine .... source africa int

McKinsey & Company est un cabinet de conseil auprès des directions générales, leader mondial dans son secteur. Le cabinet aide un vaste éventail d’organisations, privées ou publiques, à améliorer leur performance et leur compétitivité, via des missions de stratégie, d'organisation ou d'efficacité opérationnelle.

McKinsey est largement reconnu au niveau mondial comme le cabinet le plus influent et prestigieux de l'industrie du conseil. En 2007, pour la cinquième année consécutive, McKinsey a été classé à la première position du classement Vault des cinquante plus grands cabinets mondiaux, et a été jugé l'employeur post-MBA le plus attrayant par les diplômés des dix programmes MBA les plus sélectifs[1] . Toujours en 2007, seize CEO d'entreprises mondiales cotées à plus de 2 milliards de dollars étaient des anciens de McKinsey & Company, classant l'entreprise comme la plus fertile en futurs CEOs (classement USA Today 2008[2])

McKinsey compte parmi ses clients 93% des 100 premières entreprises mondiales, ainsi que plus de 50 gouvernements. La firme participe également à un certain nombre de projets pro bono pour des organisations humanitaires. Forbes a estimé le chiffre d'affaires de l'entreprise à 4,37 milliards de dollars pour 2007.
 
Je ne comprends pas : Le gouvernement a des cadres et des équipes triées sur le volet, et ils ne sont pas capables de mettre en place une stratégie sans l'aide de mckinsey !!! Ce qui serait plus simple, est de nommer mckinsey à la place du gouvernement actuel.
 
Azul,

Aujourhduit on sait même le gouvernement l'avoue que le plan emergence de McKinsey, qui nous a coûté nous les contributeur qui payent les impôts tout une fortune, que c'est bleuf et un échec à tous les niveaux.

Certains pays comme le mexique ou le brasile ou la turquie depuis des années n'acceptent plus les services consulting à la power Point et MicrosoftProject..avec de desing beaux diaspo , car la réalité économique a d'autre critaires plus sévres plus dure et l'état à besoin des soluation revolutionaire et innovatrice ou lieux des études bench, ou empire .. avec des stratégie consulting qui ne rapprent rien à par la belle langue de markting..
 
c'est pour mesurer l'environnement internationale économique et la concurrence dans un monde , des ministères en France font appel à des cabinets spécialisées
 
c'est pour mesurer l'environnement internationale économique et la concurrence dans un monde , des ministères en France font appel à des cabinets spécialisées

Oui c'est vrai, quelques ministères ont recours à certains cabinets pour commander ceratines études... mais je n'ai jamais entendu parler d'un plan proposé par un cabinet et qui sera suivi à la lettre par un gouvernement sur le plan économique...Un gouvernement doit être doté de ses propres moyens pour mettre en place une stratégie, planifier le plan d'action et l'organiser...Quand même...y'a des centaines de cadres avec des salaires pharamineux dans nos ministères, ils font quoi ? ils commandent des études à des cabinets ?
 
c'est pour mesurer l'environnement internationale économique et la concurrence dans un monde , des ministères en France font appel à des cabinets spécialisées

Azul,

On s'en fous de ce qui se passe en France, pourqoi ce complexe d'inferorité à chaque fois que on parle de Maroc, vous nous citez ce qui se passe en France!

Le Maroc c'est Le Maroc et la franc c'est la france ,


ps : à propos la France et les buros de consulting il faut savoir qu'il tout un lobby à l'interieur des ministeres et des consultants de présidents qui travailent en faveur de ces buros donc leurs appelles n'est pas forcement pour besoin technique mais plutot interpersonelle ! sachant que ces études infliance certains politiques des gouvernemnts de certains secteurs donc certains groupe holdings ont profitent et subventione ..
d'ou la raison pourquoi dans pleusieurs pays scandinaves ont interdit que le gouvernement fait appele à ce genre de boite de consultings qui sont teleguider par des partenrias lobbiyste supersiteux !
 
McKinsey, stratège de la relance
Le cabinet de conseil McKinsey travaille main dans la main avec le Comité de veille stratégique marocain, la "task force" anticrise mise en place par le ministre de l'Economie Salaheddine . cet article n'est pas complet le reste d'infos sont payantes

pour avoir l'article entier aficaintelligence
 
Logistique : McKinsey devra présenter sa stratégie avant fin 2008
Jeudi, 25 Septembre 2008 10:11 La Vie Economique

L’étude servira de base au contrat-programme CGEM-gouvernement pour la période 2008-2010. Formation, émergence d’opérateurs locomotives..., ce qu’attendent les professionnels.

Le gouvernement et la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) ont commandé une étude sur la logistique au cabinet international McKinsey qui devra rendre sa copie avant la fin de cette année.

