Miracles du coran et de la sunna

En psychanalyse, ton attitude est appelée un transfert, à savoir que tu accuses les autres de se comporter comme tu te comportes. Tu ignores tout de l'islam (et pour prétendre que le coran était déjà collecté à la mort de Muhammad, il faut être un sacré ignorant) et tu nous expliques maintenant que ton coeur est donc plein de haine :-( Mon pauvre, je te plains...
Salam Rabb,
Je confirme, le Coran était déjà mis par écrit du vivant du prophète. Il n'était pas compilé en un seul volume, oui.

Bref résumé de la recension du Coran.

- Pour commencer, Le Coran est une prédication orale. reçue fragmentairement de l'ange Gabriel, par voie auditive comme parole incréée de Dieu, par Muhammad. Elle fut communiquée oralement par celui ci et mise par écrit, de son vivant, par des scribes bénévoles sur des omoplates, du parchemin, des tablettes de bois, des débris de poterie, etc.
- Parmi ces scribes (Ali b. Abi Talib, ´Uthman b. Affan, ´Ubayy b. Ka'b, Hassan b. Thabit, Mu'awiyya b. Abi Sufiyan), il y a lieu de noter surtout Zaid b. Thabit qui devait jouer un rôle majeur dans l'établissement définitif du texte sacré.
La tradition et les études islamiques entreprises sur la recension du Coran sont formelles sur l'ordre des versets à l'intérieur des fragments, ou sourates, de la révélation, exception faite de quelques uns qui furent déplacés sous le règne de ´Uthman (23-35H/644-645G) et dont on ne savait plus à quelle sourate et dans quel ordre les incorporer.
- Rappelons seulement que, du vivant du Prophète, la plupart de ces compagnons savaient par cœur le texte sacré dans son intégralité. Après sa mort, un grand nombre des (hamilu-l-Qur'an) furent tués au cours des sanglantes expéditions ordonnées par son successeur immédiat, le calife Abu Bakr, dès son accession au pouvoir (11H/632G), contre les tribus bédouines en révolte, les apostats et les faux prophètes, en particulier contre le plus dangereux de ces derniers, Musaylima, surnommé al-Kazhab (Imposteur/menteur). Il fut aidé par un transfuge de l'islam, nommé Naharu-r-Rajjal et par la puissante tribu des Banu Hanifa, solidement retranchée dans les forteresses de Yamama. Le besoin se fit sentir alors de fixer d'urgence le Coran par écrit. Le premier à s'inquiéter de cette situation et de l'avenir du texte sacré fut Omar b. Al Khattab, qui fit part de ces craintes à Abu Bakr. Celui-ci refusa tout d'abord d'entreprendre un travail auquel le Prophète lui-même n'avait pas songé. Cependant, ´Omar parvint, en insistant à plusieurs reprises, à persuader le calife de l'utilité d'un tel travail et à dissiper ses scrupules. Faisant appel, tous deux, au concours du meilleur secrétaire du Prophète, Zayd b. Thabit. Ils firent établir un premier corpus de la vulgate de l'islam, sous forme d'une collection de feuillets formant un volume (mushaf). Il contenait les versets coraniques recueillis de la bouche d'au moins deux récitateurs, honorablement connus pour leur probité intellectuelle et leur piété. Zayd qui savait lui-même le Coran par coeur, mais à qui Abu Bakr avait recommandé de ne pas se fier à sa seule mémoire, entreprit sa besogne en toute indépendance, n'acceptant que les versets indiscutablement établis. C'est ainsi qu'il refusa d'incorporer un verset relatif à la lapidation des adultères, rapporté par le seul ´Omar, en dépit de son autorité et de sa notoriété de musulman intransigeant, et malgré son insistance, faute d'autres récitateurs témoins.
- Ce prototype fut conservé par Abu Bakr durant son califat et, à sa mort, il fut confié par son successeur ´Omar à Hafsa, fille de ce dernier et veuve du Prophète. Lorsqu'une multitude de textes coraniques incontrôlables et souvent farcis d'inexactitudes circulèrent dans les diverses contrées de l'islam, le troisième calife, ´Uthman b. Affan, jugea aussi nécessaire qu'urgent de mettre fin à cette anarchie qui risquait de compromettre la pureté et l'unité du dogme et de diviser les musulmans. Il emprunta à Hafsa l'exemplaire établi sous Abu Bakr et le remit comme document de base à une commission d'experts qu'il chargea de procéder à une recension du texte.
- Cette commission très restreinte était composé de Zayd b. Thabit, ´Abdallah b. Zubayr, Sa'd b. Al'As, ´Abdu-r-Ramhan b. Al Harith. Leur connaissance en la matière et leur autorité - Zayd b. Thabit excepté - étaient loin d'égaler celles des compagnons que le calife avait, pour des mobiles personnels, injustement écartés, en particulier ´Ali b. Abi Talib, Ibn ´Abbas, ´Abdallah b. mas'ud et Abu Musa-l-Ash´ari. Un autre récitateur témoin non moins réputé, qui avait servi de secrétaire au Prophète, ´Ubayy b. Ka'b, n'en faisait pas partie étant mort deux ans auparavant.
- Elle prit sa tache à cœur et du faire appel, en une sorte de consultation général, à tous les musulmans dépositaires de la prédication révélée (huffadh). Son appel fut entendu et les bonnes volontés ne manquèrent pas. Les matériaux qu'elle put ainsi réunir furent soumis à une critique externe des plus sévères. Pour qu'un verset récité fut retenu et pour qu'une lecture fut préférée à une autre, il fallait, pour en garantir l'authenticité, la concordance des témoignages, le critère de forme étant, a priori, la primauté du parler de Quraysh, langue du Prophète, sur les autres parlers arabes. Elle put, par cette méthode, compléter et réviser le corpus d'Abu Bakr et de ´Omar et procéder à une mise en ordre des sourates et des versets.
- C'est dans de telles conditions qu'elle put donner un corpus intégral et définitif, connu sous le nom de Mushaf ´Uthman, devenu la Vulgate officielle de l'Islam, sunnites et shi'ites compris. Il contient aussi bien des versets abrogés (mansukh), maintenus par un souci de probité et de fidélité, que les versets modificatifs (nasikh).
- Ce corpus fut reproduit en plusieurs autres exemplaires qui furent envoyés dans les diverses provinces de l'Empire musulman. Les versions coraniques, incomplètes ou mal établies, furent considérées de plano comme sans valeur et déclarées nulles.
- Quelques années plus tard, un des plus dévoués soutiens de la dynastie omeyyade à ses débuts, Al Hajjab b. Yusuf le Thaqifite, entreprit de donner une meilleur présentation au corpus du 'Uthman, pour l'imposer au détriment des autres versions, par une fixation plus sure du texte et par la réduction des variantes au minimum.
http://www.bladi.info/threads/commence-sarrete-coran-daleel-preuve.384093/page-50#post-13060940
 
