explosive! très beau texte, je pense qu'il est deja dans un post mais c'est pas grave 
Mon fils cette lettre est de ta pauvre mère. Je l' ai écrite avec pudeur après une longue hésitation. J' ai pris plusieurs fois le stylo mais mes larmes l' ont emprisonné. J' ai retenu mes larmes plusieurs fois, mais les blessures du cur ont surgi.
Mon fils après cette longue vie, je te regarde en tant qu' homme parfait, raisonnable et plein d'émotion .
Je considère qu' il est de mon droit que tu prennes le temps de lire ces quelques pages.
Après cela, déchire les comme tu as déchiré mon cur.
Mon fils il y a vingt cinq ans c' était un grand jour dans ma vie, quand le médecin m' a affirmé ma grossesse !
Les mères, mon fils, connaissent bien le sens de ces mots !
C' est un mélange de joie et de bonheur et le début de souffrances causées par les changements biologiques et physiques . après cette bonne nouvelle, je t' ai porté pendant neuf mois.
J' ai porté la joie dans mon ventre, je me levais avec difficulté, je dormais avec difficulté, mais tout cela n' a rien changé à l' amour que je porte pour toi.
Au contraire l' amour s' est renforcé de plus en plus avec le temps et l' envie de te voir encore plus.
Je t' ai porté jour après jour, souffrance après souffrance et peine après peine.
Ma joie était grande à chaque mouvement, à chaque prise de poids et tout cela était lourd à supporter.
Une longue période de souffrance éclairée par une lueur de joie en cette nuit où je n' ai pas dormi, ou la douleur, la peur, l' émotion que je n' arrive pas à décrire ni à exprimer m'ont envahi.
L' extrême douleur m' a empêchée de pleurer en regardant la mort de près plusieurs fois.
Enfin venant au monde, tes cris enlevant toute peine et douleur, accompagnaient mes larmes de joie.
Je me suis penchée difficilement pour t' embrasser avant que tu ne sois touché par une simple goutte d'eau.
Mon fils les années sont passées et je t' ai toujours eu dans mon cur, je t' ai lavé de mes propres mains, mes jambes et mes bras étaient ton berceau quand je veillais pour que tu puisses dormir.
Je me suis fatiguée et je me suis surpassée pour que tu sois heureux ; ma seule joie était de te voir sourire.
Et ma joie de tout instant était que tu puisses me demander un service, c' était mon bonheur.
Les soirées sont passées ainsi que les jours et moi toujours à tes services, une mère infatigable et ouvrière sans répit priant Dieu toujours pour toi qu' Il te comble de bonheur et de prospérité.
Je t' ai observé jour après jour jusqu' à ce que tu sois devenu un jeune homme, prenant par la suite la carrure d'un homme, soudain je me retrouve à te chercher à droite et à gauche la femme que tu as demandée.
Le jour de ton mariage est arrivé où le cur serré, j' ai caché mes larmes de joie pour ta nouvelle vie ainsi que ma grande tristesse suite à notre séparation.
Les heures pesantes sont passées, les moments s' écoulaient doucement, soudain j' ai découvert que tu n'étais plus le fils que j' ai connu.
Le sourire a disparu, ta voix a disparu, tu es devenu distant, tu m' as oubliée et ignorée.
J' ai attendu ton retour ; espérant entendre au moins ta voix, mais ton absence a duré et les jours identiques se succédaient.
Mon fils cette lettre est de ta pauvre mère. Je l' ai écrite avec pudeur après une longue hésitation. J' ai pris plusieurs fois le stylo mais mes larmes l' ont emprisonné. J' ai retenu mes larmes plusieurs fois, mais les blessures du cur ont surgi.
Mon fils après cette longue vie, je te regarde en tant qu' homme parfait, raisonnable et plein d'émotion .
Je considère qu' il est de mon droit que tu prennes le temps de lire ces quelques pages.
Après cela, déchire les comme tu as déchiré mon cur.
Mon fils il y a vingt cinq ans c' était un grand jour dans ma vie, quand le médecin m' a affirmé ma grossesse !
Les mères, mon fils, connaissent bien le sens de ces mots !
C' est un mélange de joie et de bonheur et le début de souffrances causées par les changements biologiques et physiques . après cette bonne nouvelle, je t' ai porté pendant neuf mois.
J' ai porté la joie dans mon ventre, je me levais avec difficulté, je dormais avec difficulté, mais tout cela n' a rien changé à l' amour que je porte pour toi.
Au contraire l' amour s' est renforcé de plus en plus avec le temps et l' envie de te voir encore plus.
Je t' ai porté jour après jour, souffrance après souffrance et peine après peine.
Ma joie était grande à chaque mouvement, à chaque prise de poids et tout cela était lourd à supporter.
Une longue période de souffrance éclairée par une lueur de joie en cette nuit où je n' ai pas dormi, ou la douleur, la peur, l' émotion que je n' arrive pas à décrire ni à exprimer m'ont envahi.
L' extrême douleur m' a empêchée de pleurer en regardant la mort de près plusieurs fois.
Enfin venant au monde, tes cris enlevant toute peine et douleur, accompagnaient mes larmes de joie.
Je me suis penchée difficilement pour t' embrasser avant que tu ne sois touché par une simple goutte d'eau.
Mon fils les années sont passées et je t' ai toujours eu dans mon cur, je t' ai lavé de mes propres mains, mes jambes et mes bras étaient ton berceau quand je veillais pour que tu puisses dormir.
Je me suis fatiguée et je me suis surpassée pour que tu sois heureux ; ma seule joie était de te voir sourire.
Et ma joie de tout instant était que tu puisses me demander un service, c' était mon bonheur.
Les soirées sont passées ainsi que les jours et moi toujours à tes services, une mère infatigable et ouvrière sans répit priant Dieu toujours pour toi qu' Il te comble de bonheur et de prospérité.
Je t' ai observé jour après jour jusqu' à ce que tu sois devenu un jeune homme, prenant par la suite la carrure d'un homme, soudain je me retrouve à te chercher à droite et à gauche la femme que tu as demandée.
Le jour de ton mariage est arrivé où le cur serré, j' ai caché mes larmes de joie pour ta nouvelle vie ainsi que ma grande tristesse suite à notre séparation.
Les heures pesantes sont passées, les moments s' écoulaient doucement, soudain j' ai découvert que tu n'étais plus le fils que j' ai connu.
Le sourire a disparu, ta voix a disparu, tu es devenu distant, tu m' as oubliée et ignorée.
J' ai attendu ton retour ; espérant entendre au moins ta voix, mais ton absence a duré et les jours identiques se succédaient.