Une étude de plus, serait-on tenté de dire, car des études sur la logistique ou en rapport avec cette activité, il y en a eu sept depuis que le Maroc s’est engagé dans une politique de modernisation de ses infrastructures de transport (programme d’autoroutes, réforme du transport de marchandises, réforme portuaire, projets de l’ONCF, Tanger-Med, etc.). La plus connue est celle réalisée en 2006 par la Banque Mondiale.

Selon un responsable à la Fédération du transport, ces études se sont toutes arrêtées au stade du diagnostic, et il s’agit cette fois-ci d’«aller plus loin en sortant avec une stratégie globale, suivie de réalisations, au service de la compétitivité de l’économie nationale», à l’instar de ce qui a été fait pour le plan Emergence.

Certaines études estiment, en effet, les coûts liés à la logistique au Maroc à 20% du PIB, alors qu’ils sont dans les pays dits émergents de l’ordre de 15% et se situent dans les pays à économies développées entre 10 et 13%. Une autre étude signale, à titre d’exemple, que le transport d’une cargaison d’Agadir vers la France coûte autant qu’au départ d’Istanbul, pourtant plus éloignée.

Il n’est pas étonnant donc que certaines industries autrefois compétitives se trouvent aujourd’hui en grande difficulté. Le dernier rapport de la Banque Mondiale sur les performances logistiques classe le Maroc au 94e rang mondial. C’est dire le travail qui reste à faire pour lever les handicaps.

Des freins d’ordre réglementaire et institutionnel
Le premier, et non des moindres, a trait à l’état de santé du transport routier de marchandises. Certes, le gouvernement a réformé ce secteur, mais les résultats de cette réforme sont pour le moins mitigés. Malgré ses efforts répétés, le ministère de l’équipement et du transport n’arrive pas encore à inciter les sociétés, dont la plupart sont individuelles et travaillent dans l’informel, à renouveler leurs véhicules. La réforme portuaire n’a pas non plus encore porté ses fruits.

A ces constats, il faut ajouter des freins d’ordre réglementaire et institutionnel. Et dans leur sillage, on trouve encore le problème d’accès au foncier, souligné par toutes les études sur la logistique. Selon certains experts, il existe un manque de coordination flagrant entre le département de l’équipement et du transport et celui de l’aménagement du territoire, ou ce qu’il en reste, sachant qu’aujourd’hui l’aménagement du territoire est fragmenté entre deux départements ministériels, en l’occurrence l’Habitat et l’Energie et les Mines.

Un secteur dispersé
Question d’un expert : «Alors que toutes les recommandations concernent la création de plateformes logistiques loin des centres urbains, comment peut-on expliquer qu’on veuille créer une nouvelle ville nouvelle à Zénata en même temps qu’une plateforme logistique ?». Il fait aussi remarquer que «toute la route côtière, à partir du port de Casablanca, est bordée d’entrepôts dont il faudrait se débarrasser au plus vite».

Enfin, le Maroc souffre d’une carence en termes de ressources humaines au service de la chaîne logistique. Selon Mustapha El Khayat, expert international et président de l’Association marocaine pour la logistique, la formation en logistique est peu développée et se résume, selon lui, à quelques mastères, alors qu’en parallèle certains profils sont quasiment inexistants (caristes, manutentionnaires, gestionnaires pilotes de flux, réceptionnaires logisticiens, transporteurs qualifiés en chaîne du froid et en matières dangereuses, etc.). Et même quand ces formations existent, elles sont insuffisantes et non coordonnées.

Il se dégage de cet état des lieux que la logistique moderne existe, mais qu’elle est dispersée et limitée à certaines industries. On peut citer à titre d’exemple l’industrie laitière qui dispose de chaînes logistiques efficientes, mais aussi la grande distribution et les franchises qui sont souvent intégrées à une chaîne logistique.

Des raisons déterminantes pour l’élaboration des termes de référence de l’étude en cours de réalisation par McKinsey et qui devra servir de base au plan d’action gouvernement-CGEM pour la période 2008-2012. L’étude devra déboucher sur la proposition d’un échantillon d’indicateurs permettant le suivi permanent des performances des chaînes logistiques marocaines.
 
Je ne comprends pas : Le gouvernement a des cadres et des équipes triées sur le volet, et ils ne sont pas capables de mettre en place une stratégie sans l'aide de mckinsey !!! Ce qui serait plus simple, est de nommer mckinsey à la place du gouvernement actuel.
On a des choses à apprendre des autres, non ? ou bien avons nous "strictement" (d'une manière nationaliste) les moyens de nos ambitions ?
Dans ce cas et dans le même registre, pourquoi demander le statut avancé de l'UE ? puisque nous pouvons tout seuls avancer et bâtir ce pays rien qu'entre marocains.

Pour moi, cette vision idéologique est à bannir, sinon on sera encore dans le cercle interminable des pays en éternel développement.
 
Retour
Haut