Salam Rabb,
Je confirme, le Coran était déjà mis par écrit du vivant du prophète. Il n'était pas compilé en un seul volume, oui.

Bonjour,
Merci de ces éléments mais ils confirment exactement ce que j'écrivais : il n'existait pas de coran au sens de mushaf avant la mort de Muhammad et ce sont les califes postérieurs d'Abu Bakr à Abd-al-Malik qui ont mis au point la recension du coran en éliminant progressivement les recensions concurrentes.

1) qu'il y ait des éléments écrits préalables à la constitution du premier mushaf coranique, cela est indéniable mais, ce fut l'oeuvre d'hommes avant tout. La supposée intervention de Jibril dans l'ordre des versets ne peut rien enlever à ce fait puisqu'à la fin, Jibril n'est pas intervenu dans la constitution du premier mushaf, mais seulement les personnages que tu as cités, en établissant leurs propres règles de sélection de ce qui devait être conservé ou pas. Et dans ce processus, à partir du ralliement d'Abu Bakr à l'idée d'Umar de collecter le coran, aucune intervention divine n'est rapportée par la tradition. Au contraire, l'absence du verset de la lapidation dont Ibn Maja rapporte dans quelles circonstances il aurait disparu, montre bien que le processus était défaillant quoi qu'on en dise ou quoi qu'on en écrive

2) concernant le second mushaf constitué par Uthman, tout le monde sait qu'il s'agit d'un effort d'uniformisation des versions coraniques. Des corans différents circulaient au sein des armées, et afin d'éviter toute divergence, Uthman a fait établir un second mushaf déclaré authentique et valable (mais peut on sérieusement penser que Uthman allait déclarer que son mushaf était falsifié ?) et a fait détruire une bonne partie des autres versions concurrentes du coran. Il y a donc eu encore ici une intervention humaine sans Jibril ni aucune puissance divine, quoi qu'on en dise et quoi qu'on en écrive, réputée être parfaite selon la tradition, mais de toutes facons, il n'y avait pas le choix puisque les versions du coran manifestement trop différentes n'existaient plus. Il ne servait donc plus à rien de prétendre que le vrai coran était ailleurs, mais on se sait plus où...

3) la troisième étape est effectivement celle que tu rapportes à savoir une entreprise complémentaire d'uniformisation, preuve s'il en est que le travail d'Uthman n'avait pas été accompli jusqu'au bout et qu'il existait encore des variantes concurrentes de la version officielle. Ni Jibril ni aucune intervention divine n'a pris place dans ce dernier processus. On imagine bien que al-Hajjaj n'allait pas prétendre qu'il était en train de falsifier le coran. Il a évidemment continué à prétendre pour la tradiction, qu'il a amélioré l'existant dans le plus pur respect du coran initial. Sauf que al-Hajjaj n'en savait rien puisque le premier mushaf collecté avait été détruit entre temps.

Pour ce qui est des procédures de vérification par ceux qui connaissaient le texte par coeur, on voit bien qu'il y a une contradiction : si deux personnes avaient connu le texte par coeur lors de la constitution du premier mushaf, on aurait pris leur témoignage tel quel et le verset sur la lapidation aurait été inclu. Or il ne l'était pas et le débat perdure encore sur ce sujet. Ce qui veut bien dire qu'on n'a pas pu trouver deux personnes connaissant le coran par coeur. Donc quand on vient dire par la suite qu'il y avait de nombreuses personnes qui ne connaissaient par coeur selon Uthman, il y a là aussi une multitude de problèmes : en particulier, ils ne peuvent pas avoir connu un coran par coeur autre que celui de la première recension puisque cette même recension était le summum de ce qui pouvait être fait sous Abu Bakr. Mais dans, comment ont-il pu corriger des erreurs dans cette même recension ? Les erreurs corrigées provenaient d'une autre version du texte nécessairement.
 
la question était : " que le Coran était déjà collecté, fut transcrit avant la mort du Prophète Muhammad (sallAllahou alayhi wa salam) non ? et tu devrais lire les sources islamiques pour en savoir plus..Inch'Allah.

Et la réponse à cette question est simple : NON.
Car la collecte du coran a été organisée par Abu Bakr sur la proposition de Umar après la mort du Muhammad selon la tradition islamique elle-même.
 
Bonjour,
Merci de ces éléments mais ils confirment exactement ce que j'écrivais : il n'existait pas de coran au sens de mushaf avant la mort de Muhammad et ce sont les califes postérieurs d'Abu Bakr à Abd-al-Malik qui ont mis au point la recension du coran en éliminant progressivement les recensions concurrentes.

1) qu'il y ait des éléments écrits préalables à la constitution du premier mushaf coranique, cela est indéniable mais, ce fut l'oeuvre d'hommes avant tout. La supposée intervention de Jibril dans l'ordre des versets ne peut rien enlever à ce fait puisqu'à la fin, Jibril n'est pas intervenu dans la constitution du premier mushaf, mais seulement les personnages que tu as cités, en établissant leurs propres règles de sélection de ce qui devait être conservé ou pas. Et dans ce processus, à partir du ralliement d'Abu Bakr à l'idée d'Umar de collecter le coran, aucune intervention divine n'est rapportée par la tradition. Au contraire, l'absence du verset de la lapidation dont Ibn Maja rapporte dans quelles circonstances il aurait disparu, montre bien que le processus était défaillant quoi qu'on en dise ou quoi qu'on en écrive

2) concernant le second mushaf constitué par Uthman, tout le monde sait qu'il s'agit d'un effort d'uniformisation des versions coraniques. Des corans différents circulaient au sein des armées, et afin d'éviter toute divergence, Uthman a fait établir un second mushaf déclaré authentique et valable (mais peut on sérieusement penser que Uthman allait déclarer que son mushaf était falsifié ?) et a fait détruire une bonne partie des autres versions concurrentes du coran. Il y a donc eu encore ici une intervention humaine sans Jibril ni aucune puissance divine, quoi qu'on en dise et quoi qu'on en écrive, réputée être parfaite selon la tradition, mais de toutes facons, il n'y avait pas le choix puisque les versions du coran manifestement trop différentes n'existaient plus. Il ne servait donc plus à rien de prétendre que le vrai coran était ailleurs, mais on se sait plus où...

3) la troisième étape est effectivement celle que tu rapportes à savoir une entreprise complémentaire d'uniformisation, preuve s'il en est que le travail d'Uthman n'avait pas été accompli jusqu'au bout et qu'il existait encore des variantes concurrentes de la version officielle. Ni Jibril ni aucune intervention divine n'a pris place dans ce dernier processus. On imagine bien que al-Hajjaj n'allait pas prétendre qu'il était en train de falsifier le coran. Il a évidemment continué à prétendre pour la tradiction, qu'il a amélioré l'existant dans le plus pur respect du coran initial. Sauf que al-Hajjaj n'en savait rien puisque le premier mushaf collecté avait été détruit entre temps.

Pour ce qui est des procédures de vérification par ceux qui connaissaient le texte par coeur, on voit bien qu'il y a une contradiction : si deux personnes avaient connu le texte par coeur lors de la constitution du premier mushaf, on aurait pris leur témoignage tel quel et le verset sur la lapidation aurait été inclu. Or il ne l'était pas et le débat perdure encore sur ce sujet. Ce qui veut bien dire qu'on n'a pas pu trouver deux personnes connaissant le coran par coeur. Donc quand on vient dire par la suite qu'il y avait de nombreuses personnes qui ne connaissaient par coeur selon Uthman, il y a là aussi une multitude de problèmes : en particulier, ils ne peuvent pas avoir connu un coran par coeur autre que celui de la première recension puisque cette même recension était le summum de ce qui pouvait être fait sous Abu Bakr. Mais dans, comment ont-il pu corriger des erreurs dans cette même recension ? Les erreurs corrigées provenaient d'une autre version du texte nécessairement.
Salam RabbNasser,
Attends voir, je vais reprendre mon com:
Salam Rabb,
Je confirme, le Coran était déjà mis par écrit du vivant du prophète. Il n'était pas compilé en un seul volume, oui.
...................
Tu n'est pas d'accord avec mon affirmation ?
Pour le reste, des que je rentre je réagirai.
 
Salamou Alaykoum wa Rahmatoullahi wa Barakatouh

بسم الله الرحمان الرحيم

La louange entière est à Allah qui nous a guidé vers l'islam.

J'ai crée ce topic pour une raison particulière, c'est pour parler des Miracles du Coran et de la Sunna.



A vos clavier Jazakoumo Allah Bijan'atihi "Janat Elfirda'ouss".
Wa aleykoum salam wa rahmato Allah ta3ala wa barakatouh.
http://quran.al-shia.org/fr/mojezeh/06.htm
 
Bonjour,
Merci de ces éléments mais ils confirment exactement ce que j'écrivais : il n'existait pas de coran au sens de mushaf avant la mort de Muhammad et ce sont les califes postérieurs d'Abu Bakr à Abd-al-Malik qui ont mis au point la recension du coran en éliminant progressivement les recensions concurrentes.

1) qu'il y ait des éléments écrits préalables à la constitution du premier mushaf coranique, cela est indéniable mais, ce fut l'oeuvre d'hommes avant tout. La supposée intervention de Jibril dans l'ordre des versets ne peut rien enlever à ce fait puisqu'à la fin, Jibril n'est pas intervenu dans la constitution du premier mushaf, mais seulement les personnages que tu as cités, en établissant leurs propres règles de sélection de ce qui devait être conservé ou pas. Et dans ce processus, à partir du ralliement d'Abu Bakr à l'idée d'Umar de collecter le coran, aucune intervention divine n'est rapportée par la tradition. Au contraire, l'absence du verset de la lapidation dont Ibn Maja rapporte dans quelles circonstances il aurait disparu, montre bien que le processus était défaillant quoi qu'on en dise ou quoi qu'on en écrive

2) concernant le second mushaf constitué par Uthman, tout le monde sait qu'il s'agit d'un effort d'uniformisation des versions coraniques. Des corans différents circulaient au sein des armées, et afin d'éviter toute divergence, Uthman a fait établir un second mushaf déclaré authentique et valable (mais peut on sérieusement penser que Uthman allait déclarer que son mushaf était falsifié ?) et a fait détruire une bonne partie des autres versions concurrentes du coran. Il y a donc eu encore ici une intervention humaine sans Jibril ni aucune puissance divine, quoi qu'on en dise et quoi qu'on en écrive, réputée être parfaite selon la tradition, mais de toutes facons, il n'y avait pas le choix puisque les versions du coran manifestement trop différentes n'existaient plus. Il ne servait donc plus à rien de prétendre que le vrai coran était ailleurs, mais on se sait plus où...

3) la troisième étape est effectivement celle que tu rapportes à savoir une entreprise complémentaire d'uniformisation, preuve s'il en est que le travail d'Uthman n'avait pas été accompli jusqu'au bout et qu'il existait encore des variantes concurrentes de la version officielle. Ni Jibril ni aucune intervention divine n'a pris place dans ce dernier processus. On imagine bien que al-Hajjaj n'allait pas prétendre qu'il était en train de falsifier le coran. Il a évidemment continué à prétendre pour la tradiction, qu'il a amélioré l'existant dans le plus pur respect du coran initial. Sauf que al-Hajjaj n'en savait rien puisque le premier mushaf collecté avait été détruit entre temps.

Pour ce qui est des procédures de vérification par ceux qui connaissaient le texte par coeur, on voit bien qu'il y a une contradiction : si deux personnes avaient connu le texte par coeur lors de la constitution du premier mushaf, on aurait pris leur témoignage tel quel et le verset sur la lapidation aurait été inclu. Or il ne l'était pas et le débat perdure encore sur ce sujet. Ce qui veut bien dire qu'on n'a pas pu trouver deux personnes connaissant le coran par coeur. Donc quand on vient dire par la suite qu'il y avait de nombreuses personnes qui ne connaissaient par coeur selon Uthman, il y a là aussi une multitude de problèmes : en particulier, ils ne peuvent pas avoir connu un coran par coeur autre que celui de la première recension puisque cette même recension était le summum de ce qui pouvait être fait sous Abu Bakr. Mais dans, comment ont-il pu corriger des erreurs dans cette même recension ? Les erreurs corrigées provenaient d'une autre version du texte nécessairement.

Et ne parlons même pas des des hadith écrits 2 siècles après la mort de Mohammed dans un contexte d'affrontement entre les religieux et le pouvoir abbasside...
 
ta haine t'aveugle conjuguée à ton ignorance, te fait dire des énormités et surtout elle est un handicape qui t'interdit la remise en question et te défendre avec des notions basiques en psy ne sera jamais un argument ;)

de ce que j'ai vu tu t'es contenter de dire qu'il a tort qu'il est un ignorant et qu'il es tplein de hain sans aucune source ou argumentation.

alors que lui argumente ce qu'il dit.
alors à ton avis qui apparait comme plein de haine ? et incapable d'argumenter ?
 
Si les compagnons du Prophète ont réellement mis par écrit sur ces différents supports de fortune le message qu'ils savaient comme étant la parole de Dieu, l'on peut légitimement se poser la question de savoir pourquoi de tels écrits sacrés –les originaux du Coran, rien de moins– ne furent pas conservés.

et on peu se demander pourquoi ils n'ont pas utiliser des supports plus durable, il me semble que le verset sur la lapidation a ete devoré par une chevre non , ;)
 
Os ou pas, ça ne nous dit toujours pas comment l'Original coranique a pu disparaître...
et @ Rabbnasser
donc les originaux des paroles de Mohamad ont ete abandonné et/ou detruit car n'etaient pas pratiques ?

pffff
qu'est qu'il ne faut pas lire parfois
Non, l'Original n'a pas disparu, abandonné ou detruit ! Grâce à Dieu !
vous devez lire ce qui a été dit :

"En effet, préserver la révélation divine était d’une importance capitale. C’est pourquoi des scribes fiables et honnêtes furent choisis pour mettre le Coran par écrit. Parmi eux, les quatre hommes destinés à devenir califes de la nation musulmane après la mort de Mohammed (salallahu ‘alayhi wa salam) , de même qu’un homme nommé Zaïd ibn Thabit, dont le rôle allait être vital dans la préservation du Coran pour les nombreuses générations suivantes. "

mais le Plus Important c'est la Parole d'Allah, Le Plus Savant ! Sourate Al-Hijr 15.9


En vérité c'est Nous qui avons fait descendre le Coran, et c'est nous qui en sommes gardiens.
Innā Naĥnu Nazzalnā Adh-Dhikra Wa 'Innā Lahu Laĥāfižūna

waAllahou a'lam.
 

Pièces jointes

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